Jaromir Jagr s'attend à être hué à son retour à Washington
Hockey jeudi, 18 mars 2004. 11:09 mercredi, 11 déc. 2024. 13:29
(D'après TSN.ca) - L'attaquant Jaromir Jagr s'attend à être sévèrement hué jeudi soir quand il retournera à Washington pour l'affrontement entre les Rangers et les Capitals. Pour Jagr, il s'agira d'une première visite dans la capitale américaine depuis qu'il a été échangé aux Rangers, le 23 janvier.
"Je sais que les partisans vont me huer. Je comprends la situation, c'est correct. Mais je m'en fous puisque je suis heureux d'être ici", a indiqué un Jagr souriant.
"La bonne nouvelle est qu'il ne devrait pas y avoir beaucoup de spectateurs au match... à moins qu'ils n'achètent des billets uniquement pour me huer".
À l'aube de la saison 2002-03, les Penguins de Pittsburgh ont échangé Jagr aux Capitals en retour de jeunes joueurs. À son arrivé à Washington, Jagr a paraphé un contrat de six ans d'une valeur de 66 millions de dollars. De la "grosse argent". Malgré tous ces dollars, Jagr n'a pas su transporter l'équipe vers les plus hauts sommets.
"Nous n'avons pas gagné, ça n'a pas fonctionné. Mais je n'accepte pas que les gens disent que je n'ai pas donné mon maximum. C'est de la "bullshit". J'ai toujours tout donné, mais je ne suis pas Superman à chaque fois que je saute sur la patinoire", d'ajouter le 68.
"Ils ont voulu construire leur marketing autour de moi, ce qui explique pourquoi ils m'ont consenti autant d'argent; ils ne voulaient pas que je quitte via le marché des joueurs autonomes après deux ans".
Après l'élimination rapide des Caps contre le Lightning le printemps dernier, Jagr savait que son séjour à Washington serait de courte durée.
"Il n'y avait que 15 269 personnes par partie. Une assistance aussi faible dans les séries, ce n'est pas bon. C'est alors qu'ils ont décidé de m'échanger", pense Jagr.
"Je sais que les partisans vont me huer. Je comprends la situation, c'est correct. Mais je m'en fous puisque je suis heureux d'être ici", a indiqué un Jagr souriant.
"La bonne nouvelle est qu'il ne devrait pas y avoir beaucoup de spectateurs au match... à moins qu'ils n'achètent des billets uniquement pour me huer".
À l'aube de la saison 2002-03, les Penguins de Pittsburgh ont échangé Jagr aux Capitals en retour de jeunes joueurs. À son arrivé à Washington, Jagr a paraphé un contrat de six ans d'une valeur de 66 millions de dollars. De la "grosse argent". Malgré tous ces dollars, Jagr n'a pas su transporter l'équipe vers les plus hauts sommets.
"Nous n'avons pas gagné, ça n'a pas fonctionné. Mais je n'accepte pas que les gens disent que je n'ai pas donné mon maximum. C'est de la "bullshit". J'ai toujours tout donné, mais je ne suis pas Superman à chaque fois que je saute sur la patinoire", d'ajouter le 68.
"Ils ont voulu construire leur marketing autour de moi, ce qui explique pourquoi ils m'ont consenti autant d'argent; ils ne voulaient pas que je quitte via le marché des joueurs autonomes après deux ans".
Après l'élimination rapide des Caps contre le Lightning le printemps dernier, Jagr savait que son séjour à Washington serait de courte durée.
"Il n'y avait que 15 269 personnes par partie. Une assistance aussi faible dans les séries, ce n'est pas bon. C'est alors qu'ils ont décidé de m'échanger", pense Jagr.