"Il n'y a aucune excuse"
Hockey mardi, 25 mars 2003. 23:06 jeudi, 12 déc. 2024. 16:46
(RDS) - L'entraîneur Claude Julien ne semblait pas véritablement heureux à l'issue de la partie. C'est que, selon lui, le Canadien a laissé filer une avance, trois en fait, qu'il n'aurait pas dû. Il n'a pas apprécié le fait que le Canadien ait perdu un 21e point après avoir mené après deux périodes.
"On ne pouvait échapper cette victoire. Nous sommes les seuls à blâmer pour la défaite... il n'y a aucune excuse. Il y a un prix à payer et nous n'avons pas voulu payer. On voit les résultats quand on regarde comment ils ont marqué leurs buts", a tout d'abord lancé Julien.
"Je ne crois pas qu'il s'agisse de malchance. Si les joueurs croient qu'on peut parler de malchance, ils devront revoir le vidéo du match. Mais on a peut-être manqué de chance en prolongation quand Donald a été volé par Olaf Kolzig", a poursuivi Julien.
"Trop souvent cette saison nous avons laissé filer des avances. Pour une raison X, nous arrêtons de jouer pendant une dizaines de minutes et on dirait que l'adversaire en tire toujours avantage", a déclaré Saku Koivu.
"En troisième période, au lieu de continuer à attaquer, nous nous assoyons sur notre avance. Il ne faut pas faire ça. Il faut continuer à respecter le plan de match. Le pire, c'est que Claude nous avait prévenu après la deuxième", indique pour sa part Stéphane Quintal.
"Si on regarde les buts qu'ils ont marqués en troisième, je pense qu'on peut parler de malchance. Sur le premier, la rondelle a sauté par-dessus ma palette. Sur le deuxième, Zubrus a fait dévier la rondelle devant Théo. Et sur le troisième, il y a eu une passe avec la main... Au moins, nous avons repris les devants deux fois", estime pour sa part Donald Audette.
"On ne pouvait échapper cette victoire. Nous sommes les seuls à blâmer pour la défaite... il n'y a aucune excuse. Il y a un prix à payer et nous n'avons pas voulu payer. On voit les résultats quand on regarde comment ils ont marqué leurs buts", a tout d'abord lancé Julien.
"Je ne crois pas qu'il s'agisse de malchance. Si les joueurs croient qu'on peut parler de malchance, ils devront revoir le vidéo du match. Mais on a peut-être manqué de chance en prolongation quand Donald a été volé par Olaf Kolzig", a poursuivi Julien.
"Trop souvent cette saison nous avons laissé filer des avances. Pour une raison X, nous arrêtons de jouer pendant une dizaines de minutes et on dirait que l'adversaire en tire toujours avantage", a déclaré Saku Koivu.
"En troisième période, au lieu de continuer à attaquer, nous nous assoyons sur notre avance. Il ne faut pas faire ça. Il faut continuer à respecter le plan de match. Le pire, c'est que Claude nous avait prévenu après la deuxième", indique pour sa part Stéphane Quintal.
"Si on regarde les buts qu'ils ont marqués en troisième, je pense qu'on peut parler de malchance. Sur le premier, la rondelle a sauté par-dessus ma palette. Sur le deuxième, Zubrus a fait dévier la rondelle devant Théo. Et sur le troisième, il y a eu une passe avec la main... Au moins, nous avons repris les devants deux fois", estime pour sa part Donald Audette.