Une normale de 2100$ pour C. Tremblay
Golf samedi, 19 juin 2010. 17:47 jeudi, 12 déc. 2024. 04:34
BERTHIERVILLE - La première ronde du Défi RBC, présentée sur les allées du club de golf Berthier, n'aura en quelque sorte servi qu'à dresser la table en vue de la ronde finale de cette version québécoise du skins game.
En bout de ligne, Vincent Dumouchel (LaPrairie/Verchères), Marc Girouard (Le Diamant), Billy Houle (Joliette) et Claude Tremblay (Le Boisé) auront joué au chat et à la souris, au cours des trois premiers trous, avant que Tremblay ne vienne trancher le débat, au quatrième, avec une normale qui lui a permis d'encaisser 2100 $. Le professionnel du club Le Boisé aura d'ailleurs été le seul à faire sonner la caisse en cette première journée.
La bonne nouvelle c'est que tout, ou presque, est sur la table pour la ronde finale de cette première étape de la Série Prestige Heineken. Dans un premier temps, les quatre professionnels batailleront pour une bourse de 5100 $, dès le premier trou, alors que globalement, l'enjeu de la journée sera de 17 900 $.
Auteur du premier et du seul "skin" de la journée, Claude Tremblay n'applaudissait pas autant le résultat de cette première ronde.
"Tous ont joué de façon ordinaire, mais ne me demandez pas pourquoi, a t-il dit. Je dois dire toutefois qu'à plusieurs reprises, j'ai frôlé le trou, mais rien n'a tombé. Qui sait, peut-être (dimanche) sera un meilleur jour."
Dumouchel, Houle et Girouard ont pour leur part dû se contenter de la bourse garantie de 1250 $, en lever de rideau de cette compétition dotée d'une bourse globale de 25 000 $.
Champion en titre, Dumouchel se montrait déçu de sa journée, alors qu'il n'avait réussi que deux oiselets qui, concrètement, n'auront servi qu'à annuler ceux de Tremblay, au premier trou, et de Billy Houle, au cinquième.
"Au cours des trois premiers trous, je me sentais très à l'aise, a dit Dumouchel. Puis voilà qu'à partir du quatrième, j'ai comme perdu un peu de ma motivation, pour une raison que j'ignore. Pourtant, je n'ai pas si mal joué, puisque ma carte de pointage indiquait moins un.
"Je me dis toutefois que tout n'est pas perdu pour autant, puisque l'an dernier, la première journée avait été également difficile, mais tout avait changé le lendemain. J'ose espérer qu'il pourrait en être de même, en ronde finale, surtout que tout est pratiquement encore sur la table pour cette dernière journée de la compétition."
"Je n'ai vraiment pas bien joué, avouait pour sa part Girouard. Mais il est très rare que je joue deux mauvaises rondes de suite. J'avais une chance au deuxième trou, mais j'ai raté, alors qu'au 9e, sur une distance de trente pieds environ, ma balle s'est arrêtée pratiquement sur le trou.
"Il faut dire que nous n'avons pas l'occasion de jouer souvent ce genre de compétition, et que de ce fait, on pourrait parler d'une ronde d'ajustement, aujourd'hui, pour un peu tout le monde. Je suis certain qu'avec la qualité de golfeurs en compétition, tout va se stabiliser demain et que nous verrons beaucoup plus d'oiselets.".
Finalement, Houle parlait un peu de nervosité dans son cas.
"Au terrain de pratique, tout semblait pourtant bien fonctionner. J'ai bien frappé mon décocheur, mais ce fut l'inverse pour les fers. La nervosité était peut-être présente, mais très légèrement. La vérité c'est que je ne me sentais pas vraiment confortable. Dans ce style de compétition, il faut se donner des chances et essayer d'en profiter au maximum. Mais peu importe le tournoi, ce sont les trois derniers trous qui comptent. La ronde finale sera donc très importante", a noté le porte-couleurs du club Joliette.
En bout de ligne, Vincent Dumouchel (LaPrairie/Verchères), Marc Girouard (Le Diamant), Billy Houle (Joliette) et Claude Tremblay (Le Boisé) auront joué au chat et à la souris, au cours des trois premiers trous, avant que Tremblay ne vienne trancher le débat, au quatrième, avec une normale qui lui a permis d'encaisser 2100 $. Le professionnel du club Le Boisé aura d'ailleurs été le seul à faire sonner la caisse en cette première journée.
La bonne nouvelle c'est que tout, ou presque, est sur la table pour la ronde finale de cette première étape de la Série Prestige Heineken. Dans un premier temps, les quatre professionnels batailleront pour une bourse de 5100 $, dès le premier trou, alors que globalement, l'enjeu de la journée sera de 17 900 $.
Auteur du premier et du seul "skin" de la journée, Claude Tremblay n'applaudissait pas autant le résultat de cette première ronde.
"Tous ont joué de façon ordinaire, mais ne me demandez pas pourquoi, a t-il dit. Je dois dire toutefois qu'à plusieurs reprises, j'ai frôlé le trou, mais rien n'a tombé. Qui sait, peut-être (dimanche) sera un meilleur jour."
Dumouchel, Houle et Girouard ont pour leur part dû se contenter de la bourse garantie de 1250 $, en lever de rideau de cette compétition dotée d'une bourse globale de 25 000 $.
Champion en titre, Dumouchel se montrait déçu de sa journée, alors qu'il n'avait réussi que deux oiselets qui, concrètement, n'auront servi qu'à annuler ceux de Tremblay, au premier trou, et de Billy Houle, au cinquième.
"Au cours des trois premiers trous, je me sentais très à l'aise, a dit Dumouchel. Puis voilà qu'à partir du quatrième, j'ai comme perdu un peu de ma motivation, pour une raison que j'ignore. Pourtant, je n'ai pas si mal joué, puisque ma carte de pointage indiquait moins un.
"Je me dis toutefois que tout n'est pas perdu pour autant, puisque l'an dernier, la première journée avait été également difficile, mais tout avait changé le lendemain. J'ose espérer qu'il pourrait en être de même, en ronde finale, surtout que tout est pratiquement encore sur la table pour cette dernière journée de la compétition."
"Je n'ai vraiment pas bien joué, avouait pour sa part Girouard. Mais il est très rare que je joue deux mauvaises rondes de suite. J'avais une chance au deuxième trou, mais j'ai raté, alors qu'au 9e, sur une distance de trente pieds environ, ma balle s'est arrêtée pratiquement sur le trou.
"Il faut dire que nous n'avons pas l'occasion de jouer souvent ce genre de compétition, et que de ce fait, on pourrait parler d'une ronde d'ajustement, aujourd'hui, pour un peu tout le monde. Je suis certain qu'avec la qualité de golfeurs en compétition, tout va se stabiliser demain et que nous verrons beaucoup plus d'oiselets.".
Finalement, Houle parlait un peu de nervosité dans son cas.
"Au terrain de pratique, tout semblait pourtant bien fonctionner. J'ai bien frappé mon décocheur, mais ce fut l'inverse pour les fers. La nervosité était peut-être présente, mais très légèrement. La vérité c'est que je ne me sentais pas vraiment confortable. Dans ce style de compétition, il faut se donner des chances et essayer d'en profiter au maximum. Mais peu importe le tournoi, ce sont les trois derniers trous qui comptent. La ronde finale sera donc très importante", a noté le porte-couleurs du club Joliette.