Il n’y a pas que le Tricolore qui éprouve de la difficulté en avantage numérique, car le club-école des Bulldogs de Hamilton, dans la Ligue américaine de hockey, en arrache encore plus qu’à Montréal!

En neuf rencontres, la formation dirigée par Sylvain Lefebvre, dont la fiche est de 3-4-2 pour huit points, présente un atroce rendement de 5,41 %, n’ayant marqué que deux buts en 37 avantages numériques.

Ce rendement est à l’avant-dernier rang du circuit de 30 formations, devant les Marlies de Toronto, dont la fiche est de 4,55 %, n’ayant réussi qu’un but en 22 avantages numériques lors de leurs huit rencontres.

Les Bulldogs ont un rendement de 6,67 % (un but en 15 avantages) lors de leurs quatre matchs locaux disputés au Copps Coliseum et une efficacité de 4,55 % (un but en 22 supériorités) lors de leurs cinq rencontres jouées à l’étranger.

Le rendement des Bulldogs est encore pire que celui du CH, dont l’efficacfité est de 9,09 % (trois buts en 33 avantages) lors de ses 12 premiers matchs.

Par contre, les Bulldogs, tout comme le Tricolore, excellent en désavantage numérique. Ils n’ont concédé que trois buts en 34 désavantages, une efficacité de 91,18 %, la deuxième meilleure du circuit. Ils sont derrière les IceHogs de Rockford, dont le rendement est de 91,44 %, ayant concédé trois buts en 35 infériorités numériques lors de leurs 10 rencontres.

Comment expliquer un tel rendement sur le jeu de puissance pour les deux équipes de l’organisation montréalaise?