Bégin espère un regain de confiance
Hockey dimanche, 11 mars 2007. 00:28 dimanche, 15 déc. 2024. 07:26
ST. LOUIS - Le Canadien a évité la catastrophe après avoir vu les Blues combler un retard de trois buts. Une défaite, une cinquième en succession, aurait pu signer l'arrêt de mort de l'équipe.
«J'espère que cette victoire va nous redonner de la confiance, a avancé Steve Bégin. Ce soir, on a réellement travaillé. C'était l'objectif. Les Blues ont aussi travaillé très fort. Ils n'abandonnent pas, c'est une équipe très intense, combative.»
Bégin a estimé que le Tricolore a été impliqué dans un des matchs les plus durs physiquement depuis environ un mois.
«C'était intense de part et d'autre. C'était comme un match des séries éliminatoires. On a bien réagi. On devra apporter la même intensité, sinon plus forte, à notre prochain match, mardi, contre les Islanders de New York.»
Guy Carbonneau a aussi apprécié l'effort qu'a fourni l'équipe.
«On avait parlé avant le match de l'importance de jouer 60 bonnes minutes, a relevé l'entraîneur. Il arrive à un moment donné que les gars soient «tannés» de perdre. Ç'a paru en début de match.
«Depuis un mois, on a eu des hauts et des bas. On était bon dans certains aspects et mauvais dans d'autres. Ce soir, on a fourni l'effort pendant tout le match. Les Blues nous ont fait travailler.
«Ça n'a pas été facile, mais c'est une bonne façon de l'emporter.»
Carbonneau avait encore apporté des changements aux trios, afin de fouetter l'équipe. Après six minutes de jeu, tout était à refaire en raison de la perte de Mike Johnson.
«On voulait mélanger les joueurs combatifs et joueurs talentueux dans tous les trios. C'était l'idée derrière utiliser Alex Kovalev avec Steve Bégin et Maxim Lapierre. La même chose pour ce qui est du trio de Radek Bonk avec Garth Murray et Michael Ryder. Et Saku Koivu avec Johnson avec Chris Higgins.
«On savait que les Blues ne feraient pas dans la dentelle et que ce serait une guerre de tranchées.»
Un style de jeu dans lequel Lapierre est à l'aise. Le Repentignois en a profité pour mettre fin à une disette de 29 matchs sans but.
«C'est mon style de m'impliquer physiquement et de patiner. C'est ce qui m'a permis de connaître du succès dans la Ligue américaine. C'est de cette façon que je dois jouer ici. Je savais que je n'avais pas marqué depuis longtemps, mais je ne m'en faisais pas avec ça. Comme membre du quatrième trio, mon rôle n'est pas offensif.»
«J'espère que cette victoire va nous redonner de la confiance, a avancé Steve Bégin. Ce soir, on a réellement travaillé. C'était l'objectif. Les Blues ont aussi travaillé très fort. Ils n'abandonnent pas, c'est une équipe très intense, combative.»
Bégin a estimé que le Tricolore a été impliqué dans un des matchs les plus durs physiquement depuis environ un mois.
«C'était intense de part et d'autre. C'était comme un match des séries éliminatoires. On a bien réagi. On devra apporter la même intensité, sinon plus forte, à notre prochain match, mardi, contre les Islanders de New York.»
Guy Carbonneau a aussi apprécié l'effort qu'a fourni l'équipe.
«On avait parlé avant le match de l'importance de jouer 60 bonnes minutes, a relevé l'entraîneur. Il arrive à un moment donné que les gars soient «tannés» de perdre. Ç'a paru en début de match.
«Depuis un mois, on a eu des hauts et des bas. On était bon dans certains aspects et mauvais dans d'autres. Ce soir, on a fourni l'effort pendant tout le match. Les Blues nous ont fait travailler.
«Ça n'a pas été facile, mais c'est une bonne façon de l'emporter.»
Carbonneau avait encore apporté des changements aux trios, afin de fouetter l'équipe. Après six minutes de jeu, tout était à refaire en raison de la perte de Mike Johnson.
«On voulait mélanger les joueurs combatifs et joueurs talentueux dans tous les trios. C'était l'idée derrière utiliser Alex Kovalev avec Steve Bégin et Maxim Lapierre. La même chose pour ce qui est du trio de Radek Bonk avec Garth Murray et Michael Ryder. Et Saku Koivu avec Johnson avec Chris Higgins.
«On savait que les Blues ne feraient pas dans la dentelle et que ce serait une guerre de tranchées.»
Un style de jeu dans lequel Lapierre est à l'aise. Le Repentignois en a profité pour mettre fin à une disette de 29 matchs sans but.
«C'est mon style de m'impliquer physiquement et de patiner. C'est ce qui m'a permis de connaître du succès dans la Ligue américaine. C'est de cette façon que je dois jouer ici. Je savais que je n'avais pas marqué depuis longtemps, mais je ne m'en faisais pas avec ça. Comme membre du quatrième trio, mon rôle n'est pas offensif.»