Wagner commence en lion
Golf jeudi, 22 mai 2008. 21:40 jeudi, 12 déc. 2024. 15:01
FORT WORTH, Texas - Johnson Wagner a commis deux bogueys à mi-chemin de la première ronde du Crowne Plaza Invitational, jeudi, mais ce furent là ses seules bourdes de la journée. Wagner a en effet joué 63, sept coups sous la normale, ce qui égale sa meilleure ronde sur le circuit de la PGA, pour s'emparer de la tête.
Après avoir commis un boguey au 10e trou, Wagner s'est repris en y allant de trois oiselets consécutifs. Il en a ajouté deux autres avant la fin de la ronde pour porter son total de la journée à neuf, ce qui lui permet de devancer par deux coups Phil Mickelson et Brett Wetterich.
"C'était comme si la ronde allait m'échapper", a commenté Wagner.
Mais cela ne fut pas le cas, même après que son coup d'approche au 11e ait dévié en raison du vent et qu'il se soit retrouvé dans l'herbe longue, bien à la gauche du vert. Wagner s'est sorti de l'impasse au coup suivant en envoyant sa balle à six pieds de la coupe.
"J'ai décidé de jouer le tout pour le tout et de tenter le coup impossible. Et j'ai réussi", a souligné Wagner. Ça m'a permis de me reprendre."
Wetterich a lui aussi inscrit des oiselets entre les 11e et 13e trous, puis a joué la normale jusqu'à la fin de la ronde, pour conclure avec un 65.
Mickelson, le gagnant du tournoi en 2000 et qui est de retour à Colonial pour la première fois en trois ans, a calé un roulé de 12 pieds pour l'oiselet au dernier trou après avoir raté un roulé de sept pieds au 17e.
Le peloton comprend cinq des dix meilleurs joueurs au monde, soit le plus grand nombre depuis 2004.
Mickelson est le seul à avoir teminé au-dessus de la normale. Jim Furyk (71), Geoff Ogilvy (72), K.J. Choi (73) et Steve Stricker (74) ont tous connu des difficultés.
Glen Day (66), auteur d'une ronde sans boguey, est seul au quatrième échelon.
"J'adore ce parcours. Mes coups ne sont pas très puissants mais je peux encore y jouer puisque le terrain est ferme", a indiqué Day, qui ne compte aucun top 3 depuis 2004.
"Ici il faut réussir un assortiment de coups, ce qui n'existe plus dans le golf d'aujourd'hui. Ces jeunes-là frappent leur coups de départ avec le plus de puissance possible, dans une direction, et c'est tout. J'aime le style de jeu à l'ancienne."
Le double vainqueur du tournoi, Corey Pavin, de même que Dudley Hart, font partie d'un groupe de huit golfeurs ayant joué 67.
Stephen Ames (68), de Calgary, est 13e, à égalité, à cinq coups de la tête. C'est trois coups de mieux que Mike Weir (71), de Bright's Grove (Ont.), et quatre de mieux que Jon Mills (72), d'Oshawa (Ont.)
Wagner était à -4 après sept trous, lui qui avait réussi deux oiselets entre les 3e et 5e trous, ce qui correspond à une portion du parcours connue sous le nom de "horrible horseshoe" à cause de la façon dont ils sont dessinés, et parce que ces plus longs par-4 du parcours entourent en sandwich un par-3 de 252 verges.
Les deux bogueys commis à mi-parcours n'ont pas eu le même effet sur Wagner qu'avant sa première victoire au sein de la PGA.
"Maintenant que je suis un gagnant je devrais jouer mieux. Je me sens plus confortable, plus en confiance. Je m'amuse davantage et je ne laisse pas les bogueys ou les doubles bogueys me déranger. Au début de l'année j'aurais été horriblement frustré et découragé", a expliqué le meneur.
Jusqu'à sa victoire à l'Omnium Shell de Houston, le jeu de Wagner avait amplement de quoi le contrarier. Celui-ci a en effet raté la qualification six fois de suite après s'être classé 36e, à égalité, à la classique Bob Hope Chrysler, son premier tournoi de la saison. Il a en outre fini 78e et 64e respectivement lors des deux semaines précédant le tournoi de Houston.
Le champion en titre, Rory Sabbatini, a entrepris la ronde avec un oiselet, avant de commettre trois bogueys entre le 3e et le 5e trous. Il a terminé à 71, un coup au-dessus de la normale.
Après avoir commis un boguey au 10e trou, Wagner s'est repris en y allant de trois oiselets consécutifs. Il en a ajouté deux autres avant la fin de la ronde pour porter son total de la journée à neuf, ce qui lui permet de devancer par deux coups Phil Mickelson et Brett Wetterich.
"C'était comme si la ronde allait m'échapper", a commenté Wagner.
Mais cela ne fut pas le cas, même après que son coup d'approche au 11e ait dévié en raison du vent et qu'il se soit retrouvé dans l'herbe longue, bien à la gauche du vert. Wagner s'est sorti de l'impasse au coup suivant en envoyant sa balle à six pieds de la coupe.
"J'ai décidé de jouer le tout pour le tout et de tenter le coup impossible. Et j'ai réussi", a souligné Wagner. Ça m'a permis de me reprendre."
Wetterich a lui aussi inscrit des oiselets entre les 11e et 13e trous, puis a joué la normale jusqu'à la fin de la ronde, pour conclure avec un 65.
Mickelson, le gagnant du tournoi en 2000 et qui est de retour à Colonial pour la première fois en trois ans, a calé un roulé de 12 pieds pour l'oiselet au dernier trou après avoir raté un roulé de sept pieds au 17e.
Le peloton comprend cinq des dix meilleurs joueurs au monde, soit le plus grand nombre depuis 2004.
Mickelson est le seul à avoir teminé au-dessus de la normale. Jim Furyk (71), Geoff Ogilvy (72), K.J. Choi (73) et Steve Stricker (74) ont tous connu des difficultés.
Glen Day (66), auteur d'une ronde sans boguey, est seul au quatrième échelon.
"J'adore ce parcours. Mes coups ne sont pas très puissants mais je peux encore y jouer puisque le terrain est ferme", a indiqué Day, qui ne compte aucun top 3 depuis 2004.
"Ici il faut réussir un assortiment de coups, ce qui n'existe plus dans le golf d'aujourd'hui. Ces jeunes-là frappent leur coups de départ avec le plus de puissance possible, dans une direction, et c'est tout. J'aime le style de jeu à l'ancienne."
Le double vainqueur du tournoi, Corey Pavin, de même que Dudley Hart, font partie d'un groupe de huit golfeurs ayant joué 67.
Stephen Ames (68), de Calgary, est 13e, à égalité, à cinq coups de la tête. C'est trois coups de mieux que Mike Weir (71), de Bright's Grove (Ont.), et quatre de mieux que Jon Mills (72), d'Oshawa (Ont.)
Wagner était à -4 après sept trous, lui qui avait réussi deux oiselets entre les 3e et 5e trous, ce qui correspond à une portion du parcours connue sous le nom de "horrible horseshoe" à cause de la façon dont ils sont dessinés, et parce que ces plus longs par-4 du parcours entourent en sandwich un par-3 de 252 verges.
Les deux bogueys commis à mi-parcours n'ont pas eu le même effet sur Wagner qu'avant sa première victoire au sein de la PGA.
"Maintenant que je suis un gagnant je devrais jouer mieux. Je me sens plus confortable, plus en confiance. Je m'amuse davantage et je ne laisse pas les bogueys ou les doubles bogueys me déranger. Au début de l'année j'aurais été horriblement frustré et découragé", a expliqué le meneur.
Jusqu'à sa victoire à l'Omnium Shell de Houston, le jeu de Wagner avait amplement de quoi le contrarier. Celui-ci a en effet raté la qualification six fois de suite après s'être classé 36e, à égalité, à la classique Bob Hope Chrysler, son premier tournoi de la saison. Il a en outre fini 78e et 64e respectivement lors des deux semaines précédant le tournoi de Houston.
Le champion en titre, Rory Sabbatini, a entrepris la ronde avec un oiselet, avant de commettre trois bogueys entre le 3e et le 5e trous. Il a terminé à 71, un coup au-dessus de la normale.