Du repos pour certains
Hockey mercredi, 2 avr. 2008. 14:50 dimanche, 15 déc. 2024. 12:58
Par Renaud Lavoie - Alex Kovalev, Roman Hamrlik, Mikhail Grabovski et Michael Ryder n'étaient pas sur la glace à l'entraînement puisqu'ils ont obtenu une journée de repos. Guy Carbonneau a avoué qu'il a songé à reposer quelques joueurs jeudi, mais ce n'est pas un scénario qui a été retenu. Et un joueur comme Mark Streit qui se remet d'une blessure à une cheville ne veut pas se reposer.
«Je veux jouer tous les matchs et je veux m'entraîner normalement. Je souhaite être à mon poste surtout que je ne ressens pas beaucoup de douleur. Je ne suis pas à 100%, mais je préfère être de la formation pour continuer à m'améliorer», explique Streit.
«Je ne pense pas que les joueurs veulent sauter des parties. Ils veulent arriver en séries en forme en ayant terminé la saison d'une belle façon. On a joué à quatre trios et six défenseurs durant toute la saison et je ne crois pas que mon approche va changer. Si je vois dans les deux prochains matchs qu'on se forge une avance ou un retard considerable, je vais peut-être reposer un ou deux joueurs. Mais je ne crois pas que je vais proposer à Alex Kovalev de se reposer avec la saison qu'il connaît. Je ne pense pas qu'il accepterait», raconte Guy Carbonneau.
Si Mike Komisarek n'a pas patiné avec ses coéquipiers, il l'a fait avec les joueurs de l'université Concordia pendant 90 minutes. Son retour au jeu est toujours prévu pour les séries et jeudi, il pourrait patiner avec ses coéquipiers...
«J'ai dû subir le camp de remise en forme de Scott Livingston au cours des derniers jours», confie Komisarek en riant. « Il me pousse beaucoup et ça progresse à tous les jours pour voir comment ma blessure répond afin que je puisse revenir au jeu en pleine forme».
Si Patrice Brisebois nous a parlé de la coupe en 1993, Guy Carbonneau n'a pas la tête aux festivités ni au passé. Il prépare plutôt les séries et l'avantage de la glace sera un atout que le Canadien n'a pas eu depuis trop longtemps.
«On va profiter de trois ou quatre journées afin de se préparer dans notre environnement du Centre Bell. Pour nous, c'est un bon départ pour les séries», ajoute Carbo.
L'entraîneur du Canadien nous a indiqué qu'il n'y aurait aucun changement en ce qui concerne les joueurs blessés de son équipe.
Infériorité numérique
Le Canadien a amélioré dernièrement son jeu en désavantage numérique. L'équipe n'a concédé aucun but en 20 infériorités numériques, à ses trois derniers matchs. Le Tricolore occupe désormais le 16e rang (82,4 pour cent) après avoir glissé jusqu'au 23e échelon.
"C'est important de faire les dernières mises au point avant les séries, dit Higgins. Je pense que nous sommes davantage concentrés qu'en début de saison."
Contre Ottawa, le Canadien a été en mesure d'écouler huit pénalités même si les Sénateurs misent sur des joueurs de talent. Au total, le Tricolore a bloqué 24 tirs contre 14 aux Sens.
"J'adore jouer en infériorité numérique, dit Ryan O'Byrne. On se défonce pendant 45 secondes, on bloque des tirs. On a vraiment l'impression de contribuer aux succès de l'équipe. C'est très valorisant."
«Je veux jouer tous les matchs et je veux m'entraîner normalement. Je souhaite être à mon poste surtout que je ne ressens pas beaucoup de douleur. Je ne suis pas à 100%, mais je préfère être de la formation pour continuer à m'améliorer», explique Streit.
«Je ne pense pas que les joueurs veulent sauter des parties. Ils veulent arriver en séries en forme en ayant terminé la saison d'une belle façon. On a joué à quatre trios et six défenseurs durant toute la saison et je ne crois pas que mon approche va changer. Si je vois dans les deux prochains matchs qu'on se forge une avance ou un retard considerable, je vais peut-être reposer un ou deux joueurs. Mais je ne crois pas que je vais proposer à Alex Kovalev de se reposer avec la saison qu'il connaît. Je ne pense pas qu'il accepterait», raconte Guy Carbonneau.
Si Mike Komisarek n'a pas patiné avec ses coéquipiers, il l'a fait avec les joueurs de l'université Concordia pendant 90 minutes. Son retour au jeu est toujours prévu pour les séries et jeudi, il pourrait patiner avec ses coéquipiers...
«J'ai dû subir le camp de remise en forme de Scott Livingston au cours des derniers jours», confie Komisarek en riant. « Il me pousse beaucoup et ça progresse à tous les jours pour voir comment ma blessure répond afin que je puisse revenir au jeu en pleine forme».
Si Patrice Brisebois nous a parlé de la coupe en 1993, Guy Carbonneau n'a pas la tête aux festivités ni au passé. Il prépare plutôt les séries et l'avantage de la glace sera un atout que le Canadien n'a pas eu depuis trop longtemps.
«On va profiter de trois ou quatre journées afin de se préparer dans notre environnement du Centre Bell. Pour nous, c'est un bon départ pour les séries», ajoute Carbo.
L'entraîneur du Canadien nous a indiqué qu'il n'y aurait aucun changement en ce qui concerne les joueurs blessés de son équipe.
Infériorité numérique
Le Canadien a amélioré dernièrement son jeu en désavantage numérique. L'équipe n'a concédé aucun but en 20 infériorités numériques, à ses trois derniers matchs. Le Tricolore occupe désormais le 16e rang (82,4 pour cent) après avoir glissé jusqu'au 23e échelon.
"C'est important de faire les dernières mises au point avant les séries, dit Higgins. Je pense que nous sommes davantage concentrés qu'en début de saison."
Contre Ottawa, le Canadien a été en mesure d'écouler huit pénalités même si les Sénateurs misent sur des joueurs de talent. Au total, le Tricolore a bloqué 24 tirs contre 14 aux Sens.
"J'adore jouer en infériorité numérique, dit Ryan O'Byrne. On se défonce pendant 45 secondes, on bloque des tirs. On a vraiment l'impression de contribuer aux succès de l'équipe. C'est très valorisant."