Présidents : les É.-U. aux commandes
Golf samedi, 19 nov. 2011. 12:54 jeudi, 12 déc. 2024. 07:45
MELBOURNE, Australie - Il y a beaucoup en commun entre cette coupe des Présidents et sa dernière édition à se tenir au Royal Melbourne, que ce soit le changement brusque de température, la récolte d'un seul point de Tiger Woods, ou une dernière journée sans grand suspense.
La différence est dans l'équipe qui se trouve en contrôle. Les État-Unis ont pris une grosse avance samedi matin lors des matches en quatuor, avec Woods obtenant finalement un point. Ils ont ensuite résisté à la charge internationale avec une météo capricieuse en après-midi, remportant les deux derniers matches.
«Nous avions vraiment besoin de ces deux points et les gars sont allés les chercher», a dit le capitaine américain, Fred Couples.
Hunter Mahan a réussi un roulé de 20 pieds au 17e, juste après que Jason Day ait énergisé la foule avec un roulé encore plus long, qu'il a célébré comme si le match allait se prolonger. Mahan et Bill Haas ont plutôt prévalu deux et un.
Quelques instants plus tard, Jim Furyk a couronné la journée avec une belle sortie de fosse de sable au 16e, puis Nick Watney a inscrit la normale au dernier trou pour un gain par un trou contre Adam Scott et Ernie Els, une victoire des plus cruciales.
Les Américains mènent donc 13-9 à l'approche des 12 matches individuels de dimanche. C'est un écart qui n'a jamais été comblé en 17 ans d'existence du tournoi.
La plus grande remontée en compétition par équipe a été lorsque les États-Unis ont effacé un déficit de quatre points pour remporter la coupe Ryder de 1999.
Les Européens ne lancent tout de même pas la serviette.
«Nous aurons besoin d'une journée exceptionnelle dimanche, mais rien n'est encore décidé», a dit Scott.
La seule fois où l'équipe internationale a remporté cette coupe au Royal Melbourne a été en 1998, avec neuf points d'avance pour amorcer la dernière journée. Woods a eu une fiche de 1-3 cette année-là, mais aucun de ses compatriotes ne s'était distingué.
Samedi, Woods a finalement récolté un point en jouant avec Dustin Johnson. Woods a concrétisé ce point avec un roulé de 25 pieds pour un oiselet.
«En ce moment nous avons une bonne avance, a philosophé Woods. Espérons que dimanche nous irons chercher les points dont nous avons besoin.»
Webb Simpson amorcera les hostilités contre K.T. Kim. Woods et Aaron Baddeley s'affronteront en 11e duel.
L'Australien Robert Allenby, un choix du capitaine, est le seul sans point d'un côté ou de l'autre. Scott a un rendement de 1-3, tandis que Baddeley et Day ont déçu en fins de ronde durant toute la semaine. Geoff Ogilvy est le seul Australien avec une fiche gagnante. Lui et K.J. Choi ont battu de peu Matt Kuchar et Steve Stricker, samedi en après-midi.
La journée de samedi a commencé avec un vent chaud et de la pluie à l'occasion mais s'est finie sous de fortes précipitations, un mercure à 10 degrés et un vent qui allait à l'opposé de celui du matin.
Furyk et Phil Mickelson brillent chez les Américains, n'ayant pas encore perdu de match.
«Nous sommes en bonne position, mais il nous faudra commencer avec beaucoup d'énergie dimanche», a mentionné Furyk.
La différence est dans l'équipe qui se trouve en contrôle. Les État-Unis ont pris une grosse avance samedi matin lors des matches en quatuor, avec Woods obtenant finalement un point. Ils ont ensuite résisté à la charge internationale avec une météo capricieuse en après-midi, remportant les deux derniers matches.
«Nous avions vraiment besoin de ces deux points et les gars sont allés les chercher», a dit le capitaine américain, Fred Couples.
Hunter Mahan a réussi un roulé de 20 pieds au 17e, juste après que Jason Day ait énergisé la foule avec un roulé encore plus long, qu'il a célébré comme si le match allait se prolonger. Mahan et Bill Haas ont plutôt prévalu deux et un.
Quelques instants plus tard, Jim Furyk a couronné la journée avec une belle sortie de fosse de sable au 16e, puis Nick Watney a inscrit la normale au dernier trou pour un gain par un trou contre Adam Scott et Ernie Els, une victoire des plus cruciales.
Les Américains mènent donc 13-9 à l'approche des 12 matches individuels de dimanche. C'est un écart qui n'a jamais été comblé en 17 ans d'existence du tournoi.
La plus grande remontée en compétition par équipe a été lorsque les États-Unis ont effacé un déficit de quatre points pour remporter la coupe Ryder de 1999.
Les Européens ne lancent tout de même pas la serviette.
«Nous aurons besoin d'une journée exceptionnelle dimanche, mais rien n'est encore décidé», a dit Scott.
La seule fois où l'équipe internationale a remporté cette coupe au Royal Melbourne a été en 1998, avec neuf points d'avance pour amorcer la dernière journée. Woods a eu une fiche de 1-3 cette année-là, mais aucun de ses compatriotes ne s'était distingué.
Samedi, Woods a finalement récolté un point en jouant avec Dustin Johnson. Woods a concrétisé ce point avec un roulé de 25 pieds pour un oiselet.
«En ce moment nous avons une bonne avance, a philosophé Woods. Espérons que dimanche nous irons chercher les points dont nous avons besoin.»
Webb Simpson amorcera les hostilités contre K.T. Kim. Woods et Aaron Baddeley s'affronteront en 11e duel.
L'Australien Robert Allenby, un choix du capitaine, est le seul sans point d'un côté ou de l'autre. Scott a un rendement de 1-3, tandis que Baddeley et Day ont déçu en fins de ronde durant toute la semaine. Geoff Ogilvy est le seul Australien avec une fiche gagnante. Lui et K.J. Choi ont battu de peu Matt Kuchar et Steve Stricker, samedi en après-midi.
La journée de samedi a commencé avec un vent chaud et de la pluie à l'occasion mais s'est finie sous de fortes précipitations, un mercure à 10 degrés et un vent qui allait à l'opposé de celui du matin.
Furyk et Phil Mickelson brillent chez les Américains, n'ayant pas encore perdu de match.
«Nous sommes en bonne position, mais il nous faudra commencer avec beaucoup d'énergie dimanche», a mentionné Furyk.