Gauthier est satisfait de Trevor Timmins
Hockey vendredi, 4 juin 2010. 15:03 mercredi, 11 déc. 2024. 23:48
Quelques jours après la purge qui a coûté leur poste à six dépisteurs au sein de son organisation, le directeur général du Canadien Pierre Gauthier a offert un vote de confiance au chef du département de recrutement, Trevor Timmins.
"Trevor est en place et il est en place pour rester", a garanti Gauthier lors d'une rencontre avec les médias vendredi.
"Quand on fait une analyse complète et profonde du département de dépistage, on conclut qu'ils font du très bon travail. Clairement au-dessus de la moyenne en ce qui concerne le repêchage depuis que Trevor est en place", a poursuivi le d.g. en précisant qu'il ne fallait pas s'arrêter à l'historique de l'encan amateur pour évaluer le travail d'une équipe de dépisteurs.
"Ils font aussi du très bon travail dans d'autres domaines, a-t-il expliqué. Je donne l'exemple de Tom Pyatt et Josh Gorges, qui ont été obtenus dans des transactions. Le département de dépistage avait participé à ces décisions, parce qu'il connaissait ces joueurs mieux que quiconque."
Alors pourquoi avoir congédié six dépisteurs d'un trait?
"C'est comme dans n'importe quelle entreprise, dans n'importe quel marché. On s'ajuste à mesure que les choses fluctuent. Si vous analysiez les organisations à travers la Ligue nationale, vous verriez que la couverture et la distribution des tâches à l'intérieur d'un système de dépistage varie énormément d'une organisation à l'autre", répond Gauthier.
Lacunes en première ronde?
Les plus durs critiques de Timmins lui reprochent d'avoir trop souvent raté la cible avec ses choix de première ronde. Les récentes performances de Claude Giroux, à qui le Canadien a préféré le défenseur David Fischer au repêchage de 2006, servent régulièrement d'argument depuis quelques semaines. Idem avec Mike Richards et Jeff Carter, qui étaient disponibles quand le Canadien a jeté son dévolu sur Andrei Kostitysn en 2003.
"De la façon dont un repêchage fonctionne, après un certain nombre de joueurs, la première ronde devient comme une longue deuxième ronde, estime Gauthier. Si ton choix de première ronde ne se développe pas, mais que ton choix de deuxième ou de quatrième devient un très bon joueur, comme ça a été le cas dans notre organisation, ça revient au même."
"Ce qui est important, c'est qu'on sorte des joueurs, des bons atouts pour notre organisation et sur ce point, on a eu de la bonne productivité", résume Gauthier.
Vous pouvez écouter le reste des commentaires de Pierre Gauthier dans notre Zone Vidéo en cliquant ici et ici.
"Trevor est en place et il est en place pour rester", a garanti Gauthier lors d'une rencontre avec les médias vendredi.
"Quand on fait une analyse complète et profonde du département de dépistage, on conclut qu'ils font du très bon travail. Clairement au-dessus de la moyenne en ce qui concerne le repêchage depuis que Trevor est en place", a poursuivi le d.g. en précisant qu'il ne fallait pas s'arrêter à l'historique de l'encan amateur pour évaluer le travail d'une équipe de dépisteurs.
"Ils font aussi du très bon travail dans d'autres domaines, a-t-il expliqué. Je donne l'exemple de Tom Pyatt et Josh Gorges, qui ont été obtenus dans des transactions. Le département de dépistage avait participé à ces décisions, parce qu'il connaissait ces joueurs mieux que quiconque."
Alors pourquoi avoir congédié six dépisteurs d'un trait?
"C'est comme dans n'importe quelle entreprise, dans n'importe quel marché. On s'ajuste à mesure que les choses fluctuent. Si vous analysiez les organisations à travers la Ligue nationale, vous verriez que la couverture et la distribution des tâches à l'intérieur d'un système de dépistage varie énormément d'une organisation à l'autre", répond Gauthier.
Lacunes en première ronde?
Les plus durs critiques de Timmins lui reprochent d'avoir trop souvent raté la cible avec ses choix de première ronde. Les récentes performances de Claude Giroux, à qui le Canadien a préféré le défenseur David Fischer au repêchage de 2006, servent régulièrement d'argument depuis quelques semaines. Idem avec Mike Richards et Jeff Carter, qui étaient disponibles quand le Canadien a jeté son dévolu sur Andrei Kostitysn en 2003.
"De la façon dont un repêchage fonctionne, après un certain nombre de joueurs, la première ronde devient comme une longue deuxième ronde, estime Gauthier. Si ton choix de première ronde ne se développe pas, mais que ton choix de deuxième ou de quatrième devient un très bon joueur, comme ça a été le cas dans notre organisation, ça revient au même."
"Ce qui est important, c'est qu'on sorte des joueurs, des bons atouts pour notre organisation et sur ce point, on a eu de la bonne productivité", résume Gauthier.
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