Bob Hartley, dans la mire du Junior
Hockey lundi, 17 mars 2008. 13:06 mercredi, 11 déc. 2024. 23:57
Stéphane Leroux
Il y a une semaine, l'organisation du Junior de Montréal dévoilait le nom de son équipe et ses couleurs. La prochaine étape sera de présenter au public le nouvel entraîneur-chef et directeur général de la formation. Déjà plusieurs noms circulent dans les amphithéâtres du circuit Courteau et de la Ligue Midget AAA, mais de plus en plus un nom se détache du peloton soit celui de Bob Hartley.
Congédié par les Thrashers d'Atlanta en début de saison, Hartley, qui a gagné la coupe Stanley avec l'Avalanche du Colorado, pourrait être tenté de revenir dans la Ligue junior majeur du Québec, un circuit qui a lancé sa carrière avec le Titan de Laval au début des années 90. Certes Hartley espère rebondir quelque part dans la Ligue nationale et cela demeure sa priorité, mais l'option de diriger le Junior de Montréal la saison prochaine pourrait lui permettre de rester dans le milieu du hockey et qui sait, peut-être comme Alain Vigneault avec le Rocket, lui servir de tremplin pour revenir un jour dans le grand circuit.
Hartley, qui a gagné la coupe du Président avec le Titan en 1993, a confirmé avoir eu des discussions préliminaires avec les dirigeants du Junior. Il a d'ailleurs assisté au match entre les Fog Devils (la future équipe de Montréal) et les Cataractes de Shawinigan de son bon ami Éric Veilleux, le 24 février dernier à l'Aréna Jacques-Plante. Hartley apporterait une crédibilité instantanée au nouveau groupe du Junior de Montréal sans compter qu'il serait capable d'animer une saine rivalité avec son ancien gardien Patrick Roy à Québec. Hartley serait le meilleur « vendeur » que la nouvelle concession montréalaise pourrait avoir pour lancer l'équipe à l'automne. L'entraîneur originaire de Hawkesbury a déjà ses entrées dans plusieurs médias de la métropole (RDS & CKAC notamment).
S'il y a un bémol dans l'éventuelle embauche de Hartley avec le Junior de Montréal c'est au niveau de la stabilité. Avec un Hartley derrière le banc, le Junior serait certes entre bonnes mains, mais ses dirigeants sauraient pertinemment qu'à n'importe quel moment, un coup de téléphone d'une équipe du circuit Bettman pourrait arriver et placer le Junior orphelin d'entraîneur. Est-ce un risque que Farrel Miller et Martin Routhier sont prêts à prendre? Poser la question, c'est y répondre.
À suivre
Congédié par les Thrashers d'Atlanta en début de saison, Hartley, qui a gagné la coupe Stanley avec l'Avalanche du Colorado, pourrait être tenté de revenir dans la Ligue junior majeur du Québec, un circuit qui a lancé sa carrière avec le Titan de Laval au début des années 90. Certes Hartley espère rebondir quelque part dans la Ligue nationale et cela demeure sa priorité, mais l'option de diriger le Junior de Montréal la saison prochaine pourrait lui permettre de rester dans le milieu du hockey et qui sait, peut-être comme Alain Vigneault avec le Rocket, lui servir de tremplin pour revenir un jour dans le grand circuit.
Hartley, qui a gagné la coupe du Président avec le Titan en 1993, a confirmé avoir eu des discussions préliminaires avec les dirigeants du Junior. Il a d'ailleurs assisté au match entre les Fog Devils (la future équipe de Montréal) et les Cataractes de Shawinigan de son bon ami Éric Veilleux, le 24 février dernier à l'Aréna Jacques-Plante. Hartley apporterait une crédibilité instantanée au nouveau groupe du Junior de Montréal sans compter qu'il serait capable d'animer une saine rivalité avec son ancien gardien Patrick Roy à Québec. Hartley serait le meilleur « vendeur » que la nouvelle concession montréalaise pourrait avoir pour lancer l'équipe à l'automne. L'entraîneur originaire de Hawkesbury a déjà ses entrées dans plusieurs médias de la métropole (RDS & CKAC notamment).
S'il y a un bémol dans l'éventuelle embauche de Hartley avec le Junior de Montréal c'est au niveau de la stabilité. Avec un Hartley derrière le banc, le Junior serait certes entre bonnes mains, mais ses dirigeants sauraient pertinemment qu'à n'importe quel moment, un coup de téléphone d'une équipe du circuit Bettman pourrait arriver et placer le Junior orphelin d'entraîneur. Est-ce un risque que Farrel Miller et Martin Routhier sont prêts à prendre? Poser la question, c'est y répondre.
À suivre
