Julien ne s'en fait pas avec les médias
Hockey jeudi, 24 févr. 2005. 17:31 dimanche, 15 déc. 2024. 11:57
(RDS) - Claude Julien est le quatrième entraîneur recrue à être nommé en l'espace de dix ans chez le Canadien. En acceptant l'emploi, il acceptait aussi de composer quotidiennement avec l'un des plus gros contingents de journalistes sportifs en Amérique.
"Il paraît que c'est un sujet assez chaud pour vous, a déclaré Julien. Quand tu perds quatre matchs de suite, il y a de la frustration et du côté médiatique, on cherche les bibittes."
A Montréal, l'entraîneur du Canadien reçoit autant d'attention qu'un premier ministre. Claude Julien voulait diriger le Canadien et il n'a pas laissé filer cette opportunité. "Certaines personnes vont te dire que ce n'est pas la meilleure place à aller parce que tu vas te faire manger la laine sur le dos, comme recrue, moi, je ne voyais pas les choses comme ça."
L'entraîneur aime mieux voir les journalistes comme des gens qui établissement un lien avec le public. "Moi je n'ai jamais vu les journalistes comme des ennemis, ils ont un travail à faire. Ils font pas partie de l'équipe mais ils font partie de l'entourage."
De la pression, ce n'est pas ce qui manque à Montréal. Il faut d'une certaine façon se protéger face aux critiques."Je ne dis pas que je ne lis pas les journaux mais je n'y attache pas d'importance. Cela n'a pas d'influence sur mes décisions."
Claude Julien se dit émotif mais il préfère ne pas se laisser emporter publiquement. "Je suis une personne émotive mais qui choisit quand l'être. Devant les journaliste et devant mes joueurs aussi. Des fois, dans mon bureau ce n'est pas joli mais je réalise en même temps que je ferais plus de dommages en étant comme ça."
Bien qu'il soit un entraîneur recrue, il connaît la réputation de la presse montréalaise qui peut être très dure à l'occasion. "Moi j'ai toujours dit que s'il y a une personne à Montréal qui va me faire perdre mon emploi, c'est mon patron. J'espère juste que lorsque je ne ferai plus l'affaire, ce sera mon patron qui me congédiera et non les journalistes."
Pour un entraîneur, la ligne est mince entre ce qu'on peut ou non révéler aux médias sans mettre en péril son leadership.
"Il paraît que c'est un sujet assez chaud pour vous, a déclaré Julien. Quand tu perds quatre matchs de suite, il y a de la frustration et du côté médiatique, on cherche les bibittes."
A Montréal, l'entraîneur du Canadien reçoit autant d'attention qu'un premier ministre. Claude Julien voulait diriger le Canadien et il n'a pas laissé filer cette opportunité. "Certaines personnes vont te dire que ce n'est pas la meilleure place à aller parce que tu vas te faire manger la laine sur le dos, comme recrue, moi, je ne voyais pas les choses comme ça."
L'entraîneur aime mieux voir les journalistes comme des gens qui établissement un lien avec le public. "Moi je n'ai jamais vu les journalistes comme des ennemis, ils ont un travail à faire. Ils font pas partie de l'équipe mais ils font partie de l'entourage."
De la pression, ce n'est pas ce qui manque à Montréal. Il faut d'une certaine façon se protéger face aux critiques."Je ne dis pas que je ne lis pas les journaux mais je n'y attache pas d'importance. Cela n'a pas d'influence sur mes décisions."
Claude Julien se dit émotif mais il préfère ne pas se laisser emporter publiquement. "Je suis une personne émotive mais qui choisit quand l'être. Devant les journaliste et devant mes joueurs aussi. Des fois, dans mon bureau ce n'est pas joli mais je réalise en même temps que je ferais plus de dommages en étant comme ça."
Bien qu'il soit un entraîneur recrue, il connaît la réputation de la presse montréalaise qui peut être très dure à l'occasion. "Moi j'ai toujours dit que s'il y a une personne à Montréal qui va me faire perdre mon emploi, c'est mon patron. J'espère juste que lorsque je ne ferai plus l'affaire, ce sera mon patron qui me congédiera et non les journalistes."
Pour un entraîneur, la ligne est mince entre ce qu'on peut ou non révéler aux médias sans mettre en péril son leadership.