Le commissaire de la Ligue de hockey junior majeur du Québec, Gilles Courteau, a annoncé mercredi qu'aucun test positif n'a été enregistré dans le cadre de son programme antidopage, et ce, sur un total de 48 échantillons prélevés aléatoirement au cours de la campagne 2006-07.

« Nous sommes évidemment très heureux de ce résultat », a commenté le commissaire. « Sans aucun doute, nous avons une responsabilité envers les joueurs qui sont placés sous notre supervision; il est de notre devoir de les protéger et de les éduquer afin qu'ils priorisent la santé et le bien-être. Ainsi, nous continuerons à lutter contre le dopage en imposant les sanctions appropriées aux intervenants impliqués de près ou de loin dans les activités de la LHJMQ et qui utilisent ou ferment les yeux sur l'utilisation de substances interdites. »

La politique antidopage, créée en 2004, établit un programme de prévention visant à informer et à éduquer les joueurs sur les conséquences de l'usage de drogues et de produits illicites en plus de leur fournir les ressources et mécanismes d'intervention nécessaires.