Des pénalités d'une minute en prolongation?
Hockey lundi, 18 févr. 2008. 19:37 dimanche, 15 déc. 2024. 11:51
NAPLES, Flo. - Verra-t-on des pénalités d'une minute plutôt que deux lors de la période de prolongation?
Il s'agit d'un des nombreux sujets qui ont fait l'objet de discussions lundi alors que les 30 directeurs généraux de la LNH sont réunis à Naples, en Floride.
Le directeur général des Ducks d'Anaheim Brian Burke souscrit à l'imposition de pénalités d'une minute en prolongation. L'idée, c'est qu'un avantage numérique, 4-contre-3, prend 40 pour cent de la période de cinq minutes et le plus souvent, l'équipe qui en profite met fin au match.
"Des pénalités d'une minute en prolongation, ça tombe sous le sens", a dit Burke lundi après la première journée de réunion.
Toute idée qui sera suffisamment appuyée par les directeurs généraux d'ici la fin de la réunion mercredi devra ensuite être approuvée par le comité des gouverneurs de la LNH.
Les directeurs généraux se sont séparés en quatre groupes de travail.
Burke faisait partie d'un groupe qui incluait aussi Jay Feaster, du Lightning de Tampa Bay, David Poile, des Predators de Nashville, Larry Pleau, des Blues de St. Louis, Jim Rutherford, des Hurricanes de la Caroline, Glen Sather, des Rangers de New York, Garth Snow, des Islanders de New York, et Don Waddell, des Thrashers d'Atlanta.
Les membres de ce groupe ont aussi discuté, entre autres, des suspensions qui se poursuivent la saison suivante, des pénalités pour bâton élevé et si elles devraient toujours entraîner une sanction automatique de quatre minutes quand le sang gicle, ainsi que du règlement de l'instigateur d'une bataille.
Burke n'était pas dans le groupe de travail qui a abordé un autre sujet: maintenir les salaires lors d'un échange. C'est toutefois une idée qu'il avance depuis deux ans et il a l'appui de plusieurs directeurs généraux mais la ligue ne veut pas desserrer le plafond salarial.
Cela pourrait permettre aux équipes de verser une portion du salaire d'un joueur pour faciliter les transactions, surtout au début d'une saison. Le groupe qui discutait de ce sujet lundi comprenait Peter Chiarelli, des Bruins de Boston, Paul Holmgren, des Flyers de Philadelphie, Scott Howson, des Blue Jackets de Columbus, Lou Lamoriello, des Devils du New Jersey, Dean Lombardi, des Kings de Los Angeles, George McPhee, des Capitals de Washington, et Ray Shero, des Penguins de Pittsburgh.
Il s'agit d'un des nombreux sujets qui ont fait l'objet de discussions lundi alors que les 30 directeurs généraux de la LNH sont réunis à Naples, en Floride.
Le directeur général des Ducks d'Anaheim Brian Burke souscrit à l'imposition de pénalités d'une minute en prolongation. L'idée, c'est qu'un avantage numérique, 4-contre-3, prend 40 pour cent de la période de cinq minutes et le plus souvent, l'équipe qui en profite met fin au match.
"Des pénalités d'une minute en prolongation, ça tombe sous le sens", a dit Burke lundi après la première journée de réunion.
Toute idée qui sera suffisamment appuyée par les directeurs généraux d'ici la fin de la réunion mercredi devra ensuite être approuvée par le comité des gouverneurs de la LNH.
Les directeurs généraux se sont séparés en quatre groupes de travail.
Burke faisait partie d'un groupe qui incluait aussi Jay Feaster, du Lightning de Tampa Bay, David Poile, des Predators de Nashville, Larry Pleau, des Blues de St. Louis, Jim Rutherford, des Hurricanes de la Caroline, Glen Sather, des Rangers de New York, Garth Snow, des Islanders de New York, et Don Waddell, des Thrashers d'Atlanta.
Les membres de ce groupe ont aussi discuté, entre autres, des suspensions qui se poursuivent la saison suivante, des pénalités pour bâton élevé et si elles devraient toujours entraîner une sanction automatique de quatre minutes quand le sang gicle, ainsi que du règlement de l'instigateur d'une bataille.
Burke n'était pas dans le groupe de travail qui a abordé un autre sujet: maintenir les salaires lors d'un échange. C'est toutefois une idée qu'il avance depuis deux ans et il a l'appui de plusieurs directeurs généraux mais la ligue ne veut pas desserrer le plafond salarial.
Cela pourrait permettre aux équipes de verser une portion du salaire d'un joueur pour faciliter les transactions, surtout au début d'une saison. Le groupe qui discutait de ce sujet lundi comprenait Peter Chiarelli, des Bruins de Boston, Paul Holmgren, des Flyers de Philadelphie, Scott Howson, des Blue Jackets de Columbus, Lou Lamoriello, des Devils du New Jersey, Dean Lombardi, des Kings de Los Angeles, George McPhee, des Capitals de Washington, et Ray Shero, des Penguins de Pittsburgh.
