Greene s'en est bien tiré, selon Carbo
Hockey mercredi, 8 nov. 2006. 00:57 dimanche, 15 déc. 2024. 00:38
MONTRÉAL (PC) - Guy Carbonneau en aurait sans doute eu long à dire au sujet du travail des arbitres, si le Tricolore avait perdu.
L'entraîneur du Canadien s'expliquait surtout mal pourquoi on n'avait pas pénalisé davantage le défenseur Matt Greene pour le geste qu'il a commis à l'endroit de Mike Johnson.
Greene a mis en échec Johnson à la hauteur du genou droit, à l'aide de son genou. En voyant Johnson se tordre de douleur, on a craint le pire.
"Roland (Melanson) a vu la séquence à la télévision sur la tribune de presse, et si je me fie à ce que Kirk (Muller) m'a dit derrière le banc, Greene aurait dû écoper une pénalité de cinq minutes.
"On aurait pu perdre les services d'un autre joueur pendant une longue période. Heureusement pour nous, Mike est correct. Il est chanceux de s'en tirer avec une contusion."
Le capitaine Saku Koivu a corroboré l'analyse de son entraîneur. "On ne tolère plus rien, le moindre coup de bâton est puni. On ne devrait pas laisser passer des coups de genou comme celui que Greene a donné. Il aurait pu blesser Mike sérieusement. Ç'a été un grand soulagement de le voir revenir."
Carbonneau a également dû intervenir parce qu'on a voulu chasser Aaron Downey à la suite de la bagarre qu'il a livrée à Jason Smith. On disait que Downey n'avait pas attaché son chandail, comme le stipule les règlements. Finalement, un juge de ligne lui a donné raison.
En ce qui a trait au match, Carbonneau a souligné le bel effort de ses troupiers.
"On savait que les Oilers seraient affamés parce qu'ils n'avaient gagné qu'un de leurs cinq derniers matchs. On a bien commencé, avant d'être dominé et c'est un peu de ma faute. Je tentais peut-être trop d'opposer le trio de Radek Bonk à celui d'Ales Hemsky, ce qui nous a fait perdre le rythme.
"A compter de la deuxième période, j'ai fait rouler les trios et on a repris du poil de la bête. Ç'a été un bon match. On a bien réagi."
David Aebischer a encore eu du succès contre les Oilers, signant sa neuvième victoire en 12 matchs en carrière contre eux.
"C'est une équipe qui travaille très fort. Ce n'est pas facile pour un gardien de les affronter, leur capitaine Ryan Smyth est continuellement au coeur de l'action, mais c'est stimulant", a analysé le gardien suisse.
"On a décroché deux points importants. On n'a pas eu le succès escompté en fusillade depuis le début de la saison. Ce soir, je voulais faire un arrêt de plus que mon rival."
L'entraîneur du Canadien s'expliquait surtout mal pourquoi on n'avait pas pénalisé davantage le défenseur Matt Greene pour le geste qu'il a commis à l'endroit de Mike Johnson.
Greene a mis en échec Johnson à la hauteur du genou droit, à l'aide de son genou. En voyant Johnson se tordre de douleur, on a craint le pire.
"Roland (Melanson) a vu la séquence à la télévision sur la tribune de presse, et si je me fie à ce que Kirk (Muller) m'a dit derrière le banc, Greene aurait dû écoper une pénalité de cinq minutes.
"On aurait pu perdre les services d'un autre joueur pendant une longue période. Heureusement pour nous, Mike est correct. Il est chanceux de s'en tirer avec une contusion."
Le capitaine Saku Koivu a corroboré l'analyse de son entraîneur. "On ne tolère plus rien, le moindre coup de bâton est puni. On ne devrait pas laisser passer des coups de genou comme celui que Greene a donné. Il aurait pu blesser Mike sérieusement. Ç'a été un grand soulagement de le voir revenir."
Carbonneau a également dû intervenir parce qu'on a voulu chasser Aaron Downey à la suite de la bagarre qu'il a livrée à Jason Smith. On disait que Downey n'avait pas attaché son chandail, comme le stipule les règlements. Finalement, un juge de ligne lui a donné raison.
En ce qui a trait au match, Carbonneau a souligné le bel effort de ses troupiers.
"On savait que les Oilers seraient affamés parce qu'ils n'avaient gagné qu'un de leurs cinq derniers matchs. On a bien commencé, avant d'être dominé et c'est un peu de ma faute. Je tentais peut-être trop d'opposer le trio de Radek Bonk à celui d'Ales Hemsky, ce qui nous a fait perdre le rythme.
"A compter de la deuxième période, j'ai fait rouler les trios et on a repris du poil de la bête. Ç'a été un bon match. On a bien réagi."
David Aebischer a encore eu du succès contre les Oilers, signant sa neuvième victoire en 12 matchs en carrière contre eux.
"C'est une équipe qui travaille très fort. Ce n'est pas facile pour un gardien de les affronter, leur capitaine Ryan Smyth est continuellement au coeur de l'action, mais c'est stimulant", a analysé le gardien suisse.
"On a décroché deux points importants. On n'a pas eu le succès escompté en fusillade depuis le début de la saison. Ce soir, je voulais faire un arrêt de plus que mon rival."