Van de Velde est à Montréal
Golf mardi, 14 août 2007. 18:27 jeudi, 12 déc. 2024. 04:41
«Ça me fait chaud au coeur d'être de retour à l'Omnium de Montréal Desjardins présenté par Lexus et j'espère que ma prestation golfique va être à la hauteur des bons mots que j'entends à mon endroit depuis mon arrivée ». Voilà les premiers mots du cousin français Jean Van de Velde au moment d'un point de presse peu de temps avant de participer au Pro-Am Casino de Montréal, un événement inscrit à l'Omnium de Montréal sur le parcours de championnat au Golf Saint-Raphaël.
« Ma santé, ça va mieux, beaucoup mieux. Par moment, ce fut l'enfer et j'ai eu bien peur. Je suis retourné sur le terrain d'exercice et le seul fait de pouvoir me retrouver en plein air fut aussi un facteur positif pour moi.
« Vous savez que le golf, c'est un peu comme le vélo, ça ne se perd pas », ajoute avec le sourire celui qui a terminé 20e l'an dernier et qui vise rien de moins que de retourner dans son patelin avec le trophée emblématique de l'Omnium de Montréal dans ses valises.
Van de Velde a admis être un peu fâché quand la maladie est apparue, et fort déçu.
« Tout allait bien sur le Circuit d'Europe avec trois top 10 et j'étais gonflé à bloc. J'envisageais une solide saison 2007. Aujourd'hui, tout est à refaire et je dois vous dire que je suis très motivé. »
Questionné sur Tiger Woods, le cousin français a été bref en disant qu'il ne voyait pas de quelle façon quelqu'un va arrêter le train que représente le numéro 1 mondial.
Même si l'Omnium Britannique remonte à un peu plus d'un mois à Carnoustie, il ne fut aucunement question de l'aventure du cousin français au point de presse.
Enfin, Jean Van de Velde est en faveur de l'adoption d'une règle sur le dopage par l'organisme « Royal and Ancient » et par le fait même sur le Circuit européen et la PGA d'Amérique. Sans vouloir émettre un commentaire sur les propos de Gary Player durant la semaine de l'Omnium Britannique, Van de Velde est convaincu que l'athlète de l'Afrique du Sud en sait peut-être plus que nous.
« Personnellement, je siège sur un comité en Europe depuis près de 18 mois traitant de la question. Il est important de garder notre sport sain, même si l'on sait qu'il y a toujours des brebis galeuses. Il est de notre devoir de mener la lutte contre le dopage. Notre sport est hautement médiatisé, sans oublier la hausse des bourses à la grandeur de la planète. Ça doit se faire par étape », de confier Jean Van de Velde, qui aura comme partenaire de jeu Carl Desjardins, le meilleur Québécois à l'Omnium de Montréal
2006 et le champion défendant, Wes Heffernan.
« Ma santé, ça va mieux, beaucoup mieux. Par moment, ce fut l'enfer et j'ai eu bien peur. Je suis retourné sur le terrain d'exercice et le seul fait de pouvoir me retrouver en plein air fut aussi un facteur positif pour moi.
« Vous savez que le golf, c'est un peu comme le vélo, ça ne se perd pas », ajoute avec le sourire celui qui a terminé 20e l'an dernier et qui vise rien de moins que de retourner dans son patelin avec le trophée emblématique de l'Omnium de Montréal dans ses valises.
Van de Velde a admis être un peu fâché quand la maladie est apparue, et fort déçu.
« Tout allait bien sur le Circuit d'Europe avec trois top 10 et j'étais gonflé à bloc. J'envisageais une solide saison 2007. Aujourd'hui, tout est à refaire et je dois vous dire que je suis très motivé. »
Questionné sur Tiger Woods, le cousin français a été bref en disant qu'il ne voyait pas de quelle façon quelqu'un va arrêter le train que représente le numéro 1 mondial.
Même si l'Omnium Britannique remonte à un peu plus d'un mois à Carnoustie, il ne fut aucunement question de l'aventure du cousin français au point de presse.
Enfin, Jean Van de Velde est en faveur de l'adoption d'une règle sur le dopage par l'organisme « Royal and Ancient » et par le fait même sur le Circuit européen et la PGA d'Amérique. Sans vouloir émettre un commentaire sur les propos de Gary Player durant la semaine de l'Omnium Britannique, Van de Velde est convaincu que l'athlète de l'Afrique du Sud en sait peut-être plus que nous.
« Personnellement, je siège sur un comité en Europe depuis près de 18 mois traitant de la question. Il est important de garder notre sport sain, même si l'on sait qu'il y a toujours des brebis galeuses. Il est de notre devoir de mener la lutte contre le dopage. Notre sport est hautement médiatisé, sans oublier la hausse des bourses à la grandeur de la planète. Ça doit se faire par étape », de confier Jean Van de Velde, qui aura comme partenaire de jeu Carl Desjardins, le meilleur Québécois à l'Omnium de Montréal
2006 et le champion défendant, Wes Heffernan.