Huet a adoré Montréal
Hockey dimanche, 9 mars 2008. 20:35 dimanche, 15 déc. 2024. 06:44
Pendant que Carey Price s'affirme à Montréal, Cristobal Huet connaît aussi une bonne séquence avec sa nouvelle équipe. L'ancien gardien du Canadien a remporté ses deux premiers départs avant de subir deux défaites ce week-end alors que les Capitals se sont lamentablement écroulés en fin de match samedi contre les Bruins puis dimanche contre les Penguins.
« Ça va bien. J'essaie de ne pas prendre trop de place et de m'intégrer à l'équipe en douceur car on se retrouve avec un ménage à trois ici devant le filet. Brent Johnson et Olaf Kolzig ont été très professionnels avec moi. Je ne crois pas que Kolzig soit très content et il doit faire avec, mais il gère bien ça. On se retrouve tous les trois dans le même bateau, mais c'est probablement plus difficile pour lui car il est le cœur de cette équipe depuis tellement longtemps », d'expliquer l'ancien gardien du Canadien, qui présente une moyenne de buts alloués de 1,91 et un pourcentage d'arrêts de 92,2 en quatre parties avec les Caps.
Difficile de couper le cordon
On n'efface pas d'un trait une association de trois ans avec une équipe et Huet ne cache pas qu'il surveille encore ce qui se passe à Montréal. « C'est difficile de tout lâcher d'un coup. Je suis bien sûr ce qui se passe avec les gars et je reste encore en contact avec quelques joueurs. Je le répète, j'ai vécu une aventure incroyable à Montréal. C'était fantastique de jouer pour le Canadien et je garde de superbes souvenirs. Par contre, je ne dis pas qu'il n'y a pas encore un peu de frustration mais ce sont des sentiments mélangés. C'est surtout parce que ce fut un départ rapide », de raconter le vétéran gardien de trente-deux ans.
Mais avec un des gardiens les plus prometteurs de la LNH dans l'entourage, il ne faut pas se montrer trop surpris par la décision de Bob Gainey. En fait, c'est le moment choisi pour la rupture qui a surtout étonné les observateurs. Jusqu'à présent, le directeur-général semble avoir pris une décision éclairée puisque Huet sera libre comme l'air le premier juillet prochain. « Je n'ai pas encore pensé à ce qui va m'arriver à ce moment là. Pour le moment, j'essaie surtout de me concentrer sur la douzaine de parties qui reste ».
Un scénario semblable à celui de l'an passé
En arrivant à Washington, Cristobal Huet se joignait à une formation qui lutte désespérément pour se tailler une place en séries. Avec douze parties à écouler au calendrier, la troupe de Bruce Boudreau occupe le dixième échelon dans l'est avec six points de retard sur les Flyers et sept sur les Hurricanes qui détiennent actuellement le premier rang de la division sud-est. L'objectif principal est de devancer la Caroline. « On s'est tiré dans le pied ce week-end mais on a encore des chances de rejoindre les Hurricanes. On va les affronter encore deux fois d'ici la fin de la saison et on a disputé une rencontre de moins », de raconter Huet.
Dimanche après la partie face aux Penguins, le nouveau gardien des Capitals s'est rendu à l'aéroport pour aller chercher sa petite famille qu'il n'avait pas vu depuis qu'il a quitté Montréal. « Comme je devais partir pour une semaine dans l'ouest avec le Canadien, mon épouse Korine avait planifié une voyage de deux semaines en Europe avec notre fils Evan. Je suis bien content qu'ils soient enfin ici avec moi ».
« Ça va bien. J'essaie de ne pas prendre trop de place et de m'intégrer à l'équipe en douceur car on se retrouve avec un ménage à trois ici devant le filet. Brent Johnson et Olaf Kolzig ont été très professionnels avec moi. Je ne crois pas que Kolzig soit très content et il doit faire avec, mais il gère bien ça. On se retrouve tous les trois dans le même bateau, mais c'est probablement plus difficile pour lui car il est le cœur de cette équipe depuis tellement longtemps », d'expliquer l'ancien gardien du Canadien, qui présente une moyenne de buts alloués de 1,91 et un pourcentage d'arrêts de 92,2 en quatre parties avec les Caps.
Difficile de couper le cordon
On n'efface pas d'un trait une association de trois ans avec une équipe et Huet ne cache pas qu'il surveille encore ce qui se passe à Montréal. « C'est difficile de tout lâcher d'un coup. Je suis bien sûr ce qui se passe avec les gars et je reste encore en contact avec quelques joueurs. Je le répète, j'ai vécu une aventure incroyable à Montréal. C'était fantastique de jouer pour le Canadien et je garde de superbes souvenirs. Par contre, je ne dis pas qu'il n'y a pas encore un peu de frustration mais ce sont des sentiments mélangés. C'est surtout parce que ce fut un départ rapide », de raconter le vétéran gardien de trente-deux ans.
Mais avec un des gardiens les plus prometteurs de la LNH dans l'entourage, il ne faut pas se montrer trop surpris par la décision de Bob Gainey. En fait, c'est le moment choisi pour la rupture qui a surtout étonné les observateurs. Jusqu'à présent, le directeur-général semble avoir pris une décision éclairée puisque Huet sera libre comme l'air le premier juillet prochain. « Je n'ai pas encore pensé à ce qui va m'arriver à ce moment là. Pour le moment, j'essaie surtout de me concentrer sur la douzaine de parties qui reste ».
Un scénario semblable à celui de l'an passé
En arrivant à Washington, Cristobal Huet se joignait à une formation qui lutte désespérément pour se tailler une place en séries. Avec douze parties à écouler au calendrier, la troupe de Bruce Boudreau occupe le dixième échelon dans l'est avec six points de retard sur les Flyers et sept sur les Hurricanes qui détiennent actuellement le premier rang de la division sud-est. L'objectif principal est de devancer la Caroline. « On s'est tiré dans le pied ce week-end mais on a encore des chances de rejoindre les Hurricanes. On va les affronter encore deux fois d'ici la fin de la saison et on a disputé une rencontre de moins », de raconter Huet.
Dimanche après la partie face aux Penguins, le nouveau gardien des Capitals s'est rendu à l'aéroport pour aller chercher sa petite famille qu'il n'avait pas vu depuis qu'il a quitté Montréal. « Comme je devais partir pour une semaine dans l'ouest avec le Canadien, mon épouse Korine avait planifié une voyage de deux semaines en Europe avec notre fils Evan. Je suis bien content qu'ils soient enfin ici avec moi ».