CH : Jaroslav Spacek a fait du chemin
Hockey mardi, 30 nov. 2010. 16:16 samedi, 14 déc. 2024. 01:31
BROSSARD - À moins qu'il ne commette une maladresse en rasant sa moustache 'Movember', Jaroslav Spacek va disputer le 800e match de sa carrière dans la LNH, mercredi au Centre Bell, face aux Oilers d'Edmonton.
"Je me sens encore jeune. J'ai été blessé à quelques reprises au cours de ma carrière, mais je suis encore ici et je suis content de l'être, a commenté le vétéran défenseur de 36 ans, mardi, après l'entraînement des siens à Brossard. C'est un beau plateau, en espérant en avoir plusieurs autres et peut-être me rendre jusqu'à un autre jalon."
Spacek est le 19e joueur et le cinquième défenseur originaire de la République tchèque à atteindre le plateau des 800 rencontres. Les autres arrières sont Roman Hamrlik (1254 matchs), Petr Svoboda (1028), Pavel Kubina (846) et Tomas Kaberle (842).
Il occupe le 24e rang - et le cinquième rang chez les défenseurs de son pays - pour les points (333). Il a récolté 77 buts et 256 aides avec un différentiel de plus-38.
"Quand j'étais jeune, je ne savais même pas ce qu'était la LNH, je n'en avais jamais entendu parler, a reconnu Spacek. Puis, quand j'ai fait mes débuts dans ma ligue, c'était un chiffre qui semblait si lointain. Et maintenant, je suis encore là, 12 ans plus tard. J'en suis le premier surpris.
"Je m'amuse à jouer dans cette ligue. Je devrais normalement jouer dans mon pays, ou encore en Russie. Mais je voulais rivaliser avec les meilleurs joueurs au monde, alors c'est pourquoi je suis ici."
"C'est bien de voir un compatriote atteindre ce plateau, a affirmé Hamrlik, son compagnon habituel à la ligne bleue chez le Canadien. Je lui ai fait remarquer qu'il a encore du chemin à faire avant de me rattraper, mais c'est un beau chiffre. On n'est pas les plus jeunes, mais je lui en souhaite plusieurs autres."
"Je suis plus vieux que lui (de deux mois), mais en terme de matchs joués, il est un grand-père, tandis que moi, je me sens encore jeune!", a lancé Spacek, qui a toujours le mot pour rire.
C'est d'ailleurs grâce à son sens de l'humour, entre autres, que Spacek est un joueur apprécié dans l'entourage du Canadien, a souligné Jacques Martin.
"C'est un gars qui amène beaucoup d'enthousiasme, a noté l'entraîneur. Il aime blaguer et créer une bonne atmosphère."
Martin a noté, mardi, les progrès de Spacek après qu'il eut connu un début de saison fort ardu.
"À un certain moment, j'ai sérieusement songé à le retirer de la formation, a reconnu le vétéran entraîneur. Une rencontre que j'ai eue avec lui a toutefois été profitable."
Martin a par ailleurs répété que le duo Spacek-Hamrlik demeurait un des éléments-clés de son club.
"Cette saison comme la saison dernière, on a vu à quel point ils sont importants pour nous, surtout en l'absence d'Andrei Markov, alors qu'ils sont appelés à affronter le meilleur trio adverse. On a besoin d'eux, et on a besoin qu'ils soient à leur meilleur", a affirmé l'entraîneur.
Spacek se souvient parfaitement de son premier match dans la LNH, disputé en 1998 alors qu'il s'alignait avec les Panthers de la Floride.
"On a gagné, on a battu Tampa Bay 5-3 et j'ai présenté un différentiel de plus-2. J'ai passé 19:22 sur la glace, si vous tenez à le savoir. J'étais pas mal content", a raconté celui qui a aussi joué pour les Blackhawks de Chicago, les Blue Jackets de Columbus, les Oilers et les Sabres de Buffalo avant de se joindre au CH en vue de la saison 2009-2010.
"Je me sens encore jeune. J'ai été blessé à quelques reprises au cours de ma carrière, mais je suis encore ici et je suis content de l'être, a commenté le vétéran défenseur de 36 ans, mardi, après l'entraînement des siens à Brossard. C'est un beau plateau, en espérant en avoir plusieurs autres et peut-être me rendre jusqu'à un autre jalon."
Spacek est le 19e joueur et le cinquième défenseur originaire de la République tchèque à atteindre le plateau des 800 rencontres. Les autres arrières sont Roman Hamrlik (1254 matchs), Petr Svoboda (1028), Pavel Kubina (846) et Tomas Kaberle (842).
Il occupe le 24e rang - et le cinquième rang chez les défenseurs de son pays - pour les points (333). Il a récolté 77 buts et 256 aides avec un différentiel de plus-38.
"Quand j'étais jeune, je ne savais même pas ce qu'était la LNH, je n'en avais jamais entendu parler, a reconnu Spacek. Puis, quand j'ai fait mes débuts dans ma ligue, c'était un chiffre qui semblait si lointain. Et maintenant, je suis encore là, 12 ans plus tard. J'en suis le premier surpris.
"Je m'amuse à jouer dans cette ligue. Je devrais normalement jouer dans mon pays, ou encore en Russie. Mais je voulais rivaliser avec les meilleurs joueurs au monde, alors c'est pourquoi je suis ici."
"C'est bien de voir un compatriote atteindre ce plateau, a affirmé Hamrlik, son compagnon habituel à la ligne bleue chez le Canadien. Je lui ai fait remarquer qu'il a encore du chemin à faire avant de me rattraper, mais c'est un beau chiffre. On n'est pas les plus jeunes, mais je lui en souhaite plusieurs autres."
"Je suis plus vieux que lui (de deux mois), mais en terme de matchs joués, il est un grand-père, tandis que moi, je me sens encore jeune!", a lancé Spacek, qui a toujours le mot pour rire.
C'est d'ailleurs grâce à son sens de l'humour, entre autres, que Spacek est un joueur apprécié dans l'entourage du Canadien, a souligné Jacques Martin.
"C'est un gars qui amène beaucoup d'enthousiasme, a noté l'entraîneur. Il aime blaguer et créer une bonne atmosphère."
Martin a noté, mardi, les progrès de Spacek après qu'il eut connu un début de saison fort ardu.
"À un certain moment, j'ai sérieusement songé à le retirer de la formation, a reconnu le vétéran entraîneur. Une rencontre que j'ai eue avec lui a toutefois été profitable."
Martin a par ailleurs répété que le duo Spacek-Hamrlik demeurait un des éléments-clés de son club.
"Cette saison comme la saison dernière, on a vu à quel point ils sont importants pour nous, surtout en l'absence d'Andrei Markov, alors qu'ils sont appelés à affronter le meilleur trio adverse. On a besoin d'eux, et on a besoin qu'ils soient à leur meilleur", a affirmé l'entraîneur.
Spacek se souvient parfaitement de son premier match dans la LNH, disputé en 1998 alors qu'il s'alignait avec les Panthers de la Floride.
"On a gagné, on a battu Tampa Bay 5-3 et j'ai présenté un différentiel de plus-2. J'ai passé 19:22 sur la glace, si vous tenez à le savoir. J'étais pas mal content", a raconté celui qui a aussi joué pour les Blackhawks de Chicago, les Blue Jackets de Columbus, les Oilers et les Sabres de Buffalo avant de se joindre au CH en vue de la saison 2009-2010.