Dylan Hunter s'efforce d'être complet
Hockey vendredi, 20 mai 2005. 15:06 mercredi, 11 déc. 2024. 22:53
LONDON (PC) - Dylan Hunter affirme qu'il ne fera pas damner les partisans de l'Océanic de Rimouski pendant le tournoi de la coupe Memorial, comme le faisait son illustre père Dale avec les amateurs de Montréal dans les années 1980, au plus fort de la rivalité Canadien-Nordiques.
"Non, je ne suis pas détestable comme lui sur la glace, a répondu en souriant Hunter fils, vendredi. Je m'efforce d'être un joueur complet, je m'implique davantage à l'attaque."
Dylan Hunter est né à Québec il y a exactement 20 ans ce samedi, mais il conserve peu de souvenirs de son séjour dans la Vieille Capitale puisqu'il y est demeurée que les deux premières années et demie de sa vie. Il ne parle que très peu le français.
"Je sais toutefois combien mon père était populaire à Québec et détesté à Montréal", a mentionné l'ailier gauche qui évolue au sein du gros trio des Knights de London, en compagnie de Corey Perry et de David Bolland.
À sa quatrième saison chez les Knights, champions de la Ligue de l'Ontario et équipe junior numéro un au pays, Hunter a amassé 104 points, incluant 31 buts. Après avoir obtenu 79 points la saison précédente, il a été un choix de neuvième tour des Sabres de Buffalo au repêchage de 2004.
"Je suis satisfait de la saison que j'ai connue et de celle de l'équipe. Nous avons atteint nos objectifs jusqu'à maintenant. Il en reste un."
Il n'y a rien qui lui ferait plus plaisir que de savourer la conquête de la coupe Memorial avec son père, qui est l'entraîneur des Knights.
"Ce serait un formidable sentiment. Lui et moi sommes très proches. Nous voulons très fort tous les deux que ça arrive. Personnellement, ce serait aussi une merveilleuse façon de mettre fin à ma carrière dans les rangs juniors."
Dylan n'a pas trouvé difficile d'être dirigé par son père au cours des deux dernières saisons et demie. Dale Hunter a remporté le titre d'entraîneur par excellence de la Ligue canadienne de hockey (LCH) en 2003-04.
"Contrairement à ce que les gens peuvent penser, à cause du style de jeu qu'il préconisait, mon père n'est pas un criard et il se fâche rarement. Il est très calme, peu importe la situation. Il connaît bien son affaire, il n'a pas besoin de faire de grands discours. Il nous encourage continuellement, il nous dit de ne jamais abandonner", a résumé le fiston qui est passablement plus volubile que le paternel.
"Non, je ne suis pas détestable comme lui sur la glace, a répondu en souriant Hunter fils, vendredi. Je m'efforce d'être un joueur complet, je m'implique davantage à l'attaque."
Dylan Hunter est né à Québec il y a exactement 20 ans ce samedi, mais il conserve peu de souvenirs de son séjour dans la Vieille Capitale puisqu'il y est demeurée que les deux premières années et demie de sa vie. Il ne parle que très peu le français.
"Je sais toutefois combien mon père était populaire à Québec et détesté à Montréal", a mentionné l'ailier gauche qui évolue au sein du gros trio des Knights de London, en compagnie de Corey Perry et de David Bolland.
À sa quatrième saison chez les Knights, champions de la Ligue de l'Ontario et équipe junior numéro un au pays, Hunter a amassé 104 points, incluant 31 buts. Après avoir obtenu 79 points la saison précédente, il a été un choix de neuvième tour des Sabres de Buffalo au repêchage de 2004.
"Je suis satisfait de la saison que j'ai connue et de celle de l'équipe. Nous avons atteint nos objectifs jusqu'à maintenant. Il en reste un."
Il n'y a rien qui lui ferait plus plaisir que de savourer la conquête de la coupe Memorial avec son père, qui est l'entraîneur des Knights.
"Ce serait un formidable sentiment. Lui et moi sommes très proches. Nous voulons très fort tous les deux que ça arrive. Personnellement, ce serait aussi une merveilleuse façon de mettre fin à ma carrière dans les rangs juniors."
Dylan n'a pas trouvé difficile d'être dirigé par son père au cours des deux dernières saisons et demie. Dale Hunter a remporté le titre d'entraîneur par excellence de la Ligue canadienne de hockey (LCH) en 2003-04.
"Contrairement à ce que les gens peuvent penser, à cause du style de jeu qu'il préconisait, mon père n'est pas un criard et il se fâche rarement. Il est très calme, peu importe la situation. Il connaît bien son affaire, il n'a pas besoin de faire de grands discours. Il nous encourage continuellement, il nous dit de ne jamais abandonner", a résumé le fiston qui est passablement plus volubile que le paternel.