Carbo louange le travail des unités spéciales
Montréal Canadiens dimanche, 22 oct. 2006. 19:42 dimanche, 15 déc. 2024. 08:47
MONTREAL (PC) - Quand les unités spéciales vont, tout va. C'était vrai avant, ça l'est davantage dans la nouvelle réalité de la LNH.
"C'est la recette de nos succès jusqu'à maintenant", n'hésite pas à dire l'entraîneur du Tricolore, Guy Carbonneau.
"On peut imposer notre rythme grâce aux unités spéciales, a souligné le défenseur Craig Rivet. Actuellement, notre rendement en infériorité numérique nous donne une chance de remporter tous les matchs. Et notre performance en supériorité numérique nous permet de l'emporter."
Le Canadien occupe encore le premier rang de la LNH au chapitre de l'efficacité en infériorité numérique, ayant couronné de succès 42 des 46 missions qu'il a eues à remplir. Il est entré dans le groupe des cinq meilleurs de la ligue en supériorité (10 buts en 37 occasions) grâce aux quatre buts réussis contre l'Avalanche, samedi.
Leurs adversaires de lundi, les Sabres de Buffalo, figurent dans le premier tiers de la ligue dans les deux spécialités.
"C'est réellement ce qui fait la différence, a repris Rivet, parce que toutes les équipes préconisent un style semblable à cinq contre cinq. Il est difficile de marquer des buts."
Le brio du Canadien en infériorité est fort impressionnant. L'approche pro-active que Kirk Muller a inculquée à son arrivée, à titre d'adjoint à Carbonneau, a tôt fait de rapporter des dividendes.
"C'est une philosophie complètement différente, à l'opposé de celle qu'on avait, a opiné Rivet. On est beaucoup moins passif cette saison. Les attaquants exercent de la pression, même en zone adverse. Tout le monde est sur la même page. Quand un joueur prend une décision, les trois autres réagissent en conséquence."
Muller demande aux joueurs de faire confiance à leur instinct, au lieu de réagir face à une situation donnée.
"Il veut qu'on élimine la zone grise qui fait en sorte qu'on attende une fraction de seconde avant de prendre une décision, a-t-il résumé. Il a établi clairement les tâches de chacun, et tout le monde est à l'aise. La confiance et l'entente sont bonnes entre les gars, mais ça ne veut pas dire qu'on ne connaîtra pas de mauvais matchs en infériorité. Ça va sûrement arriver."
"C'est la recette de nos succès jusqu'à maintenant", n'hésite pas à dire l'entraîneur du Tricolore, Guy Carbonneau.
"On peut imposer notre rythme grâce aux unités spéciales, a souligné le défenseur Craig Rivet. Actuellement, notre rendement en infériorité numérique nous donne une chance de remporter tous les matchs. Et notre performance en supériorité numérique nous permet de l'emporter."
Le Canadien occupe encore le premier rang de la LNH au chapitre de l'efficacité en infériorité numérique, ayant couronné de succès 42 des 46 missions qu'il a eues à remplir. Il est entré dans le groupe des cinq meilleurs de la ligue en supériorité (10 buts en 37 occasions) grâce aux quatre buts réussis contre l'Avalanche, samedi.
Leurs adversaires de lundi, les Sabres de Buffalo, figurent dans le premier tiers de la ligue dans les deux spécialités.
"C'est réellement ce qui fait la différence, a repris Rivet, parce que toutes les équipes préconisent un style semblable à cinq contre cinq. Il est difficile de marquer des buts."
Le brio du Canadien en infériorité est fort impressionnant. L'approche pro-active que Kirk Muller a inculquée à son arrivée, à titre d'adjoint à Carbonneau, a tôt fait de rapporter des dividendes.
"C'est une philosophie complètement différente, à l'opposé de celle qu'on avait, a opiné Rivet. On est beaucoup moins passif cette saison. Les attaquants exercent de la pression, même en zone adverse. Tout le monde est sur la même page. Quand un joueur prend une décision, les trois autres réagissent en conséquence."
Muller demande aux joueurs de faire confiance à leur instinct, au lieu de réagir face à une situation donnée.
"Il veut qu'on élimine la zone grise qui fait en sorte qu'on attende une fraction de seconde avant de prendre une décision, a-t-il résumé. Il a établi clairement les tâches de chacun, et tout le monde est à l'aise. La confiance et l'entente sont bonnes entre les gars, mais ça ne veut pas dire qu'on ne connaîtra pas de mauvais matchs en infériorité. Ça va sûrement arriver."