Van de Velde sera des rondes finales
Golf vendredi, 4 août 2006. 18:50 samedi, 14 déc. 2024. 22:40
MIRABEL (PC) - Jean Van de Velde a réussi là où son compatriote Thomas Levet a échoué il y a un an.
Le golfeur français a assuré sa qualification pour les deux derniers parcours de l'Omnium de Montréal présenté au club Les Quatre Domaines, à Mirabel. En 2005, Levet n'avait pu éviter le couperet après 36 trous.
L'Américain Brock Mackenzie n'est pas venu près de répéter son exploit de la veille alors qu'il avait joué 61, mais il a quand même suffisamment bien fait pour se maintenir au sommet après le deuxième parcours.
Mackenzie a ramené une carte de 67 pour un cumulatif de 128, soit 16 coups sous la normale.
Van de Velde a rendu une carte de 71, vendredi, pour un cumulatif de 135, neuf coups sous la normale.
"C'est bien d'être sous le par sans avoir bien joué", a noté l'invité d'honneur du tournoi qui a joué sept coups de plus que la veille.
Van de Velde a plaidé la fatigue et un manque de réussite sur les verts. Il y a aussi deux ou trois coups qu'il aurait aimé reprendre.
"J'ai très mal dormi, sans doute le décalage horaire, a-t-il dit. J'ai regardé tourner l'horloge toute la nuit. Je n'ai pas dû dormir plus d'une demi-heure.
"Je me suis présenté sur le terrain sans la même énergie, a-t-il ajouté. J'ai pas mis de putts non plus."
Van de Velde a commis un boguey à son premier trou la journée, une normale-5. Il a envoyé sa balle loin sur la gauche. Au lieu de viser l'oiselet, il a dû se contenter d'un boguey, d'où l'impression d'avoir concédé deux coups au reste du peloton.
La balle a dû quitter le Canada pour se retrouver aux Etats-Unis, a-t-il blagué.
"Après ce mauvais départ, je me suis dit qu'il fallait atteindre les verts et me donner des chances d'oiselet. Il était important de maintenir la bonne attitude. Hier (jeudi), tout me semblait facile alors qu'aujourd'hui (vendredi), tout me paraissait difficile. Heureusement que j'ai tapé de bons coups quand il le fallait."
Il espère que le parcours de vendredi sera son pire de la semaine.
"Il y a de très bons joueurs ici, a-t-il rappelé. Je suis donc très content de me retrouver à moins-9. J'espère maintenant faire un bon score samedi."
Le peloton
Mackenzie devance d'un coup Wes Heffernan, de Calgary, auteur d'un 63. Suivent les Américains Rob Johnson et Brian Guetz, ex aequo à 130, et Darren Griff, de Nanaimo, en Colombie-Britannique, à 131.
"Je crois avoir mieux frappé la balle que jeudi, a déclaré Mackenzie. La différence a été mon jeu sur les verts."
L'Américain de Seattle dit apprécier sa position de meneur.
"Etre le meneur signifie que je peux commettre une ou deux erreurs de plus sans compromettre mes chances."
Mackenzie ne croit pas que le tournoi se gagnera à moins-32. Il devra toutefois continuer à accumuler les oiselets.
"Je serais très heureux de descendre à 25 sous la normale", a-t-il dit en rêvant presque.
Huit joueurs n'ont pu terminer leur jeu en raison de l'obscurité. Ils devront compléter leur parcours samedi matin. La coupure pourrait alors se situer à moins-4 ou moins-5.
Une belle sensation
Johnson a réussi une série de neuf oiselets en 10 trous dont six d'affilée. L'Américain de l'Indiana avait entrepris son parcours avec cinq normales, ce qui laissait présager une journée sans histoire.
"J'ai eu une séquence heureuse, a-t-il expliqué. Ici, l'important est de garder la balle dans l'allée. C'est ce que j'ai fait. Mon plus long roulé est survenu au 14e trou sur une distance de 30 pieds. J'avoue que jouer 62 est une belle sensation", a ajouté celui qui compte trois victoires au circuit canadien.
Guetz a bien entrepris l'année en remportant un tournoi au Texas.
"J'ai bien joué en début de saison. Mes trois derniers tournois n'ont pas été aussi bons. C'est pourquoi je suis heureux de mon jeu cette semaine. C'est bon d'entendre son coeur battre en voyant son nom au tableau des meneurs."
Mackenzie a ramené une carte de 67 pour un cumulatif de 128, soit 16 coups sous la normale.
Le golfeur français a assuré sa qualification pour les deux derniers parcours de l'Omnium de Montréal présenté au club Les Quatre Domaines, à Mirabel. En 2005, Levet n'avait pu éviter le couperet après 36 trous.
L'Américain Brock Mackenzie n'est pas venu près de répéter son exploit de la veille alors qu'il avait joué 61, mais il a quand même suffisamment bien fait pour se maintenir au sommet après le deuxième parcours.
Mackenzie a ramené une carte de 67 pour un cumulatif de 128, soit 16 coups sous la normale.
Van de Velde a rendu une carte de 71, vendredi, pour un cumulatif de 135, neuf coups sous la normale.
"C'est bien d'être sous le par sans avoir bien joué", a noté l'invité d'honneur du tournoi qui a joué sept coups de plus que la veille.
Van de Velde a plaidé la fatigue et un manque de réussite sur les verts. Il y a aussi deux ou trois coups qu'il aurait aimé reprendre.
"J'ai très mal dormi, sans doute le décalage horaire, a-t-il dit. J'ai regardé tourner l'horloge toute la nuit. Je n'ai pas dû dormir plus d'une demi-heure.
"Je me suis présenté sur le terrain sans la même énergie, a-t-il ajouté. J'ai pas mis de putts non plus."
Van de Velde a commis un boguey à son premier trou la journée, une normale-5. Il a envoyé sa balle loin sur la gauche. Au lieu de viser l'oiselet, il a dû se contenter d'un boguey, d'où l'impression d'avoir concédé deux coups au reste du peloton.
La balle a dû quitter le Canada pour se retrouver aux Etats-Unis, a-t-il blagué.
"Après ce mauvais départ, je me suis dit qu'il fallait atteindre les verts et me donner des chances d'oiselet. Il était important de maintenir la bonne attitude. Hier (jeudi), tout me semblait facile alors qu'aujourd'hui (vendredi), tout me paraissait difficile. Heureusement que j'ai tapé de bons coups quand il le fallait."
Il espère que le parcours de vendredi sera son pire de la semaine.
"Il y a de très bons joueurs ici, a-t-il rappelé. Je suis donc très content de me retrouver à moins-9. J'espère maintenant faire un bon score samedi."
Le peloton
Mackenzie devance d'un coup Wes Heffernan, de Calgary, auteur d'un 63. Suivent les Américains Rob Johnson et Brian Guetz, ex aequo à 130, et Darren Griff, de Nanaimo, en Colombie-Britannique, à 131.
"Je crois avoir mieux frappé la balle que jeudi, a déclaré Mackenzie. La différence a été mon jeu sur les verts."
L'Américain de Seattle dit apprécier sa position de meneur.
"Etre le meneur signifie que je peux commettre une ou deux erreurs de plus sans compromettre mes chances."
Mackenzie ne croit pas que le tournoi se gagnera à moins-32. Il devra toutefois continuer à accumuler les oiselets.
"Je serais très heureux de descendre à 25 sous la normale", a-t-il dit en rêvant presque.
Huit joueurs n'ont pu terminer leur jeu en raison de l'obscurité. Ils devront compléter leur parcours samedi matin. La coupure pourrait alors se situer à moins-4 ou moins-5.
Une belle sensation
Johnson a réussi une série de neuf oiselets en 10 trous dont six d'affilée. L'Américain de l'Indiana avait entrepris son parcours avec cinq normales, ce qui laissait présager une journée sans histoire.
"J'ai eu une séquence heureuse, a-t-il expliqué. Ici, l'important est de garder la balle dans l'allée. C'est ce que j'ai fait. Mon plus long roulé est survenu au 14e trou sur une distance de 30 pieds. J'avoue que jouer 62 est une belle sensation", a ajouté celui qui compte trois victoires au circuit canadien.
Guetz a bien entrepris l'année en remportant un tournoi au Texas.
"J'ai bien joué en début de saison. Mes trois derniers tournois n'ont pas été aussi bons. C'est pourquoi je suis heureux de mon jeu cette semaine. C'est bon d'entendre son coeur battre en voyant son nom au tableau des meneurs."
Mackenzie a ramené une carte de 67 pour un cumulatif de 128, soit 16 coups sous la normale.