Luc Robitaille est très heureux pour Kovalchuk
Canadiens lundi, 27 janv. 2020. 13:47 samedi, 14 déc. 2024. 22:11Le président des Kings de Los Angeles Luc Robitaille assure être très heureux de voir qu’Ilya Kovalchuk ait trouvé une façon de relancer sa saison et peut-être sa carrière avec le Canadien de Montréal alors que son séjour avec les Kings a représenté un échec sur toute la ligne : autant pour le club que pour la vedette russe.
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« Je suis content de voir que ça marche pour lui à Montréal. Je suis vraiment content. Kovy a été très bon pour nous sur le plan personnel. Les choses n’ont pas marché sur la glace. Il n’a jamais réussi à se faire une place avec nous. La chimie n’a jamais été là avec les conséquences qu’on connaît. Mais il a toujours été bon pour nous. Il n’a jamais fait de vague dans le vestiaire, a toujours été un bon coéquipier. J’aurais vraiment aimé ça que ça marche ici pour lui et pour nous. On pensait vraiment faire un bon coup en lui offrant un contrat pour le ramener dans la LNH il y a deux ans. Ça n’a pas marché ici, mais ses succès avec le Canadien prouvent qu’on a eu une bonne idée. Qu’il est encore un bon joueur, capable de contribuer aux succès d’un club. C’est un grand joueur. C’est un gars qui est le fun à voir jouer. Je suis content pour les fans de Montréal», a affirmé Robitaille qui reconnaît que la transition actuelle des Kings est plus difficile qu’il ne l’anticipait.
« On sait qu’on est en transition, mais c’est clair qu’on voudrait gagner plus souvent. On a une meilleure équipe que nos résultats le démontrent. Il y a deux semaines, on s’est mis à jouer du meilleur hockey, mais on n’a pas été capable de maintenir sur cette lancée. On travaille quand même très fort pour essayer de faire le mieux possible. Mais les jours meilleurs s’en viennent. On avait neuf jeunes au dernier Championnat du monde junior et plusieurs de ces jeunes ont du grand potentiel. On va travailler aussi très fort pour bien préparer le prochain repêchage à Montréal. La relève s’en vient. Il faut juste lui donner le temps de se développer », a conclu Luc Robitaille.