Woods repousse de nouvelles limites
Golf lundi, 17 mars 2008. 19:34 vendredi, 13 déc. 2024. 21:23
DORAL, Floride - Le résultat n'a jamais semblé aussi inévitable. Tiger Woods n'a jamais semblé aussi invincible.
Le numéro un mondial devait calé un roulé de 25 pieds sur le dernier trou du club Bay Hill. Au moment où Woods s'est penché sur sa balle et que la foule s'est tue, ça n'avait plus d'importance que Woods n'ait pas réussi un roulé aussi long de tout le tournoi.
Ce roulé-là était pour la victoire.
Pour la plupart des joueurs, caler un roulé dans un moment aussi crucial et un des moments forts de leur carrière. Pour Woods, c'est la routine habituelle.
"Vous savez ce qu'il va faire, n'est-ce pas?", a demandé Arnorld Palmer, aux abords du vert, avant que Woods ne frappe sa balle et la regarde descendre la pente droit vers la coupe pour inscrire une victoire par un coup.
Pour Woods, c'est la sensation ultime.
"C'est de savoir que vous avez l'opportunité de mettre fin au tournoi, que c'est entre vos mains, a-t-il déclaré. Le résultat est toujours inconnu. C'est comme d'être en possession du ballon avec seulement quelques secondes à jouer. Vous le voulez ou pas? Je préfère l'avoir entre les mains."
Récemment, Woods a atteint la cible à chaque fois.
Le "Florida Swing" - la série de quatre tournois disputés en Floride au début de la saison - a longtemps été connue comme la route menant au tournoi des Maîtres, qui sera disputé dans trois semaines. Le jeu de Woods est déjà à son meilleur et il domine le plateau. Sa victoire à l'Invitation Arnold Palmer, dimanche, était sa cinquième consécutive sur le circuit et sa sixième à travers le monde, une séquence débutée il y a six mois, sa plus longue en carrière. Quand il a remporté sept victoires consécutives sur le circuit en 2006-07, la deuxième plus longue séquence depuis les 11 de Byron Nelson en 1945, il avait perdu trois tournois outre-mer.
Maintenant, même les puristes se demandent s'il peut franchir la saison sans perdre un tournoi.
"C'est incroyable, n'est-ce pas? s'est demandé Steve Stricker, lundi. Vous croyez qu'à un moment donné, il ne réussira pas, mais il continue de réussir tous ces coups. Maintenant, vous vous attendez à ce qu'il réussisse. Vous apprenez qu'avec lui, rien n'est imprévisible."
Le golf est plus global aujourd'hui qu'il ne l'était il y a 50 ans, alors la séquence victorieuse de Woods est compliquée. C'est la troisième fois qu'il remporte au moins cinq tournois consécutifs et il a également remporté une victoire sur le circuit européen le mois dernier, jouant 31 sur le neuf de retour pour combler un déficit de quatre coups.
Il a aussi remporté le Target World Challenge en décembre, mais cette victoire ne compte pas, puisqu'il s'agit d'un tournoi organisé par Woods pour une oeuvre de charité, auquel seuls les 16 meilleurs golfeurs au classement mondial sont conviés. Pour ce que ça vaut, Woods a gagné par sept coups.
Woods est si dominant qu'il a remporté sept des huit derniers tournois de la PGA auxquels il a pris part, l'exception étant sa deuxième place au championnat Deutsche Bank, en septembre, une épreuve remportée par Phil Mickelson. Woods a remporté 16 des 25 tournois auxquels il a pris part depuis l'Omnium britannique de 2006.
Le numéro un mondial devait calé un roulé de 25 pieds sur le dernier trou du club Bay Hill. Au moment où Woods s'est penché sur sa balle et que la foule s'est tue, ça n'avait plus d'importance que Woods n'ait pas réussi un roulé aussi long de tout le tournoi.
Ce roulé-là était pour la victoire.
Pour la plupart des joueurs, caler un roulé dans un moment aussi crucial et un des moments forts de leur carrière. Pour Woods, c'est la routine habituelle.
"Vous savez ce qu'il va faire, n'est-ce pas?", a demandé Arnorld Palmer, aux abords du vert, avant que Woods ne frappe sa balle et la regarde descendre la pente droit vers la coupe pour inscrire une victoire par un coup.
Pour Woods, c'est la sensation ultime.
"C'est de savoir que vous avez l'opportunité de mettre fin au tournoi, que c'est entre vos mains, a-t-il déclaré. Le résultat est toujours inconnu. C'est comme d'être en possession du ballon avec seulement quelques secondes à jouer. Vous le voulez ou pas? Je préfère l'avoir entre les mains."
Récemment, Woods a atteint la cible à chaque fois.
Le "Florida Swing" - la série de quatre tournois disputés en Floride au début de la saison - a longtemps été connue comme la route menant au tournoi des Maîtres, qui sera disputé dans trois semaines. Le jeu de Woods est déjà à son meilleur et il domine le plateau. Sa victoire à l'Invitation Arnold Palmer, dimanche, était sa cinquième consécutive sur le circuit et sa sixième à travers le monde, une séquence débutée il y a six mois, sa plus longue en carrière. Quand il a remporté sept victoires consécutives sur le circuit en 2006-07, la deuxième plus longue séquence depuis les 11 de Byron Nelson en 1945, il avait perdu trois tournois outre-mer.
Maintenant, même les puristes se demandent s'il peut franchir la saison sans perdre un tournoi.
"C'est incroyable, n'est-ce pas? s'est demandé Steve Stricker, lundi. Vous croyez qu'à un moment donné, il ne réussira pas, mais il continue de réussir tous ces coups. Maintenant, vous vous attendez à ce qu'il réussisse. Vous apprenez qu'avec lui, rien n'est imprévisible."
Le golf est plus global aujourd'hui qu'il ne l'était il y a 50 ans, alors la séquence victorieuse de Woods est compliquée. C'est la troisième fois qu'il remporte au moins cinq tournois consécutifs et il a également remporté une victoire sur le circuit européen le mois dernier, jouant 31 sur le neuf de retour pour combler un déficit de quatre coups.
Il a aussi remporté le Target World Challenge en décembre, mais cette victoire ne compte pas, puisqu'il s'agit d'un tournoi organisé par Woods pour une oeuvre de charité, auquel seuls les 16 meilleurs golfeurs au classement mondial sont conviés. Pour ce que ça vaut, Woods a gagné par sept coups.
Woods est si dominant qu'il a remporté sept des huit derniers tournois de la PGA auxquels il a pris part, l'exception étant sa deuxième place au championnat Deutsche Bank, en septembre, une épreuve remportée par Phil Mickelson. Woods a remporté 16 des 25 tournois auxquels il a pris part depuis l'Omnium britannique de 2006.