"Il n'y avait rien de facile"
Hockey mardi, 5 avr. 2005. 16:03 vendredi, 13 déc. 2024. 21:59
MONTREAL (PC) - Claude Lemieux, qui sera intronisé au Temple de la Renommée de la LHJMQ mercredi, peut bien rire aujourd'hui en parlant du camp d'entraînement auquel il a pris part à Trois-Rivières en 1982 quand il venait d'avoir 17 ans.
Mais il trouvait la situation moins drôle à l'époque.
"Les premiers jours faisaient peur. Il n'y avait rien de facile", se souvient-il.
"Il devait y avoir quelque 50 jeunes au camp et l'entraîneur avait rendu la tâche tellement difficile que des joueurs partaient d'eux-mêmes.
"Un jour, il m'a fait courir sur la piste de courses de chevaux en tirant un buggy. Et il pleuvait en plus."
Lemieux a enduré, et il a connu une très belle carrière dans la Ligue nationale, remportant quatre coupes Stanley avec trois équipes différentes, et un trophée Conn Smythe.
Repêché au 26e rang par le Canadien en 1983, il a marqué 58 buts et totalisé 124 points en seulement 52 matchs du Junior de Verdun en 1984-85.
Il fera son entrée au Temple de la renommée du hockey junior québécois en compagnie d'André Savard, Claude Verret et de Guy Chouinard dans la catégorie des bâtisseurs.
Président d'une équipe à Phoenix
Âgé de 39 ans, Lemieux vit maintenant en Arizona, où il est président de l'équipe de Phoenix qui fera son entrée dans la ECHL la saison prochaine.
Un match de bienfaisance disputé le 19 avril par des joueurs comme Jeremy Roenick, Luc Robitaille, Sean Burke, Brad May et Lemieux lui-même aidera à faire la promotion de son équipe tout en permettant de voir ce qui résulte des filets agrandis. Avant même qu'on en parle ouvertement pour la première fois dans la LNH la semaine dernière, Lemieux avait prévu d'utiliser des filets six pouces plus larges et trois pouces plus haut que ceux utilisés normalement.
C'est la façon de favoriser l'offensive, soutient-il, puisqu'il est très difficile de contrôler l'équipement des gardiens de but.
Lemieux a engagé le Montréalais Ron Filion, un ancien coéquipier midget et junior, comme directeur général et entraîneur, et Jean-Jacques Daigneault, également établi à Phoenix, sera son adjoint.
Mais il trouvait la situation moins drôle à l'époque.
"Les premiers jours faisaient peur. Il n'y avait rien de facile", se souvient-il.
"Il devait y avoir quelque 50 jeunes au camp et l'entraîneur avait rendu la tâche tellement difficile que des joueurs partaient d'eux-mêmes.
"Un jour, il m'a fait courir sur la piste de courses de chevaux en tirant un buggy. Et il pleuvait en plus."
Lemieux a enduré, et il a connu une très belle carrière dans la Ligue nationale, remportant quatre coupes Stanley avec trois équipes différentes, et un trophée Conn Smythe.
Repêché au 26e rang par le Canadien en 1983, il a marqué 58 buts et totalisé 124 points en seulement 52 matchs du Junior de Verdun en 1984-85.
Il fera son entrée au Temple de la renommée du hockey junior québécois en compagnie d'André Savard, Claude Verret et de Guy Chouinard dans la catégorie des bâtisseurs.
Président d'une équipe à Phoenix
Âgé de 39 ans, Lemieux vit maintenant en Arizona, où il est président de l'équipe de Phoenix qui fera son entrée dans la ECHL la saison prochaine.
Un match de bienfaisance disputé le 19 avril par des joueurs comme Jeremy Roenick, Luc Robitaille, Sean Burke, Brad May et Lemieux lui-même aidera à faire la promotion de son équipe tout en permettant de voir ce qui résulte des filets agrandis. Avant même qu'on en parle ouvertement pour la première fois dans la LNH la semaine dernière, Lemieux avait prévu d'utiliser des filets six pouces plus larges et trois pouces plus haut que ceux utilisés normalement.
C'est la façon de favoriser l'offensive, soutient-il, puisqu'il est très difficile de contrôler l'équipement des gardiens de but.
Lemieux a engagé le Montréalais Ron Filion, un ancien coéquipier midget et junior, comme directeur général et entraîneur, et Jean-Jacques Daigneault, également établi à Phoenix, sera son adjoint.