Aréna: non à la taxe sur l'essence
Hockey jeudi, 17 févr. 2011. 17:47 jeudi, 12 déc. 2024. 10:33
OTTAWA - Plus de deux Canadiens sur trois estiment que les Villes ne devraient pas avoir la permission d'utiliser une partie des revenus provenant de la taxe fédérale sur l'essence pour la construction d'un amphithéâtre destiné à accueillir une équipe professionnelle de sport.
Selon le coup de sonde réalisé pour La Presse Canadienne par Harris-Décima, quelque 69 pour cent des 1000 Canadiens interrogés estiment que la taxe sur l'essence ne devrait pas être utilisée à ces fins.
Au Québec, 32 pour cent des répondants estiment que les Villes pourraient financer la construction d'un amphithéâtre en partie avec les revenus générés par la taxe sur l'essence. Il s'agit du plus haut taux d'approbation à l'échelle nationale.
Ottawa reverse l'argent de la taxe sur l'essence aux municipalités en stipulant qu'il doit être consacré aux infrastructures comme les ponts et chaussées, les égouts et les systèmes de traitement des eaux.
Pas moins de 90 pour cent des répondants canadiens sont d'accord avec ces conditions. C'est au Québec que l'appui est le plus bas au pays sur cette question, mais il est tout de même de 87 pour cent.
Au Québec, les ménages dont les revenus sont les plus élevés sont les plus défavorables à l'idée de consacrer une partie de la taxe sur l'essence à la construction d'un amphithéâtre. Dix-neuf pour cent seulement jugent qu'il s'agit d'une option intéressante.
Selon le coup de sonde réalisé pour La Presse Canadienne par Harris-Décima, quelque 69 pour cent des 1000 Canadiens interrogés estiment que la taxe sur l'essence ne devrait pas être utilisée à ces fins.
Au Québec, 32 pour cent des répondants estiment que les Villes pourraient financer la construction d'un amphithéâtre en partie avec les revenus générés par la taxe sur l'essence. Il s'agit du plus haut taux d'approbation à l'échelle nationale.
Ottawa reverse l'argent de la taxe sur l'essence aux municipalités en stipulant qu'il doit être consacré aux infrastructures comme les ponts et chaussées, les égouts et les systèmes de traitement des eaux.
Pas moins de 90 pour cent des répondants canadiens sont d'accord avec ces conditions. C'est au Québec que l'appui est le plus bas au pays sur cette question, mais il est tout de même de 87 pour cent.
Au Québec, les ménages dont les revenus sont les plus élevés sont les plus défavorables à l'idée de consacrer une partie de la taxe sur l'essence à la construction d'un amphithéâtre. Dix-neuf pour cent seulement jugent qu'il s'agit d'une option intéressante.