Donald Fehr ouvre la porte à la LNH
Hockey mercredi, 19 déc. 2012. 16:59 jeudi, 12 déc. 2024. 03:38
TORONTO - Donald Fehr a dit que l'Association des joueurs de la LNH était prête à retourner à la table des négociations dès que possible.
Il attend simplement que la LNH soit prête à faire son bout de chemin.
«(Nous ne discutons pas) parce que les propriétaires n'ont pas démontré qu'ils voulaient recommencer», a commenté le directeur exécutif de l'AJLNH avant le match-bénéfice de mercredi soir. «Nous avons répété à de nombreuses reprises que nous voulons reprendre les négociations lorsqu'ils seront prêts à le faire (et) nous sommes prêts à y participer sans condition préalable... Alors nous attendons des nouvelles d'eux.»
Les parties n'ont pas négocié ensemble depuis le 6 décembre à New York, lorsque les pourparlers ont été rompus. Elles se sont aussi rencontrées en compagnie d'un médiateur fédéral américain pendant deux jours au New Jersey la semaine dernière, mais aucun progrès n'a été rapporté.
Du point de vue de la ligue, les négociations ne reprendront que lorsque quelque chose de nouveau sera présenté à la table.
«Je ne crois pas que les deux parties refusent de se rencontrer», a commenté le commissaire adjoint Bill Daly. «Sauf s'il y a une indication qu'une partie ou une autre soit prête à bouger ou à mettre une nouvelle idée de l'avant et jusqu'ici ce n'est pas le cas ni d'un côté, ni de l'autre , je ne suis pas certain de ce que nous ferions à cette rencontre.
«Quel est l'agenda? Qui dirigera la conversation? Nous n'avons rien de neuf à dire en ce moment.»
Le commissaire adjoint a suscité la controverse plus tôt mercredi en participant à l'émission Hockey Night in Canada Radio sur les ondes de la CBC. On lui a demandé de répondre par un simple 'oui' ou 'non' à la question à savoir si une entente allait être conclue afin de préserver la saison, et il a répondu 'oui'.
«Ce sont de bonnes nouvelles, a reconnu Fehr. Je suis content d'entendre ça. J'espère qu'il a raison. C'est l'objectif des joueurs, c'est ce que nous voulons essayer d'accomplir.
J'espère que nous nous retrouverons à la table et réglerons les derniers enjeux le plus rapidement possible.»
La LNH a insisté pour présenter un calendrier écourté de 48 matchs, le minimum acceptable selon la Ligue le même nombre qu'après le lock-out de 1994-95 ce qui signifie qu'une entente devra être conclue d'ici la mi-janvier. La saison devra être annulée si l'on dépasse cette période, a confirmé Daly à la station de radio de Sportsnet mercredi. Plus de 500 matchs de saison régulière ont déjà été annulés, et d'autres devraient suivre d'ici la fin de la semaine.
Certaines discussions seraient aussi en cours afin de tenir des négociations avant Noël. Cette dernière serait avec le même groupe de propriétaires, dont Ron Burkle, selon ce qu'a appris notre informateur LNH, Renaud Lavoie.
Pat Brisson veut réunir les deux partis
L'antichambre s'est entretenu avec le réputé agent de joueurs Pat Brisson, mercredi soir.
Brisson fait tout ce qui est en son pouvoir présentement pour rapprocher les deux partis et ultimement, sauver la saison.
Ce dernier tente de mettre à profit son expérience ainsi que ses contacts, au nombre desquels l'on peut compter Donald Fehr ainsi que plusieurs propriétaires, afin de provoquer un retour au jeu le plus tôt possible.
L'agent de joueurs croit que les deux partis ont eu le temps d'effectuer un recul depuis les dernières négociations, eux qui ont amené leur lot d'émotions. Le temps devrait donc arranger les choses selon lui.
« En tant qu'agent, c'est ma responsabilité de faire en sorte qu'il y ait une entente le plus tôt possible. Naturellement, je pense que Don et Gary devraient faire partie de la prochaine ronde. Il reste trois ou quatre points à négocier en principe, donc je crois que ça peut avancer, s'ils se rencontrent de façon sérieuse », a déclaré Brisson à l'antichambre.
Selon lui, les deux groupes étaient très près d'une entente, il y a deux semaines, avant que les négociations achoppent.
Pour Brisson, il s'agit d'un devoir d'éduquer les joueurs afin de leur donner son opinion par rapport à la situation. Il a aussi senti le désire de s'impliquer davantage.
Reste que ce dernier est inquiet des effets du lock-out sur la Ligue. Plus particulièrement sur sa `marque', ainsi que sur tout ce qui entoure la LNH, allant des partisans aux restaurants.
Il attend simplement que la LNH soit prête à faire son bout de chemin.
«(Nous ne discutons pas) parce que les propriétaires n'ont pas démontré qu'ils voulaient recommencer», a commenté le directeur exécutif de l'AJLNH avant le match-bénéfice de mercredi soir. «Nous avons répété à de nombreuses reprises que nous voulons reprendre les négociations lorsqu'ils seront prêts à le faire (et) nous sommes prêts à y participer sans condition préalable... Alors nous attendons des nouvelles d'eux.»
Les parties n'ont pas négocié ensemble depuis le 6 décembre à New York, lorsque les pourparlers ont été rompus. Elles se sont aussi rencontrées en compagnie d'un médiateur fédéral américain pendant deux jours au New Jersey la semaine dernière, mais aucun progrès n'a été rapporté.
Du point de vue de la ligue, les négociations ne reprendront que lorsque quelque chose de nouveau sera présenté à la table.
«Je ne crois pas que les deux parties refusent de se rencontrer», a commenté le commissaire adjoint Bill Daly. «Sauf s'il y a une indication qu'une partie ou une autre soit prête à bouger ou à mettre une nouvelle idée de l'avant et jusqu'ici ce n'est pas le cas ni d'un côté, ni de l'autre , je ne suis pas certain de ce que nous ferions à cette rencontre.
«Quel est l'agenda? Qui dirigera la conversation? Nous n'avons rien de neuf à dire en ce moment.»
Le commissaire adjoint a suscité la controverse plus tôt mercredi en participant à l'émission Hockey Night in Canada Radio sur les ondes de la CBC. On lui a demandé de répondre par un simple 'oui' ou 'non' à la question à savoir si une entente allait être conclue afin de préserver la saison, et il a répondu 'oui'.
«Ce sont de bonnes nouvelles, a reconnu Fehr. Je suis content d'entendre ça. J'espère qu'il a raison. C'est l'objectif des joueurs, c'est ce que nous voulons essayer d'accomplir.
J'espère que nous nous retrouverons à la table et réglerons les derniers enjeux le plus rapidement possible.»
La LNH a insisté pour présenter un calendrier écourté de 48 matchs, le minimum acceptable selon la Ligue le même nombre qu'après le lock-out de 1994-95 ce qui signifie qu'une entente devra être conclue d'ici la mi-janvier. La saison devra être annulée si l'on dépasse cette période, a confirmé Daly à la station de radio de Sportsnet mercredi. Plus de 500 matchs de saison régulière ont déjà été annulés, et d'autres devraient suivre d'ici la fin de la semaine.
Certaines discussions seraient aussi en cours afin de tenir des négociations avant Noël. Cette dernière serait avec le même groupe de propriétaires, dont Ron Burkle, selon ce qu'a appris notre informateur LNH, Renaud Lavoie.
Pat Brisson veut réunir les deux partis
L'antichambre s'est entretenu avec le réputé agent de joueurs Pat Brisson, mercredi soir.
Brisson fait tout ce qui est en son pouvoir présentement pour rapprocher les deux partis et ultimement, sauver la saison.
Ce dernier tente de mettre à profit son expérience ainsi que ses contacts, au nombre desquels l'on peut compter Donald Fehr ainsi que plusieurs propriétaires, afin de provoquer un retour au jeu le plus tôt possible.
L'agent de joueurs croit que les deux partis ont eu le temps d'effectuer un recul depuis les dernières négociations, eux qui ont amené leur lot d'émotions. Le temps devrait donc arranger les choses selon lui.
« En tant qu'agent, c'est ma responsabilité de faire en sorte qu'il y ait une entente le plus tôt possible. Naturellement, je pense que Don et Gary devraient faire partie de la prochaine ronde. Il reste trois ou quatre points à négocier en principe, donc je crois que ça peut avancer, s'ils se rencontrent de façon sérieuse », a déclaré Brisson à l'antichambre.
Selon lui, les deux groupes étaient très près d'une entente, il y a deux semaines, avant que les négociations achoppent.
Pour Brisson, il s'agit d'un devoir d'éduquer les joueurs afin de leur donner son opinion par rapport à la situation. Il a aussi senti le désire de s'impliquer davantage.
Reste que ce dernier est inquiet des effets du lock-out sur la Ligue. Plus particulièrement sur sa `marque', ainsi que sur tout ce qui entoure la LNH, allant des partisans aux restaurants.