Fortier et Laperrière s'amusent bien à Berlin
Hockey vendredi, 29 mars 2002. 15:58 dimanche, 15 déc. 2024. 08:44
(RDS) - En Allemagne, on peut dénombrer une trentaine de Québécois dans la ligue élite DEL. À Berlin, le club mise sur trois joueurs du Québec dont le capitaine, Marc Fortier. Dans ce deuxième reportage, Diane Hayfield nous parle de la vie d'un hockeyeur à Berlin.
Berlin, une ville au passé bouleversant. Marc Fortier et Daniel Laperrière poursuivent leur carrière de hockeyeurs avec les Ours Polaires. Le club Eisbaren, pour lequel ils évoluent, se trouve dans la partie est de la ville. Aujourd'hui, il n'y a plus de mur pour séparer l'est de l'ouest, mais des graffitis pour rappeler symboliquement son existence.
"Disons que Berlin c'est tellement une grosse ville, on peut apprendre beaucoup sur l'histoire qu'il y a eu ici, on en profite pour aller visiter plusieurs endroits", a expliqué Daniel Laperrière.
Berlin est une ville de 4.5 millions d'habitant. "C'est une ville très culturelle et artistique. Il y a 53 théâtres et 3 opéras", a mentionné l'entraîneur des Ours Polaires, Pierre Pagé.
"Moi et ma femme avons pris la peine d'apprendre l'allemand. Alors, avec l'anglais et le français, cela nous donnent une richesse que les autres n'ont pas la chance d'avoir", a indiqué Marc Fortier.
Sur le plan familial, Fortier apprécie sa vie de hockeyeurs en Allemagne. Moins de voyages, moins de partie, donc plus de temps pour la famille et les enfants. Son fils, Dylan, âgé de 5 ans, joue au hockey. Il peut donc l'encourager plus souvent. L'ancien joueur des Nordiques s'est dit agréablement surpris par la qualité des structures du hockey mineur en Allemagne.
"Ici, étant donné que le hockey est moins populaire, les arénas sont plus disponibles. Mon fils peut jouer deux fois par semaine, à raison d'une heure et demie par séance. C'est trois heures par semaine. Il est assez privilégié de ce côté-là", a déclaré Fortier.
Daniel Laperriere se sent à l'aise en sol européen. Le fils de Jacques Laperrière, il va de soi, surveille à distance les performances des Islanders de New York.
"Je suis en contact régulièrement avec mon père. On discute de choses et d'autres, plus ou moins de hockey. J'essaie de suivre les progrès des Islanders par Internet et aussi lors de conversations téléphoniques", a laissé entendre Laperrière.
Tout comme Pierre Pagé, Steve Larouche en est à sa première saison à Berlin. Il a grandement apprécié l'aide de ses coéquipiers.
"Daniel et Marc Fortier ont déjà joué ici, alors il ont pu m'aider dans la ville et m'aider à commander de la bouffe dans les restaurants", a soutenu l'ancien joueur des Rafales de Québec.
Marc Fortier et Daniel Laperrière se sont liés d'amitié. Fortier, qui est le capitaine de l'équipe, se plaît à raconter de quelle façon, il s'occupe de son ami.
"Je n'ai pas le choix. Je suis pris avec Dan. Il habite la porte voisine de la mienne. Ma femme prépare toujours une assiette supplémentaire au cas où Dan viendrait casser la croûte", a affirmé Fortier avec le sourire.
"Les Fortier ont pris bien soin de moi jusqu'à présent... J'en profite", a rétorqué Laperrière.
Fortier et Laperrière s'amusent comme des gamins et en plus ils continuent de jouer au hockey.
Berlin, une ville au passé bouleversant. Marc Fortier et Daniel Laperrière poursuivent leur carrière de hockeyeurs avec les Ours Polaires. Le club Eisbaren, pour lequel ils évoluent, se trouve dans la partie est de la ville. Aujourd'hui, il n'y a plus de mur pour séparer l'est de l'ouest, mais des graffitis pour rappeler symboliquement son existence.
"Disons que Berlin c'est tellement une grosse ville, on peut apprendre beaucoup sur l'histoire qu'il y a eu ici, on en profite pour aller visiter plusieurs endroits", a expliqué Daniel Laperrière.
Berlin est une ville de 4.5 millions d'habitant. "C'est une ville très culturelle et artistique. Il y a 53 théâtres et 3 opéras", a mentionné l'entraîneur des Ours Polaires, Pierre Pagé.
"Moi et ma femme avons pris la peine d'apprendre l'allemand. Alors, avec l'anglais et le français, cela nous donnent une richesse que les autres n'ont pas la chance d'avoir", a indiqué Marc Fortier.
Sur le plan familial, Fortier apprécie sa vie de hockeyeurs en Allemagne. Moins de voyages, moins de partie, donc plus de temps pour la famille et les enfants. Son fils, Dylan, âgé de 5 ans, joue au hockey. Il peut donc l'encourager plus souvent. L'ancien joueur des Nordiques s'est dit agréablement surpris par la qualité des structures du hockey mineur en Allemagne.
"Ici, étant donné que le hockey est moins populaire, les arénas sont plus disponibles. Mon fils peut jouer deux fois par semaine, à raison d'une heure et demie par séance. C'est trois heures par semaine. Il est assez privilégié de ce côté-là", a déclaré Fortier.
Daniel Laperriere se sent à l'aise en sol européen. Le fils de Jacques Laperrière, il va de soi, surveille à distance les performances des Islanders de New York.
"Je suis en contact régulièrement avec mon père. On discute de choses et d'autres, plus ou moins de hockey. J'essaie de suivre les progrès des Islanders par Internet et aussi lors de conversations téléphoniques", a laissé entendre Laperrière.
Tout comme Pierre Pagé, Steve Larouche en est à sa première saison à Berlin. Il a grandement apprécié l'aide de ses coéquipiers.
"Daniel et Marc Fortier ont déjà joué ici, alors il ont pu m'aider dans la ville et m'aider à commander de la bouffe dans les restaurants", a soutenu l'ancien joueur des Rafales de Québec.
Marc Fortier et Daniel Laperrière se sont liés d'amitié. Fortier, qui est le capitaine de l'équipe, se plaît à raconter de quelle façon, il s'occupe de son ami.
"Je n'ai pas le choix. Je suis pris avec Dan. Il habite la porte voisine de la mienne. Ma femme prépare toujours une assiette supplémentaire au cas où Dan viendrait casser la croûte", a affirmé Fortier avec le sourire.
"Les Fortier ont pris bien soin de moi jusqu'à présent... J'en profite", a rétorqué Laperrière.
Fortier et Laperrière s'amusent comme des gamins et en plus ils continuent de jouer au hockey.