Gretzky "de retour dans la marmite"
Hockey mercredi, 25 août 2004. 11:16 dimanche, 15 déc. 2024. 10:28
OTTAWA (PC) - En passant à proximité de journalistes regroupés dans le vestiaire des joueurs d'Equipe Canada, Wayne Gretzky y est allé de la remarque suivante: "De retour dans la marmite!"
Mais "La Merveille" n'a pas de raison de s'inquiéter.
Soit, la défaite de 3-1 face aux Etats-Unis lors du premier de trois matchs préparatoires en vue de la Coupe du monde, lundi soir à Columbus, n'a pas laissé une très favorable impression.
Mais en comparaison avec la première rencontre du tournoi olympique de 2002, que le Canada avait perdue 5-2 contre la Suède, la prestation des hommes de Pat Quinn, lundi soir, était nettement plus encourageante.
Au moins, le Canada pourra profiter de deux autres matchs hors-concours, incluant celui de mercredi face aux Etats-Unis au Centre Corel pour peaufiner la machine, ce qui n'avait pas été le cas à Salt Lake City.
Gretzky, qui avait choisi d'attirer les réflecteurs et la pression vers lui en livrant un discours des plus patriotiques pendant le tournoi olympique, ne pouvait refuser de retourner sur "la ligne de tir".
"Je n'échangerais ma position pour rien au monde, a affirmé Gretzky cette semaine. Je pense que le fait de représenter son pays est l'un des plus grands honneurs qui puissent vous être attribués. Depuis 1977 (au championnat mondial junior), j'ai sincèrement apprécié chacune de ces occasions."
Non seulement Gretzky n'est pas étranger au hockey international, mais il a toujours livré la marchandise. Il a dominé le classement des marqueurs lors de six des huit tournois auxquels il a pris part.
Mais maintenant, son rôle a changé du tout au tout. Comme il ne peut plus mener le Canada vers la victoire sur la patinoire, il ne peut que souhaiter que les joueurs qu'il a sélectionnés vont répondre aux attentes.
"Ce qu'il y a de plus remarquable, selon moi, c'est l'absence d'égoïsme chez les membres de la direction, a précisé Gretzky, qui a de nouveau fait appel à Kevin Lowe et à Steve Tambellini, comme en 2002, à titre de principaux lieutenants.
"En commençant par Bob Nicholson (le président de Hockey Canada), en passant par Steve, Kevin, le personnel d'entraîneurs et tous nos joueurs, il y a énormément de fierté à l'intérieur de notre vestiaire, a ajouté Gretzky.
"Nous comptons sur des joueurs ayant des egos, c'est vrai, mais ils le mettent de côté et travaillent ensemble, a également fait remarquer le meilleur marqueur dans l'histoire de la LNH.
"Nous cherchons à ne prendre que de bonnes décisions et nous commettons des erreurs. Mais ce n'est pas par manque d'effort", a également fait remarquer Gretzky.
Nicholson, celui qui a eu l'initiative de confier la direction d'Equipe Canada à Gretzky, en 2001, est encore impressionné par le travail que celui-ci accomplit.
"S'il ne s'agit pas de ma meilleure décision, j'ignore bien laquelle a été la plus judicieuse!, a rigolé Nicholson.
"Il apporte tellement d'éléments positifs à ses fonctions, et pas seulement de grandes qualités de leader. Dans tous ses gestes, il prône une approche collective. Tout le monde est impliqué dans chaque prise de décision."
Mais "La Merveille" n'a pas de raison de s'inquiéter.
Soit, la défaite de 3-1 face aux Etats-Unis lors du premier de trois matchs préparatoires en vue de la Coupe du monde, lundi soir à Columbus, n'a pas laissé une très favorable impression.
Mais en comparaison avec la première rencontre du tournoi olympique de 2002, que le Canada avait perdue 5-2 contre la Suède, la prestation des hommes de Pat Quinn, lundi soir, était nettement plus encourageante.
Au moins, le Canada pourra profiter de deux autres matchs hors-concours, incluant celui de mercredi face aux Etats-Unis au Centre Corel pour peaufiner la machine, ce qui n'avait pas été le cas à Salt Lake City.
Gretzky, qui avait choisi d'attirer les réflecteurs et la pression vers lui en livrant un discours des plus patriotiques pendant le tournoi olympique, ne pouvait refuser de retourner sur "la ligne de tir".
"Je n'échangerais ma position pour rien au monde, a affirmé Gretzky cette semaine. Je pense que le fait de représenter son pays est l'un des plus grands honneurs qui puissent vous être attribués. Depuis 1977 (au championnat mondial junior), j'ai sincèrement apprécié chacune de ces occasions."
Non seulement Gretzky n'est pas étranger au hockey international, mais il a toujours livré la marchandise. Il a dominé le classement des marqueurs lors de six des huit tournois auxquels il a pris part.
Mais maintenant, son rôle a changé du tout au tout. Comme il ne peut plus mener le Canada vers la victoire sur la patinoire, il ne peut que souhaiter que les joueurs qu'il a sélectionnés vont répondre aux attentes.
"Ce qu'il y a de plus remarquable, selon moi, c'est l'absence d'égoïsme chez les membres de la direction, a précisé Gretzky, qui a de nouveau fait appel à Kevin Lowe et à Steve Tambellini, comme en 2002, à titre de principaux lieutenants.
"En commençant par Bob Nicholson (le président de Hockey Canada), en passant par Steve, Kevin, le personnel d'entraîneurs et tous nos joueurs, il y a énormément de fierté à l'intérieur de notre vestiaire, a ajouté Gretzky.
"Nous comptons sur des joueurs ayant des egos, c'est vrai, mais ils le mettent de côté et travaillent ensemble, a également fait remarquer le meilleur marqueur dans l'histoire de la LNH.
"Nous cherchons à ne prendre que de bonnes décisions et nous commettons des erreurs. Mais ce n'est pas par manque d'effort", a également fait remarquer Gretzky.
Nicholson, celui qui a eu l'initiative de confier la direction d'Equipe Canada à Gretzky, en 2001, est encore impressionné par le travail que celui-ci accomplit.
"S'il ne s'agit pas de ma meilleure décision, j'ignore bien laquelle a été la plus judicieuse!, a rigolé Nicholson.
"Il apporte tellement d'éléments positifs à ses fonctions, et pas seulement de grandes qualités de leader. Dans tous ses gestes, il prône une approche collective. Tout le monde est impliqué dans chaque prise de décision."