"C'est regrettable pour les partisans"
Hockey mardi, 26 juin 2007. 18:13 jeudi, 12 déc. 2024. 03:51
Patrick Roy est amer de la tournure des événements quant à la sélection un peu tardive d'Angelo Esposito au repêchage de la Ligue nationale de hockey. L'entraîneur-chef des Remparts de Québec s'est dit étonné de ne pas voir son joueur sortir plus tôt, tout en précisant que Pittsburgh était un endroit idéal pour la poursuite de son développement.
"Il ne pouvait pas tomber à une meilleure place, croit Roy. Pittsburgh, pour lui, va s'avérer un endroit idéal. Il va sûrement avoir d'excellents modèles devant lui pour apprendre. C'est une organisation qui a bien repêché dans les dernières années."
L'ancien gardien du Canadien et de l'Avalanche du Colorado a été témoin de la réaction de son jeune protégé quand le Canadien ne l'a pas choisi au douzième rang de la première ronde. Il pense que le Canadien n'aimait pas Angelo Esposito et que le club n'a pas agi dans l'intérêt de ses partisans.
"Je trouve ça un peu regrettable pour les partisans parce qu'il y a beaucoup de gens qui vont au Centre Bell voir les matchs et encourager le Canadien. Le club aurait pu leur en redonner, affirme Roy. C'est certain que dans l'optique de l'organisation, c'était de faire du hockey et de ne pas se soucier de ce que les partisans peuvent ressentir."
L'organisation des Penguins s'est déjà entretenue avec lui quant à la poursuite des choses pour Esposito qui, aux dires de Roy, aurait aimé, dans son for intérieur, se retrouver à Montréal.
"Je suis un gars qui vient de Québec et quand j'ai été repêché par le Canadien, c'est devenu une journée pour moi et je rêvais de porter le chandail du Canadien. C'est la même chose pour n'importe quel Québécois."
Tentant de trouver des explications à la sélection d'Esposito, lui qui était pourtant classé premier il y a six mois, Patrick Roy dit que la deuxième saison est toujours plus difficile et que l'objectif était peut-être un peu élevé.
"Il faut leur donner l'opportunité de se développer à leur rythme et j'imagine que certains dépisteurs avaient des attentes très élevées dans le cas d'Angelo. Il n'a pas nécessairement répondu aux évaluations qu'ils auraient aimé voir."
"Il ne pouvait pas tomber à une meilleure place, croit Roy. Pittsburgh, pour lui, va s'avérer un endroit idéal. Il va sûrement avoir d'excellents modèles devant lui pour apprendre. C'est une organisation qui a bien repêché dans les dernières années."
L'ancien gardien du Canadien et de l'Avalanche du Colorado a été témoin de la réaction de son jeune protégé quand le Canadien ne l'a pas choisi au douzième rang de la première ronde. Il pense que le Canadien n'aimait pas Angelo Esposito et que le club n'a pas agi dans l'intérêt de ses partisans.
"Je trouve ça un peu regrettable pour les partisans parce qu'il y a beaucoup de gens qui vont au Centre Bell voir les matchs et encourager le Canadien. Le club aurait pu leur en redonner, affirme Roy. C'est certain que dans l'optique de l'organisation, c'était de faire du hockey et de ne pas se soucier de ce que les partisans peuvent ressentir."
L'organisation des Penguins s'est déjà entretenue avec lui quant à la poursuite des choses pour Esposito qui, aux dires de Roy, aurait aimé, dans son for intérieur, se retrouver à Montréal.
"Je suis un gars qui vient de Québec et quand j'ai été repêché par le Canadien, c'est devenu une journée pour moi et je rêvais de porter le chandail du Canadien. C'est la même chose pour n'importe quel Québécois."
Tentant de trouver des explications à la sélection d'Esposito, lui qui était pourtant classé premier il y a six mois, Patrick Roy dit que la deuxième saison est toujours plus difficile et que l'objectif était peut-être un peu élevé.
"Il faut leur donner l'opportunité de se développer à leur rythme et j'imagine que certains dépisteurs avaient des attentes très élevées dans le cas d'Angelo. Il n'a pas nécessairement répondu aux évaluations qu'ils auraient aimé voir."