Chelios a la ferme intention de jouer
Hockey mardi, 18 août 2009. 14:30 jeudi, 12 déc. 2024. 00:26
WOODRIDGE, Illinois - Chris Chelios veut toujours jouer au hockey, où que ce soit.
Le défenseur de 46 ans, libéré par les Red Wings de Detroit à l'issue des dernières séries éliminatoires, a indiqué qu'il attendait des offres et qu'il étudierait même la possibilité d'évoluer dans les mineures. Il serait même prêt à s'exiler en Russie, bien que la LNH demeure sa préférence.
Certains clubs en Amérique du Nord et à l'étranger ont démontré de l'intérêt envers lui mais rien n'a encore été concrétisé.
"J'ai fait savoir à tout le monde que j'avais la ferme intention de jouer", a expliqué Chelios mardi. L'ancien joueur du Canadien se trouve au camp d'orientation de l'équipe olympique américaine en tant qu'adjoint spécial à l'équipe d'entraîneurs.
"A mon âge, les occasions sont plus rares.
"A Detroit nous avions la meilleure équipe du circuit mais vient un temps où il faut laisser place aux jeunes. Je comprends parfaitement cette réalité mais je crois néanmoins pouvoir aider plusieurs équipes."
Comme à chaque été, Chelios s'est entraîné en vue de la prochaine campagne, avec l'objectif de s'être trouvé une formation lorsque la saison commencera en octobre. Il pourrait évoluer au sein d'une équipe de la Ligue américaine telle que les Wolves de Chicago, sa ville natale.
"Je ne dis non à rien, confie-t-il. Il y a la ligue russe, mais cela voudrait dire que je serais éloigné de ma famille. J'adore ce sport et je veux jouer, mais j'aime encore mieux mes enfants. Nous verrons bien ce qui arrivera."
Il est parfois difficile, au camp, de dire si Chelios est un entraîneur ou un joueur. Sa décision de porter un survêtement différent de celui des entraîneurs est d'ailleurs intentionnelle.
"Je me considère encore comme un joueur. C'est bizarre. Ça l'est vraiment, mais c'est une expérience d'apprentissage. J'entends demeurer dans le monde du hockey et il s'agit d'une étape vers mon après-carrière."
Parmi les jeunes avec qui il patine se trouve Patrick Kane, des Blackhawks de Chicago, qui est âgé de 20 ans.
"C'est gênant, mon fils jouait contre lui. Comme tous deux sont nés en 1989 il est plutôt étrange d'affronter un gars qui a joué contre mon fils."
Chelios a participé à ses premiers Jeux olympiques d'hiver en 1984, à Sarajevo. Il ne jouera pas à Vancouver au mois de février mais s'il ne trouve pas preneur d'ici là, il s'impliquera auprès de l'équipe américaine.
Le défenseur de 46 ans, libéré par les Red Wings de Detroit à l'issue des dernières séries éliminatoires, a indiqué qu'il attendait des offres et qu'il étudierait même la possibilité d'évoluer dans les mineures. Il serait même prêt à s'exiler en Russie, bien que la LNH demeure sa préférence.
Certains clubs en Amérique du Nord et à l'étranger ont démontré de l'intérêt envers lui mais rien n'a encore été concrétisé.
"J'ai fait savoir à tout le monde que j'avais la ferme intention de jouer", a expliqué Chelios mardi. L'ancien joueur du Canadien se trouve au camp d'orientation de l'équipe olympique américaine en tant qu'adjoint spécial à l'équipe d'entraîneurs.
"A mon âge, les occasions sont plus rares.
"A Detroit nous avions la meilleure équipe du circuit mais vient un temps où il faut laisser place aux jeunes. Je comprends parfaitement cette réalité mais je crois néanmoins pouvoir aider plusieurs équipes."
Comme à chaque été, Chelios s'est entraîné en vue de la prochaine campagne, avec l'objectif de s'être trouvé une formation lorsque la saison commencera en octobre. Il pourrait évoluer au sein d'une équipe de la Ligue américaine telle que les Wolves de Chicago, sa ville natale.
"Je ne dis non à rien, confie-t-il. Il y a la ligue russe, mais cela voudrait dire que je serais éloigné de ma famille. J'adore ce sport et je veux jouer, mais j'aime encore mieux mes enfants. Nous verrons bien ce qui arrivera."
Il est parfois difficile, au camp, de dire si Chelios est un entraîneur ou un joueur. Sa décision de porter un survêtement différent de celui des entraîneurs est d'ailleurs intentionnelle.
"Je me considère encore comme un joueur. C'est bizarre. Ça l'est vraiment, mais c'est une expérience d'apprentissage. J'entends demeurer dans le monde du hockey et il s'agit d'une étape vers mon après-carrière."
Parmi les jeunes avec qui il patine se trouve Patrick Kane, des Blackhawks de Chicago, qui est âgé de 20 ans.
"C'est gênant, mon fils jouait contre lui. Comme tous deux sont nés en 1989 il est plutôt étrange d'affronter un gars qui a joué contre mon fils."
Chelios a participé à ses premiers Jeux olympiques d'hiver en 1984, à Sarajevo. Il ne jouera pas à Vancouver au mois de février mais s'il ne trouve pas preneur d'ici là, il s'impliquera auprès de l'équipe américaine.