Des recrues très avides dans la LNH
Hockey mardi, 30 août 2011. 17:03 vendredi, 13 déc. 2024. 15:44
TORONTO - Si la tendance se maintient, deux d'entre eux porteront encore un maillot de la LNH en octobre.
Pendant que Ryan Nugent-Hopkins, Gabriel Landeskog et Jonathan Huberdeau enfilaient l'uniforme de leur nouvelle équipe respective de la LNH, mardi matin, chacun d'entre eux exprimait le vif désir de continuer à le porter tout au long de la prochaine saison. Alors que la tenue des camps d'entraînement approche à grands pas, les trois premiers choix du dernier repêchage se sentaient plus aptes que jamais de réaliser leur rêve de jouer dans la grande ligue.
« Je veux juste porter ce maillot, et je veux juste aller sur la glace et jouer », a déclaré Nugent-Hopkins pendant qu'il portait le no 93 orange et bleu de l'uniforme à domicile des Oilers d'Edmonton.
Le joueur de centre de 18 ans a passé énormément de temps en gymnase depuis qu'il a été choisi au tout premier rang en juin au Xcel Energy Center, au Minnesota.
Nugent-Hopkins estime avoir ajouté une douzaine de livres à sa charpente de six pieds au cours de l'été, ce qui lui permet de se retrouver à environ 177 livres. Il l'a fait dans l'espoir de percer la formation des Oilers lors du prochain camp.
« En espérant que ça m'aidera, a dit Nugent-Hopkins. Je ne m'attarde pas trop à mon poids en ce moment, je veux surtout me concentrer sur la qualité de mon jeu et chercher à jouer à la mesure de mon potentiel. »
Le seul premier choix qui n'a pas accédé directement à la LNH depuis le lock-out est le défenseur Erik Johnson. Celui-ci a disputé une saison à l'Université du Minnesota au lieu de se joindre aux Blues de St. Louis en 2006. Globalement, 11 des 18 joueurs sélectionnés parmi les trois premiers, de 2005 à 2010, sont passés directement au circuit Bettman.
Ce n'est pas par hasard si Nugent-Hopkins, Landeskog et Huberdeau ont été regroupés, mardi, à l'occasion d'un événement promotionnel de l'Association des joueurs de la LNH. Depuis le repêchage qu'on les questionne au sujet de leur capacité à accéder à la LNH dès cet hiver. Et les feux de la rampe ne feront que s'intensifier, ces prochaines semaines.
« C'est ce qui vient avec le statut de choix de premier plan, a noté Landeskog, qui portait le maillot no 92 de l'Avalanche du Colorado. C'est une pression positive. J'ai moi-même des attentes élevées. Je joue au hockey parce que je veux m'améliorer de jour en jour. »
Plusieurs estiment que Landeskog est le mieux placé de la classe de 2011 pour décrocher un poste parce qu'il a une certaine maturité physique et tente de percer la formation d'une équipe en reconstruction. Il en a entendu parler et il reconnaît se sentir nerveux à l'approche du camp.
« Je mentirais si je prétendais le contraire, a-t-il dit. Mais en même temps, je dirais que c'est plus de la fébrilité que de la nervosité. »
Les Panthers de la Floride ont fait de Huberdeau leur choix quelques semaines seulement après qu'il eut soulevé la coupe Memorial avec les Sea Dogs de Saint-Jean. Ce sont peut-être des considérations d'affaires qui détermineront s'il mérite un poste dans la LNH cette saison - il n'a pas encore signé de contrat professionnel - et l'attaquant de 18 ans a décidé d'adopter une approche prudente en vue du camp.
« Mon but est de jouer (dans la LNH) cette année, mais je ne sais pas si je suis prêt, a déclaré Huberdeau, qui a porté un maillot no 11 des Panthers, mardi. Je n'ai jamais joué contre des joueurs de la LNH. On verra comment ça va se dérouler sur la glace.
« Si je suis prêt, c'est certain, j'aimerais avoir un poste dès maintenant. »
S'ils ne sont pas retenus au sein de leur formation cet automne, ils seront retournés à leur équipe junior respective.
Pendant que Ryan Nugent-Hopkins, Gabriel Landeskog et Jonathan Huberdeau enfilaient l'uniforme de leur nouvelle équipe respective de la LNH, mardi matin, chacun d'entre eux exprimait le vif désir de continuer à le porter tout au long de la prochaine saison. Alors que la tenue des camps d'entraînement approche à grands pas, les trois premiers choix du dernier repêchage se sentaient plus aptes que jamais de réaliser leur rêve de jouer dans la grande ligue.
« Je veux juste porter ce maillot, et je veux juste aller sur la glace et jouer », a déclaré Nugent-Hopkins pendant qu'il portait le no 93 orange et bleu de l'uniforme à domicile des Oilers d'Edmonton.
Le joueur de centre de 18 ans a passé énormément de temps en gymnase depuis qu'il a été choisi au tout premier rang en juin au Xcel Energy Center, au Minnesota.
Nugent-Hopkins estime avoir ajouté une douzaine de livres à sa charpente de six pieds au cours de l'été, ce qui lui permet de se retrouver à environ 177 livres. Il l'a fait dans l'espoir de percer la formation des Oilers lors du prochain camp.
« En espérant que ça m'aidera, a dit Nugent-Hopkins. Je ne m'attarde pas trop à mon poids en ce moment, je veux surtout me concentrer sur la qualité de mon jeu et chercher à jouer à la mesure de mon potentiel. »
Le seul premier choix qui n'a pas accédé directement à la LNH depuis le lock-out est le défenseur Erik Johnson. Celui-ci a disputé une saison à l'Université du Minnesota au lieu de se joindre aux Blues de St. Louis en 2006. Globalement, 11 des 18 joueurs sélectionnés parmi les trois premiers, de 2005 à 2010, sont passés directement au circuit Bettman.
Ce n'est pas par hasard si Nugent-Hopkins, Landeskog et Huberdeau ont été regroupés, mardi, à l'occasion d'un événement promotionnel de l'Association des joueurs de la LNH. Depuis le repêchage qu'on les questionne au sujet de leur capacité à accéder à la LNH dès cet hiver. Et les feux de la rampe ne feront que s'intensifier, ces prochaines semaines.
« C'est ce qui vient avec le statut de choix de premier plan, a noté Landeskog, qui portait le maillot no 92 de l'Avalanche du Colorado. C'est une pression positive. J'ai moi-même des attentes élevées. Je joue au hockey parce que je veux m'améliorer de jour en jour. »
Plusieurs estiment que Landeskog est le mieux placé de la classe de 2011 pour décrocher un poste parce qu'il a une certaine maturité physique et tente de percer la formation d'une équipe en reconstruction. Il en a entendu parler et il reconnaît se sentir nerveux à l'approche du camp.
« Je mentirais si je prétendais le contraire, a-t-il dit. Mais en même temps, je dirais que c'est plus de la fébrilité que de la nervosité. »
Les Panthers de la Floride ont fait de Huberdeau leur choix quelques semaines seulement après qu'il eut soulevé la coupe Memorial avec les Sea Dogs de Saint-Jean. Ce sont peut-être des considérations d'affaires qui détermineront s'il mérite un poste dans la LNH cette saison - il n'a pas encore signé de contrat professionnel - et l'attaquant de 18 ans a décidé d'adopter une approche prudente en vue du camp.
« Mon but est de jouer (dans la LNH) cette année, mais je ne sais pas si je suis prêt, a déclaré Huberdeau, qui a porté un maillot no 11 des Panthers, mardi. Je n'ai jamais joué contre des joueurs de la LNH. On verra comment ça va se dérouler sur la glace.
« Si je suis prêt, c'est certain, j'aimerais avoir un poste dès maintenant. »
S'ils ne sont pas retenus au sein de leur formation cet automne, ils seront retournés à leur équipe junior respective.