Farber suggère à Vincent de refuser
Montréal Canadiens mardi, 13 janv. 2009. 15:55 dimanche, 15 déc. 2024. 08:36
Note à Vincent Lecavalier: dis non!
Voilà le message que le réputé chroniqueur sportif de Sports Illustrated, Michael Farber, lance à l'attaquant du Lightning de Tampa Bay.
Dans une chronique d'opinion sur le SI.com, le journaliste, qui réside à Montréal, suggère à Lecavalier de ne pas accepter d'être échangé au Tricolore.
«Lorsque les propriétaires du Lightning Oren Koules et Len Barrie ou bien le directeur général Brian Lawton t'approcheront au sujet d'une transaction avec les Canadiens, dis leur : désolé, mais oubliez cette idée», lance Farber sans détour.
Farber suggère à Lecavalier de venir à Montréal durant quelques semaines pendant l'été s'il s'ennuie de son patelin. Farber rappelle que le Québécois n'a pas vécu à Montréal depuis son adolescence et qu'il pourra très bien se régaler d'un smoked meat ou d'un bagel lors de la saison morte.
Selon le journaliste d'expérience, une telle transaction est logique pour le Lightning surtout si les nouveaux propriétaires ne roulent pas sur l'or. Il ajoute qu'échanger Lecavalier pourrait permettre au Lightning de revamper l'équipe comme les Nordiques de Québec ont su le faire en se départissant d'Eric Lindros.
D'après Farber, le Canadien serait gagnant surtout avec le contexte du Centenaire de l'équipe. Selon lui, l'organisation montréalaise compte sur une relève assez bien garnie pour sacrifier quelques bons jeunes joueurs.
Il soutient aussi que George Gillett pourrait augmenter la valeur de son organisation en faisant l'acquisition d'une grande vedette francophone, ce qui manque depuis le départ de José Théodore en 2006. Gillett pourrait avoir avantage d'agir de la sorte dans le contexte économique difficile surtout s'il désire vendre une partie de ses actifs dans l'équipe.
Mais selon Farber, cette transaction est logique pour tout le monde sauf Lecavalier.
Il explique que si le cirque qui règne à Tampa le démotive, ce n'est pas vraiment mieux de quitter une telle situation pour le zoo de Montréal.
Le zoo de Montréal
Le chroniqueur du Sports Illustrated affirme qu'il s'est passé quelque chose d'aussi dérangeant que merveilleux à Montréal depuis le dernier lock-out. Il raconte que le Canadien est devenu une véritable religion.
La passion autour de l'équipe et l'attention portée sur les joueurs dépassent l'entendement, tu y vivrais comme dans un aquarium, raconte Farber.
Selon le journaliste, Lecavalier n'a pas besoin de ça. Il lui rappelle qu'il a déjà remporté la coupe Stanley, qu'il a sa vie à Tampa et qu'il est impliqué dans la communauté là-bas.
Il suggère à Lecavalier de se faire une faveur. Il rappelle à Lecavalier qu'il a négocié de bonne foi son contrat de longue durée avec le Lightning en démontrant de la loyauté. À moins que quelque chose ait changé dramatiquement, ne change pas ton fusil d'épaule.
Il termine en disant : Si jamais tu veux quitter, songe à un autre endroit que Montréal à moins que tu aimes la musique de zoo.
Voilà le message que le réputé chroniqueur sportif de Sports Illustrated, Michael Farber, lance à l'attaquant du Lightning de Tampa Bay.
Dans une chronique d'opinion sur le SI.com, le journaliste, qui réside à Montréal, suggère à Lecavalier de ne pas accepter d'être échangé au Tricolore.
«Lorsque les propriétaires du Lightning Oren Koules et Len Barrie ou bien le directeur général Brian Lawton t'approcheront au sujet d'une transaction avec les Canadiens, dis leur : désolé, mais oubliez cette idée», lance Farber sans détour.
Farber suggère à Lecavalier de venir à Montréal durant quelques semaines pendant l'été s'il s'ennuie de son patelin. Farber rappelle que le Québécois n'a pas vécu à Montréal depuis son adolescence et qu'il pourra très bien se régaler d'un smoked meat ou d'un bagel lors de la saison morte.
Selon le journaliste d'expérience, une telle transaction est logique pour le Lightning surtout si les nouveaux propriétaires ne roulent pas sur l'or. Il ajoute qu'échanger Lecavalier pourrait permettre au Lightning de revamper l'équipe comme les Nordiques de Québec ont su le faire en se départissant d'Eric Lindros.
D'après Farber, le Canadien serait gagnant surtout avec le contexte du Centenaire de l'équipe. Selon lui, l'organisation montréalaise compte sur une relève assez bien garnie pour sacrifier quelques bons jeunes joueurs.
Il soutient aussi que George Gillett pourrait augmenter la valeur de son organisation en faisant l'acquisition d'une grande vedette francophone, ce qui manque depuis le départ de José Théodore en 2006. Gillett pourrait avoir avantage d'agir de la sorte dans le contexte économique difficile surtout s'il désire vendre une partie de ses actifs dans l'équipe.
Mais selon Farber, cette transaction est logique pour tout le monde sauf Lecavalier.
Il explique que si le cirque qui règne à Tampa le démotive, ce n'est pas vraiment mieux de quitter une telle situation pour le zoo de Montréal.
Le zoo de Montréal
Le chroniqueur du Sports Illustrated affirme qu'il s'est passé quelque chose d'aussi dérangeant que merveilleux à Montréal depuis le dernier lock-out. Il raconte que le Canadien est devenu une véritable religion.
La passion autour de l'équipe et l'attention portée sur les joueurs dépassent l'entendement, tu y vivrais comme dans un aquarium, raconte Farber.
Selon le journaliste, Lecavalier n'a pas besoin de ça. Il lui rappelle qu'il a déjà remporté la coupe Stanley, qu'il a sa vie à Tampa et qu'il est impliqué dans la communauté là-bas.
Il suggère à Lecavalier de se faire une faveur. Il rappelle à Lecavalier qu'il a négocié de bonne foi son contrat de longue durée avec le Lightning en démontrant de la loyauté. À moins que quelque chose ait changé dramatiquement, ne change pas ton fusil d'épaule.
Il termine en disant : Si jamais tu veux quitter, songe à un autre endroit que Montréal à moins que tu aimes la musique de zoo.