Des espoirs sous la loupe à Toronto
Hockey jeudi, 31 mai 2012. 19:05 mercredi, 11 déc. 2024. 21:51
Depuis mardi, la Ligue nationale reçoit à Toronto 110 des meilleurs espoirs en vue de la prochaine séance de sélection qui aura lieu à Pittsburgh les 22 et 23 juin prochain. Au menu : Des rencontres individuelles ainsi que des tests physiques et psychologiques, c'est ce qu'on appelle le ¨Combine¨.
Les dépisteurs-chefs de chaque formation de la LNH ainsi que plusieurs directeurs généraux sont à Toronto pour tenter d'en apprendre le plus possible sur les jeunes joueurs qui seront à leur disposition lors de la prochaine séance de sélection. Marc Bergevin du Canadien a participé à plusieurs des 65 rencontres conduites par l'équipe depuis mardi. Il en profite pour écouter et observer.
« Je regarde beaucoup le langage du corps, a dit le patron du Canadien. Sans poser de question, j'observe. À mes yeux, c'est important. »
Pour Trevor Timmins, le repêchage de 2012 est spécial, parce que le Canadien possède le troisième choix au total, mais le CH possède aussi trois sélections parmi les 51 premières. Ce sera d'ailleurs la première fois depuis 2008 que le Canadien parlera en deuxième ronde.
« Nous aurons deux sélections en deuxième ronde, ce qui est plutôt rare pour nous ces dernières années. Il y a habituellement des joueurs de qualité en deuxième ronde, a déclaré le responsable du repêchage chez le Canadien. On a très hâte à l'an prochain alors que nous aurons trois choix en deuxième ronde, en souhaitant que nous ne repêcherons pas encore le troisième choix au total l'an prochain. »
Au total neuf joueurs de la LHJMQ sont à Toronto en ce moment. Mikhail Grigorenko des Remparts de Québec, le mieux classé chez les joueurs de la LHJMQ et qui se remet d'une mononucléose est sur place, de même que le gardien québécois qui vient en tête de liste, François Tremblay des Foreurs de Val-d'Or.
« C'est stressant, particulièrement pour les francophones quand vient le temps de participer à des entrevues en anglais, » a déclaré Tremblay.
Les rencontres individuelles sont maintenant terminées. Les joueurs vont aussi participer à des tests physiques exigeants, qui permettent de démonter lesquels sont les plus en forme.
D'après un reportage de Stéphane Leroux
Les dépisteurs-chefs de chaque formation de la LNH ainsi que plusieurs directeurs généraux sont à Toronto pour tenter d'en apprendre le plus possible sur les jeunes joueurs qui seront à leur disposition lors de la prochaine séance de sélection. Marc Bergevin du Canadien a participé à plusieurs des 65 rencontres conduites par l'équipe depuis mardi. Il en profite pour écouter et observer.
« Je regarde beaucoup le langage du corps, a dit le patron du Canadien. Sans poser de question, j'observe. À mes yeux, c'est important. »
Pour Trevor Timmins, le repêchage de 2012 est spécial, parce que le Canadien possède le troisième choix au total, mais le CH possède aussi trois sélections parmi les 51 premières. Ce sera d'ailleurs la première fois depuis 2008 que le Canadien parlera en deuxième ronde.
« Nous aurons deux sélections en deuxième ronde, ce qui est plutôt rare pour nous ces dernières années. Il y a habituellement des joueurs de qualité en deuxième ronde, a déclaré le responsable du repêchage chez le Canadien. On a très hâte à l'an prochain alors que nous aurons trois choix en deuxième ronde, en souhaitant que nous ne repêcherons pas encore le troisième choix au total l'an prochain. »
Au total neuf joueurs de la LHJMQ sont à Toronto en ce moment. Mikhail Grigorenko des Remparts de Québec, le mieux classé chez les joueurs de la LHJMQ et qui se remet d'une mononucléose est sur place, de même que le gardien québécois qui vient en tête de liste, François Tremblay des Foreurs de Val-d'Or.
« C'est stressant, particulièrement pour les francophones quand vient le temps de participer à des entrevues en anglais, » a déclaré Tremblay.
Les rencontres individuelles sont maintenant terminées. Les joueurs vont aussi participer à des tests physiques exigeants, qui permettent de démonter lesquels sont les plus en forme.
D'après un reportage de Stéphane Leroux