La dissolution devrait être acceptée
Hockey lundi, 17 déc. 2012. 18:24 samedi, 14 déc. 2024. 02:45
L'idée de la dissolution de l'Association des joueurs devrait recevoir un appui très favorable au cours des prochains jours selon Francis Bouillon et Steve Bégin. Les joueurs devraient voter massivement en faveur de la proposition visant à dissoudre leur syndicat.
«J'ai l'impression que le vote va passer (et dissoudre l'AJLNH), a déclaré Bouillon. Les gars sont tannés et veulent que ça avance. Ce sont des moyens de pression que les joueurs ont à leur disposition et je pense qu'on s'en va vers ça». L'ancien du Tricolore, Steve Bégin pense de la même façon, mais tient à attendre le résultat final avant de penser à ce qui pourrait arriver.
En donnant près d'une semaine à ses membres pour voter, on peut croire que l'association des joueurs pose un geste pour mettre de la pression sur la ligue et faire avancer les négociations. Toutefois, dissoudre le syndicat pourrait aussi engendrer des surprises désagréables pour les joueurs et entraîner les deux parties dans une guerre interminable.
«Nous avons eu un appel conférence samedi, a déclaré le défenseur Roman Hamrlik. Les représentants nous ont donné des détails parce que nous ne comprenons pas tout ce qui est en train de se passer. Je parlerai à certaines personnes pour en savoir davantage et je vais aller voter dans les prochains jours». Plusieurs autres joueurs imiteront l'ancien du Canadien afin de bien comprendre l'impact d'une telle alternative. «C'est un peu comme un couteau à deux tranchants, prévient Francis Bouillon, mais les gars ont l'air prêts à l'essayer».
Les joueurs en lock-out viennent de moins en moins nombreux à l'entraînement. À une semaine de Noël, certains comme Erik Cole et Brian Gionta ont quitté la région métropolitaine pour aller fêter en famille. De la façon dont évoluent les négociations, rien ne les presse à revenir.
D'après un reportage de Luc Gélinas
«J'ai l'impression que le vote va passer (et dissoudre l'AJLNH), a déclaré Bouillon. Les gars sont tannés et veulent que ça avance. Ce sont des moyens de pression que les joueurs ont à leur disposition et je pense qu'on s'en va vers ça». L'ancien du Tricolore, Steve Bégin pense de la même façon, mais tient à attendre le résultat final avant de penser à ce qui pourrait arriver.
En donnant près d'une semaine à ses membres pour voter, on peut croire que l'association des joueurs pose un geste pour mettre de la pression sur la ligue et faire avancer les négociations. Toutefois, dissoudre le syndicat pourrait aussi engendrer des surprises désagréables pour les joueurs et entraîner les deux parties dans une guerre interminable.
«Nous avons eu un appel conférence samedi, a déclaré le défenseur Roman Hamrlik. Les représentants nous ont donné des détails parce que nous ne comprenons pas tout ce qui est en train de se passer. Je parlerai à certaines personnes pour en savoir davantage et je vais aller voter dans les prochains jours». Plusieurs autres joueurs imiteront l'ancien du Canadien afin de bien comprendre l'impact d'une telle alternative. «C'est un peu comme un couteau à deux tranchants, prévient Francis Bouillon, mais les gars ont l'air prêts à l'essayer».
Les joueurs en lock-out viennent de moins en moins nombreux à l'entraînement. À une semaine de Noël, certains comme Erik Cole et Brian Gionta ont quitté la région métropolitaine pour aller fêter en famille. De la façon dont évoluent les négociations, rien ne les presse à revenir.
D'après un reportage de Luc Gélinas