Haïti: Laraque et Pascal sont inquiets
Hockey mercredi, 13 janv. 2010. 14:12 dimanche, 15 déc. 2024. 13:31
Moins de 24 heures après le tremblement de terre qui a dévasté Haïti, l'attaquant du Canadien Georges Laraque s'est dit très touché par ce tragique événement.
Laraque, dont les deux parents sont natifs de l'endroit, avait peine à croire ce qui s'est produit.
« Il y a beaucoup d'Haïtiens à Montréal. J'offre mes condoléances à toutes les personnes qui ont perdu des membres de leurs familles qui sont là-bas. De mon côté, j'espère que les gens que je connais s'en sortiront. »
Déjà impliqué dans plusieurs causes, le dur-à-cuire du Tricolore espère avoir l'occasion d'aider les gens dans le besoin qui sont touchés par le séisme. Il est particulièrement inquiet pour les parents de ses cousins qui prennent le chemin d'Haïti lors de la période hivernale.
« Je n'ai pas eu la chance de rejoindre les gens là-bas. Même si c'est de la famille éloignée, je suis prés de mes origines. Malheureusement, cette tragédie fera mal à l'économie, dans un pays qui n'avait pas vraiment besoin de cette situation. C'est frustrant parce que je ne peux pas faire grand-chose pour le moment. »
Laraque a appris la nouvelle alors qu'il était à l'Hôpital Ste-Justine alors que les joueurs du Canadien rendaient visite aux enfants malades.
« Lorsque tu es à l'hôpital, tu penses que c'est l'endroit le plus sécuritaire. J'ai appris que l'hôpital en Haïti s'était écroulé alors que nous étions à Ste-Justine. Il y a des choses dans la vie qui sont plus importantes que le sport. Hier, c'était vraiment difficile d'avoir appris cette nouvelle en même temps. »
Jean Pascal touché personnellement
C'est le chaos à Port-au-Prince depuis le séisme d'une magnitude de 7 sur l'échelle de Richter qui a frappé la capitale haïtienne mardi en fin d'après-midi.
Comme des milliers d'Haïtiens, Jean Pascal vit des moments d'inquiétude. Le champion du monde de boxe ignorait toujours si son père avait survécu à la catastrophe.
« Je n'ai pas pu rejoindre mon père, qui réside à Port-au-Prince, mentionne Pascal. J'ai aussi tenté de rejoindre des membres de la famille aux Etats-Unis qui n'avaient aucune nouvelle. Je pense toujours positif alors j'essaie de ne pas trop paniquer. Si je suis fait comme mon père, c'est un homme fort alors il devrait s'en sortir. »
Laraque, dont les deux parents sont natifs de l'endroit, avait peine à croire ce qui s'est produit.
« Il y a beaucoup d'Haïtiens à Montréal. J'offre mes condoléances à toutes les personnes qui ont perdu des membres de leurs familles qui sont là-bas. De mon côté, j'espère que les gens que je connais s'en sortiront. »
Déjà impliqué dans plusieurs causes, le dur-à-cuire du Tricolore espère avoir l'occasion d'aider les gens dans le besoin qui sont touchés par le séisme. Il est particulièrement inquiet pour les parents de ses cousins qui prennent le chemin d'Haïti lors de la période hivernale.
« Je n'ai pas eu la chance de rejoindre les gens là-bas. Même si c'est de la famille éloignée, je suis prés de mes origines. Malheureusement, cette tragédie fera mal à l'économie, dans un pays qui n'avait pas vraiment besoin de cette situation. C'est frustrant parce que je ne peux pas faire grand-chose pour le moment. »
Laraque a appris la nouvelle alors qu'il était à l'Hôpital Ste-Justine alors que les joueurs du Canadien rendaient visite aux enfants malades.
« Lorsque tu es à l'hôpital, tu penses que c'est l'endroit le plus sécuritaire. J'ai appris que l'hôpital en Haïti s'était écroulé alors que nous étions à Ste-Justine. Il y a des choses dans la vie qui sont plus importantes que le sport. Hier, c'était vraiment difficile d'avoir appris cette nouvelle en même temps. »
Jean Pascal touché personnellement
C'est le chaos à Port-au-Prince depuis le séisme d'une magnitude de 7 sur l'échelle de Richter qui a frappé la capitale haïtienne mardi en fin d'après-midi.
Comme des milliers d'Haïtiens, Jean Pascal vit des moments d'inquiétude. Le champion du monde de boxe ignorait toujours si son père avait survécu à la catastrophe.
« Je n'ai pas pu rejoindre mon père, qui réside à Port-au-Prince, mentionne Pascal. J'ai aussi tenté de rejoindre des membres de la famille aux Etats-Unis qui n'avaient aucune nouvelle. Je pense toujours positif alors j'essaie de ne pas trop paniquer. Si je suis fait comme mon père, c'est un homme fort alors il devrait s'en sortir. »