La confiance, le nerf de la guerre
Hockey lundi, 15 déc. 2008. 16:45 jeudi, 12 déc. 2024. 02:47
L'entraînement du Canadien était particulièrement simple, lundi. L'objectif : marquer des buts, alors que cinq joueurs étaient envoyés sur la glace sans aucune opposition. Une façon pour Guy Carbonneau de permettre à ses joueurs de reprendre confiance.
"Il y a deux approches possibles lorsque tu es dans une telle léthargie, a expliqué l'entraîneur. Je crois que c'est important de continuer à travailler sur certaines choses et de mettre un peu de pression sur les joueurs, mais je crois que parfois, on en met un peu trop. Il n'y a pas un joueur qui embarque sur la patinoire en se disant qu'il ne veut pas marquer."
Le plus gros problème chez le Canadien, c'est l'avantage numérique. Le Tricolore était premier l'an dernier à ce chapitre, mais aujourd'hui, son taux d'efficacité est de 13%. Seuls les Blue Jackets de Columbus font pire.
"On a beaucoup trop de talent en attaque pour que ça continue de la sorte pendant encore un mois ou deux, croit Carbo. C'est sûr qu'on aimerait que ça finisse le plus tôt possible. C'est bon de savoir qu'on a des chances, mais à un moment donné il faudra que ça débloque."
"C'est encore trop tôt pour paniquer, prévient Alex Kovalev. Dans le passé, on se demandait toujours si l'équipe allait connaître une baisse de régime après Noël. Cette année, espérons que ce sera l'inverse."
Carbonneau et ses troupes ne sont donc pas en mode panique. Il y a des léthargies, comme celle de Kovalev, qui font mal à l'équipe, mais Carbonneau précise que le vétéran russe n'est pas le seul dans cette situation.
"C'est la même chose avec Sergei (Kostitsyn), c'est la même chose avec Guillaume (Latendresse), a énuméré l'entraîneur. C'est sûr qu'Alex est dans un creux comme il en a rarement connu dans sa carrière, mais il n'est pas le seul en léthargie."
*Selon un reportage de Renaud Lavoie.
"Il y a deux approches possibles lorsque tu es dans une telle léthargie, a expliqué l'entraîneur. Je crois que c'est important de continuer à travailler sur certaines choses et de mettre un peu de pression sur les joueurs, mais je crois que parfois, on en met un peu trop. Il n'y a pas un joueur qui embarque sur la patinoire en se disant qu'il ne veut pas marquer."
Le plus gros problème chez le Canadien, c'est l'avantage numérique. Le Tricolore était premier l'an dernier à ce chapitre, mais aujourd'hui, son taux d'efficacité est de 13%. Seuls les Blue Jackets de Columbus font pire.
"On a beaucoup trop de talent en attaque pour que ça continue de la sorte pendant encore un mois ou deux, croit Carbo. C'est sûr qu'on aimerait que ça finisse le plus tôt possible. C'est bon de savoir qu'on a des chances, mais à un moment donné il faudra que ça débloque."
"C'est encore trop tôt pour paniquer, prévient Alex Kovalev. Dans le passé, on se demandait toujours si l'équipe allait connaître une baisse de régime après Noël. Cette année, espérons que ce sera l'inverse."
Carbonneau et ses troupes ne sont donc pas en mode panique. Il y a des léthargies, comme celle de Kovalev, qui font mal à l'équipe, mais Carbonneau précise que le vétéran russe n'est pas le seul dans cette situation.
"C'est la même chose avec Sergei (Kostitsyn), c'est la même chose avec Guillaume (Latendresse), a énuméré l'entraîneur. C'est sûr qu'Alex est dans un creux comme il en a rarement connu dans sa carrière, mais il n'est pas le seul en léthargie."
*Selon un reportage de Renaud Lavoie.