Daly : pas de dopage dans la LNH
Hockey vendredi, 14 déc. 2007. 17:09 samedi, 14 déc. 2024. 20:00
TORONTO - Alors que le baseball majeur est secoué par le rapport Mitchell, la LNH affirme que l'usage répandue de substances pour améliorer la performance n'est pas un problème parmi les joueurs de hockey.
"Je ne pense pas que nous ayions jamais eu le même problème, a dit le commissaire adjoint de la LNH, Bill Daly, vendredi. Les joueurs de hockey sont soumis à des tests antidopage depuis plusieurs années lors des compétitions internationales.
"Ca ne fait simplement pas partie de leur culture, a-t-il ajouté. Nous avons testé les joueurs de la LNH jusqu'à trois reprises par année depuis janvier 2006. De toute évidence, nous n'avons pas eu beaucoup de choses à signaler à l'exception d'un test positif."
Le défenseur Sean Hill, du Wild du Minnesota, est e seul joueur jusqu'à maintenant à avoir enfreint le programme antidopage de la LNH. ll a reçu une suspension de 20 matchs au printemps dernier alors qu'il était avec les Islanders de New York.
Le Wild a indiqué que Hill avait reconnu avoir pris un stimulant de testostérone qui avait été prescrit par un médecin et qui avait été approuvé par la LNH mais il a toutefois subi un contrôle positif à un stéroïde interdit.
Dans son rapport présenté jeudi, l'ancien sénateur américain George Mitchell a donné les noms de plus de 85 joueurs de baseball qui étaient associés à l'utilisation illégale de stéroïdes et d'autres substances visant à améliorer la performance.
L'Association des joueurs de la LNH est d'avis que le programme de tests anti-dopage actuellement en vigueur fonctionne bien tandis que Daly est convaincu que le hockey n'a pas besoin d'un rapport Mitchell.
"Une enquête indépendante dans notre sport n'est pas nécessaire, a estimé Daly. Il est plus évident dans l'histoire du hockey qu'au baseball que cela n'a jamais fait partie de notre culture. Nous sommes à l'aise avec le programme actuel et nous allons toujours rechercher des façons de l'améliorer.
"Nous devons rester vigilants, a-t-il ajouté, pour s'assurer que nous sommes à la fine pointe et que nous faisons tout ce que nous pouvons pour que notre sport reste propre."
L'efficacité du programme antidopage de la LNH est constamment mise en doute par l'avocat montréalais Dick Pound, l'ex-président de l'Agence mondiale anti-dopage. Il estime qu'il est "très imparfait" et il avait d'ailleurs fait la manchette en novembre 2005 en estimant que le tiers des joueurs de la LNH prenait probablement des substances pour améliorer la performance - principalement des stimulants.
"Je ne pense pas que nous ayions jamais eu le même problème, a dit le commissaire adjoint de la LNH, Bill Daly, vendredi. Les joueurs de hockey sont soumis à des tests antidopage depuis plusieurs années lors des compétitions internationales.
"Ca ne fait simplement pas partie de leur culture, a-t-il ajouté. Nous avons testé les joueurs de la LNH jusqu'à trois reprises par année depuis janvier 2006. De toute évidence, nous n'avons pas eu beaucoup de choses à signaler à l'exception d'un test positif."
Le défenseur Sean Hill, du Wild du Minnesota, est e seul joueur jusqu'à maintenant à avoir enfreint le programme antidopage de la LNH. ll a reçu une suspension de 20 matchs au printemps dernier alors qu'il était avec les Islanders de New York.
Le Wild a indiqué que Hill avait reconnu avoir pris un stimulant de testostérone qui avait été prescrit par un médecin et qui avait été approuvé par la LNH mais il a toutefois subi un contrôle positif à un stéroïde interdit.
Dans son rapport présenté jeudi, l'ancien sénateur américain George Mitchell a donné les noms de plus de 85 joueurs de baseball qui étaient associés à l'utilisation illégale de stéroïdes et d'autres substances visant à améliorer la performance.
L'Association des joueurs de la LNH est d'avis que le programme de tests anti-dopage actuellement en vigueur fonctionne bien tandis que Daly est convaincu que le hockey n'a pas besoin d'un rapport Mitchell.
"Une enquête indépendante dans notre sport n'est pas nécessaire, a estimé Daly. Il est plus évident dans l'histoire du hockey qu'au baseball que cela n'a jamais fait partie de notre culture. Nous sommes à l'aise avec le programme actuel et nous allons toujours rechercher des façons de l'améliorer.
"Nous devons rester vigilants, a-t-il ajouté, pour s'assurer que nous sommes à la fine pointe et que nous faisons tout ce que nous pouvons pour que notre sport reste propre."
L'efficacité du programme antidopage de la LNH est constamment mise en doute par l'avocat montréalais Dick Pound, l'ex-président de l'Agence mondiale anti-dopage. Il estime qu'il est "très imparfait" et il avait d'ailleurs fait la manchette en novembre 2005 en estimant que le tiers des joueurs de la LNH prenait probablement des substances pour améliorer la performance - principalement des stimulants.