Haltérophilie : six cas de dopage
Jeux olympiques mercredi, 18 août 2004. 17:51 dimanche, 15 déc. 2024. 11:47
ATHENES (AFP) - Un responsable de la Fédération internationale d'haltérophilie (IWF) a annoncé mercredi soir que l'IWF allait révéler le nom de six athlètes contrôlés positifs avant leur voyage vers Athènes afin de participer aux Jeux olympiques.
"C'est terrible (pour notre sport)", a affirmé un responsable de l'IWF qui a requis l'anonymat.
"Nous préparons un communiqué", a précisé Sam Coffa, un membre de l'IWF qui préside le jury des épreuves d'haltérophilie des Jeux d'Athènes. "Je ne peux pas confirmer les détails, mais s'il y a des tricheurs, je serai content si nous pouvons les attraper et les exclure des Jeux", a-t-il ajouté.
Mercredi matin, le Hongrois Zoltan Kecskes, inscrit dans la catégorie des 69 kg, ne s'est pas présenté à l'épreuve. Selon une source de l'IWF, il serait l'un des six sportifs concernés par le dopage.
Mardi, la Marocaine Wafa Ammouri, contrôlée positive avant de concourir ce mercredi chez les 63 kg, a regagné le Maroc.
Dimanche, la Birmane Aye Khine Nan avait été la première haltérophile à être renvoyée après avoir subi un contrôle antidopage positif le 12 août, 24 heures avant l'ouverture officielle des Jeux.
Depuis le début des JO d'Athènes, quatre athlètes ont été exclus pour avoir été contrôlés positif avant le début des compétitions.
Le boxeur kenyan David Munyasia, 24 ans, avait été le premier à être renvoyé après un contrôle positif à la cathine (stimulant). Le lanceur de poids slovaque Milan Haborak l'a suivi suite à un contrôle positif aux peptides d'hormones en juillet.
Mardi, le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rejeté à Athènes l'appel de l'athlète américaine Torri Edwards et confirmé la suspension de deux ans pour dopage que lui a infligé l'Association américaine d'arbitrage. La championne du monde du 100 m perd sa place dans la sélection olympique américaine.
Enfin, les athlètes Costas Kenteris et Ekaterini Thanou, qui ne s'étaient pas présentés à un contrôle antidopage inopiné le 12 août, ont renoncé mercredi matin à participer à "leurs" Jeux après avoir été entendus par la commission de discipline du Comité international olympique.
"C'est terrible (pour notre sport)", a affirmé un responsable de l'IWF qui a requis l'anonymat.
"Nous préparons un communiqué", a précisé Sam Coffa, un membre de l'IWF qui préside le jury des épreuves d'haltérophilie des Jeux d'Athènes. "Je ne peux pas confirmer les détails, mais s'il y a des tricheurs, je serai content si nous pouvons les attraper et les exclure des Jeux", a-t-il ajouté.
Mercredi matin, le Hongrois Zoltan Kecskes, inscrit dans la catégorie des 69 kg, ne s'est pas présenté à l'épreuve. Selon une source de l'IWF, il serait l'un des six sportifs concernés par le dopage.
Mardi, la Marocaine Wafa Ammouri, contrôlée positive avant de concourir ce mercredi chez les 63 kg, a regagné le Maroc.
Dimanche, la Birmane Aye Khine Nan avait été la première haltérophile à être renvoyée après avoir subi un contrôle antidopage positif le 12 août, 24 heures avant l'ouverture officielle des Jeux.
Depuis le début des JO d'Athènes, quatre athlètes ont été exclus pour avoir été contrôlés positif avant le début des compétitions.
Le boxeur kenyan David Munyasia, 24 ans, avait été le premier à être renvoyé après un contrôle positif à la cathine (stimulant). Le lanceur de poids slovaque Milan Haborak l'a suivi suite à un contrôle positif aux peptides d'hormones en juillet.
Mardi, le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rejeté à Athènes l'appel de l'athlète américaine Torri Edwards et confirmé la suspension de deux ans pour dopage que lui a infligé l'Association américaine d'arbitrage. La championne du monde du 100 m perd sa place dans la sélection olympique américaine.
Enfin, les athlètes Costas Kenteris et Ekaterini Thanou, qui ne s'étaient pas présentés à un contrôle antidopage inopiné le 12 août, ont renoncé mercredi matin à participer à "leurs" Jeux après avoir été entendus par la commission de discipline du Comité international olympique.