Ça prendra des salles combles, sinon...
Hockey mardi, 31 mai 2011. 14:26 jeudi, 12 déc. 2024. 00:36
WINNIPEG - La dure réalité financière de la LNH occupait déjà l'avant-scène, mardi, au moment où Winnipeg accueillait une nouvelle concession à bras ouverts.
Le commissaire de la LNH, Gary Bettman, a indiqué clairement que la concession devra faire salle comble dans son amphithéâtre de 15 015 sièges afin de boucler son budget.
«Ça n'ira pas très bien, à moins que l'amphithéâtre soit rempli à tous les matchs», a mentionné Bettman.
True North Sports and Entertainment a laissé savoir que la fourchette de prix des billets variera entre 39 et 129$.
Les nouveaux propriétaires ont comme objectif de vendre 13 000 abonnements avant que les membres du bureau des gouverneurs de la LNH n'approuvent la délocalisation de la concession à Winnipeg, le 21 juin.
Winnipeg réintègre les rangs de la LNH au moment où le plafond salarial va augmenter à 62 millions$ US, la saison prochaine.
Le montant minimum que chacune des équipes sera autorisée à dépenser, le plancher salarial, se chiffrera à environ 42 millions$.
De l'espoir, encore?
En conférence de presse, Bettman a mentionné que la ligue ne voulait pas quitter Atlanta, mais qu'elle n'avait pas le choix.
«Aucun acheteur de la place ne s'est manifesté, a-t-il dit. Quand les propriétaires d'Atlanta ont indiqué leur volonté de vendre à tout prix, nous avons alors commencé à regarder à l'extérieur.»
À Atlanta, le président de l'équipe, Don Waddell, a argué qu'il y a encore de l'espoir qu'on puisse sauver les Thrashers, avant que la vente ne reçoive l'approbation du bureau des gouverneurs, le 21 juin.
Il faudrait un miracle, compte tenu que Atlanta Spirit, qui est également propriétaire des Hawks d'Atlanta de la NBA et qui gère le Philips Arena, a été incapable de trouver preneur depuis plusieurs années.
«Nous n'apprécions pas de délocaliser des concessions», a répondu Bettman, quand on lui a demandé si la ville de Québec devenait la première en lice afin d'accueillir une concession en difficulté.
«Ce n'est pas de gaieté de coeur que nous quittons Atlanta. La question n'a jamais été de savoir si Winnipeg était meilleure qu'Atlanta. La décision de déménager à Winnipeg a été prise uniquement après que les propriétaires d'Atlanta eurent décidés de vendre, même si ça impliquait que l'équipe doive quitter la ville.»
Le commissaire de la LNH, Gary Bettman, a indiqué clairement que la concession devra faire salle comble dans son amphithéâtre de 15 015 sièges afin de boucler son budget.
«Ça n'ira pas très bien, à moins que l'amphithéâtre soit rempli à tous les matchs», a mentionné Bettman.
True North Sports and Entertainment a laissé savoir que la fourchette de prix des billets variera entre 39 et 129$.
Les nouveaux propriétaires ont comme objectif de vendre 13 000 abonnements avant que les membres du bureau des gouverneurs de la LNH n'approuvent la délocalisation de la concession à Winnipeg, le 21 juin.
Winnipeg réintègre les rangs de la LNH au moment où le plafond salarial va augmenter à 62 millions$ US, la saison prochaine.
Le montant minimum que chacune des équipes sera autorisée à dépenser, le plancher salarial, se chiffrera à environ 42 millions$.
De l'espoir, encore?
En conférence de presse, Bettman a mentionné que la ligue ne voulait pas quitter Atlanta, mais qu'elle n'avait pas le choix.
«Aucun acheteur de la place ne s'est manifesté, a-t-il dit. Quand les propriétaires d'Atlanta ont indiqué leur volonté de vendre à tout prix, nous avons alors commencé à regarder à l'extérieur.»
À Atlanta, le président de l'équipe, Don Waddell, a argué qu'il y a encore de l'espoir qu'on puisse sauver les Thrashers, avant que la vente ne reçoive l'approbation du bureau des gouverneurs, le 21 juin.
Il faudrait un miracle, compte tenu que Atlanta Spirit, qui est également propriétaire des Hawks d'Atlanta de la NBA et qui gère le Philips Arena, a été incapable de trouver preneur depuis plusieurs années.
«Nous n'apprécions pas de délocaliser des concessions», a répondu Bettman, quand on lui a demandé si la ville de Québec devenait la première en lice afin d'accueillir une concession en difficulté.
«Ce n'est pas de gaieté de coeur que nous quittons Atlanta. La question n'a jamais été de savoir si Winnipeg était meilleure qu'Atlanta. La décision de déménager à Winnipeg a été prise uniquement après que les propriétaires d'Atlanta eurent décidés de vendre, même si ça impliquait que l'équipe doive quitter la ville.»