Le coeur de Dalembert balance
Montréal Canadiens lundi, 28 avr. 2008. 17:06 dimanche, 15 déc. 2024. 16:04
PHILADELPHIE - Entre les deux, son coeur balance. Le basketteur vedette des 76ers de Philadelphie, Samuel Dalembert, n'a pas de parti pris dans la série opposant le Canadien aux Flyers.
"Je porte encore le Canadien dans mon coeur, mais j'encourage les deux équipes", lance le Haïtien âgé de 27 ans, le seul que compte la NBA, qui s'est initié au basketball à l'école secondaire Lucien-Pagé de Villeray vers l'âge de 14 ans.
Dalembert, un vétéran centre de six saisons chez les Sixers, a passé presque quatre années de son adolescence au Québec, où il est venu rejoindre sa mère. Ses parents et plusieurs membres de sa famille résident dans la région de Montréal, où il vient séjourner à tous les étés.
"Mon père Emmanuel favorise assurément le Canadien, c'est un grand partisan", a-t-il confié à La Presse Canadienne, dimanche, tout juste avant le quatrième match de la série entre les 76ers et les Pistons de Detroit.
"Mon père s'intéresse beaucoup au hockey et au baseball. C'était aussi un grand fan des Expos.
"Moi, je suivais le Canadien à cause de lui. On ne peut pas dire que je suis un fervent de hockey. Je n'ai jamais joué, je déteste trop l'hiver, a-t-il ajouté, en riant. J'ai déjà assisté à un match des Flyers."
La passion première de Dalembert, un sympathique gaillard de six pieds 11 pouces et de 250 livres, a été le soccer. Le basketball a été une découverte pour lui. Il admet qu'il lui arrive encore de se pincer afin de réaliser tout le cheminement qu'il a parcouru depuis une douzaine d'années.
Cette saison a été sa meilleure en carrière, et ça se poursuit pour lui en séries éliminatoires.
"On croit en nos chances de vaincre les Pistons", a-t-il dit, avant que la série se retrouve à égalité 2-2.
En juin, lors d'un tournoi en Grèce, Dalembert, qui a obtenu sa citoyenneté canadienne en août dernier, va tenter d'aider le Canada à décrocher sa qualification aux Jeux de Pékin.
"On a de très bonnes chances de réussite, a-t-il avancé. Je suis confiant, même si je ne crois pas qu'on va pouvoir miser sur Steve Nash (vedette des Suns de Phoenix). On a une jeune équipe, mais les gars ont acquis de l'expérience au cours de la dernière année. J'aime la façon dont l'équipe joue."
"Je porte encore le Canadien dans mon coeur, mais j'encourage les deux équipes", lance le Haïtien âgé de 27 ans, le seul que compte la NBA, qui s'est initié au basketball à l'école secondaire Lucien-Pagé de Villeray vers l'âge de 14 ans.
Dalembert, un vétéran centre de six saisons chez les Sixers, a passé presque quatre années de son adolescence au Québec, où il est venu rejoindre sa mère. Ses parents et plusieurs membres de sa famille résident dans la région de Montréal, où il vient séjourner à tous les étés.
"Mon père Emmanuel favorise assurément le Canadien, c'est un grand partisan", a-t-il confié à La Presse Canadienne, dimanche, tout juste avant le quatrième match de la série entre les 76ers et les Pistons de Detroit.
"Mon père s'intéresse beaucoup au hockey et au baseball. C'était aussi un grand fan des Expos.
"Moi, je suivais le Canadien à cause de lui. On ne peut pas dire que je suis un fervent de hockey. Je n'ai jamais joué, je déteste trop l'hiver, a-t-il ajouté, en riant. J'ai déjà assisté à un match des Flyers."
La passion première de Dalembert, un sympathique gaillard de six pieds 11 pouces et de 250 livres, a été le soccer. Le basketball a été une découverte pour lui. Il admet qu'il lui arrive encore de se pincer afin de réaliser tout le cheminement qu'il a parcouru depuis une douzaine d'années.
Cette saison a été sa meilleure en carrière, et ça se poursuit pour lui en séries éliminatoires.
"On croit en nos chances de vaincre les Pistons", a-t-il dit, avant que la série se retrouve à égalité 2-2.
En juin, lors d'un tournoi en Grèce, Dalembert, qui a obtenu sa citoyenneté canadienne en août dernier, va tenter d'aider le Canada à décrocher sa qualification aux Jeux de Pékin.
"On a de très bonnes chances de réussite, a-t-il avancé. Je suis confiant, même si je ne crois pas qu'on va pouvoir miser sur Steve Nash (vedette des Suns de Phoenix). On a une jeune équipe, mais les gars ont acquis de l'expérience au cours de la dernière année. J'aime la façon dont l'équipe joue."
