Tous les joueurs des Canadiens seront du voyage à Winnipeg et au Minnesota à l'exception des blessés
Canadiens mardi, 10 janv. 2017. 11:43 jeudi, 12 déc. 2024. 10:45Le Canadien a annoncé que tous les joueurs en mesure de le faire accompagneront l’équipe pour le séjour de deux matchs mercredi à Winnipeg et jeudi au Minnesota.
Ainsi, David Desharnais (genou), Alex Galchenyuk (genou), Brendan Gallagher (main), Andrei Markov (aine), Greg Pateryn (pied) et Andrew Shaw (commotion) sont toujours tenus à l’écart du jeu en raison des blessures.
Après un fructueux séjour de sept parties à l'étranger, les hommes de Michel Therrien ont encaissé un revers de 4-1 contre les Capitals de Washington, lundi soir au Centre Bell.
Mercredi, la rencontre contre les Jets s'entamera à 19h30, alors que celle contre le Wild jeudi débutera à 20 h. Les deux parties seront présentées sur les ondes de RDS.
Après avoir disputé 13 de ses 20 derniers matchs à l'extérieur de son domicile, dont plusieurs alors qu'il était privé de ses éléments-clé, le Canadien trône confortablement au premier rang de la section Atlantique avec neuf points d'avance et deux matchs en banque face aux Bruins de Boston.
En deuxième moitié de saison, le Canadien disputera 15 rencontres contre des formations de sa section, dont six contre les Sabres de Buffalo et les Red Wings de Detroit, qui croupissent dans les bas-fonds du classement général de l'Association Est et qui semblent destinés à y demeurer.
Les hommes de Michel Therrien n'auront qu'un seul long voyage à négocier d'ici la fin de la saison, au début de mars, alors qu'ils visiteront les Rangers de New York, les Canucks de Vancouver, les Flames de Calgary et les Oilers d'Edmonton dans un intervalle de huit jours.
Mais ce périple sera contre-balancé par un long séjour de six matchs au Centre Bell entre les 19 et 30 mars, incluant deux affrontements en six jours contre les Sénateurs d'Ottawa, l'une des bêtes noires du Tricolore jusqu'à maintenant.
Si le Tricolore parvient à retrouver tous ses joueurs et à s'éloigner une fois pour toutes de l'infirmerie, les chances d'un effondrement comme celui de l'an dernier sont minces.
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