Concerts d'éloges pour les Sénateurs
Hockey jeudi, 26 déc. 2002. 17:42 jeudi, 12 déc. 2024. 15:57
(PC) - Michel Therrien n'aurait pu trouver meilleur adversaire pour évaluer son équipe après la pause de Noël.
Le Canadien affrontera les Sénateurs d'Ottawa, vendredi soir, au Centre Corel, dans le premier match d'une série de six à l'étranger. Suivront ensuite les Penguins de Pittsburgh, les Flames de Calgary, les Canucks de Vancouver, les Oilers d'Edmonton et les Devils du New Jersey.
Les Sénateurs représentent un grand défi puisqu'ils occupaient le premier rang du classement général avant les rencontres de jeudi alors qu'ils étaient opposés aux Sabres, à Buffalo. Les joueurs de Jacques Martin n'avaient subi que deux défaites à leurs 21 derniers matchs (15-2-4), un rendement qui leur a permis de faire oublier un départ un peu chancelant.
«Nous avons eu un lent départ, a reconnu Mike Fisher au quotidien Ottawa Sun. Mais par la suite, nous avons eu les meilleurs mois de novembre et décembre de l'histoire de la concession.
«Nous savons que notre place est au sommet, a-t-il ajouté. Nos avons une grande équipe. Si nous maintenons le même rythme, on devrait se retrouver près de la tête du classement général à la fin de la saison.»
Un bon noyau
Joé Juneau tient les Sénateurs en très haute estime, lui qui a joué à Ottawa pendant une saison.
«Tous les joueurs adoptent le système, fait-il valoir. Il n'y a pas de différence dans leur façon de jouer, peu importe le trio. Tous les trios sont constants.»
Juneau explique que le noyau de l'équipe est à Ottawa depuis quelques années déjà, ce qui contribue à souder l'équipe, autant sur la glace qu'à l'extérieur de la patinoire.
«Il y a des joueurs talentueux, dit-il. Je pense à des gars comme Daniel Alfredsson, Radek Bonk, Marian Hossa, Magnus Arvedson qui sont avec l'équipe depuis cinq ans. Faut pas oublier non plus le jeune Martin Havlat. À la défense, un joueur comme Zdeno Chara rend leur ligne bleue encore meilleure. Il y a aussi Wade Redden qui est parmi les 10 meilleurs défenseurs de la ligue. Et puis il y a Patrick (Lalime) qui joue très bien.»
Et l'entraîneur Jacques Martin?
«Tout part de là. S'ils jouent comme ça, c'est qu'ils sont bien dirigés.»
André Savard a aussi beaucoup d'admiration pour les Sénateurs.
«C'est une bonne équipe qui travaille toujours», a-t-il lancé.
Une note d'optimisme
Le Canadien peut se réconforter à l'idée qu'il a gagné deux des trois matchs contre les Sénateurs cette saison. La dernière victoire a été remportée il y a 12 jours seulement, un gain de 3-2 acquis in extremis grâce au but de Yanic Perreault marqué à 19:42 de la troisième période. Une victoire à Ottawa ferait oublier l'effondrement de l'équipe en troisième face aux Islanders de New York, lundi.
«On sait ce qu'on a fait de bien pour l'emporter, a dit Juneau. On a bien joué en désavantage numérique tôt dans le match, ce qui a semblé briser leur rythme.»
Le Canadien affrontera les Sénateurs d'Ottawa, vendredi soir, au Centre Corel, dans le premier match d'une série de six à l'étranger. Suivront ensuite les Penguins de Pittsburgh, les Flames de Calgary, les Canucks de Vancouver, les Oilers d'Edmonton et les Devils du New Jersey.
Les Sénateurs représentent un grand défi puisqu'ils occupaient le premier rang du classement général avant les rencontres de jeudi alors qu'ils étaient opposés aux Sabres, à Buffalo. Les joueurs de Jacques Martin n'avaient subi que deux défaites à leurs 21 derniers matchs (15-2-4), un rendement qui leur a permis de faire oublier un départ un peu chancelant.
«Nous avons eu un lent départ, a reconnu Mike Fisher au quotidien Ottawa Sun. Mais par la suite, nous avons eu les meilleurs mois de novembre et décembre de l'histoire de la concession.
«Nous savons que notre place est au sommet, a-t-il ajouté. Nos avons une grande équipe. Si nous maintenons le même rythme, on devrait se retrouver près de la tête du classement général à la fin de la saison.»
Un bon noyau
Joé Juneau tient les Sénateurs en très haute estime, lui qui a joué à Ottawa pendant une saison.
«Tous les joueurs adoptent le système, fait-il valoir. Il n'y a pas de différence dans leur façon de jouer, peu importe le trio. Tous les trios sont constants.»
Juneau explique que le noyau de l'équipe est à Ottawa depuis quelques années déjà, ce qui contribue à souder l'équipe, autant sur la glace qu'à l'extérieur de la patinoire.
«Il y a des joueurs talentueux, dit-il. Je pense à des gars comme Daniel Alfredsson, Radek Bonk, Marian Hossa, Magnus Arvedson qui sont avec l'équipe depuis cinq ans. Faut pas oublier non plus le jeune Martin Havlat. À la défense, un joueur comme Zdeno Chara rend leur ligne bleue encore meilleure. Il y a aussi Wade Redden qui est parmi les 10 meilleurs défenseurs de la ligue. Et puis il y a Patrick (Lalime) qui joue très bien.»
Et l'entraîneur Jacques Martin?
«Tout part de là. S'ils jouent comme ça, c'est qu'ils sont bien dirigés.»
André Savard a aussi beaucoup d'admiration pour les Sénateurs.
«C'est une bonne équipe qui travaille toujours», a-t-il lancé.
Une note d'optimisme
Le Canadien peut se réconforter à l'idée qu'il a gagné deux des trois matchs contre les Sénateurs cette saison. La dernière victoire a été remportée il y a 12 jours seulement, un gain de 3-2 acquis in extremis grâce au but de Yanic Perreault marqué à 19:42 de la troisième période. Une victoire à Ottawa ferait oublier l'effondrement de l'équipe en troisième face aux Islanders de New York, lundi.
«On sait ce qu'on a fait de bien pour l'emporter, a dit Juneau. On a bien joué en désavantage numérique tôt dans le match, ce qui a semblé briser leur rythme.»