La LNH de père en fils
Hockey jeudi, 24 janv. 2008. 17:26 dimanche, 15 déc. 2024. 11:51
Par Félix Séguin - Peter Stastny, Thomas Steen, Mike Foligno, Bob Nystrom, Dave Gagner et Jean-Paul Parise étaient tous des joueurs efficaces dans les années 70, 80 ou 90.
Maintenant, dans les années 2000, ce sont les fils de ces joueurs qui assurent la relève dans la LNH.
«Je crois que c'est plutôt excitant pour mon père. Je ne pense pas qu'il avait imaginé que l'un ses enfants allait atteindre la LNH. C'est bien de suivre ses traces, il a connu toute une carrière et je vais essayer d'en faire autant» se réjouit Eric Nystrom des Flames de Calgary.
Pour le fils du coloré Mike Foligno, les souvenirs de la carrière de son père sont excellents. «J'étais toujours à l'aréna autour de lui. Je garde beaucoup de bons souvenirs de la carrière de mon père à Buffalo et à Toronto. C'est un bel environnement pour grandir et je me considère chanceux d'avoir vécu ces moments», raconte Nick Foligno qui appartient aux Sénateurs d'Ottawa.
L'ombre de leur père
Ces joueurs ont évolué dans l'ombre de leur père. Tout au long de leur développement, ils ont dû progresser tout en sachant que leur père avait réussi en atteignant la Ligue nationale.
«Il ne m'a jamais forcé à jouer au hockey. Il voulait simplement que je m'amuse et grâce à cela j'ai pu apprécier mes années au hockey mineur», raconte Sam Gagner qui excelle à son saison recrue avec les Oilers d'Edmonton.
De son côté, Paul Stastny, qui évolue avec l'Avalanche du Colorado, adore profiter des conseils de son père.
«Je me considère chanceux d'être le fils d'un ancien joueur de la LNH. Mon père est toujours là pour m'appuyer», raconte-t-il.
«Je ne m'impose pas beaucoup de pression puisque je suis loin d'être le même joueur que lui. Je suis avant tout fier de ce que mon père a accompli dans la LNH. Il est vraiment excité pour moi et il ne m'impose pas de pression, ni ma famille», ajoute Foligno.
Sam Gagner et Nick Foligno ont grandi en allant régulièrement dans le vestiaire des équipes de la Ligue nationale avec leur père et ils sont persuadés que ce fut un avantage.
«Je crois que c'est un avantage. J'ai beaucoup appris en regardant évoluer tous ces joueurs professionnels», explique Foligno.
«Je rêvais de jouer dans la Ligue nationale. Je respecte énormément mon père et c'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai toujours voulu devenir un joueur de hockey», avoue Gagner.
Bobby et Brett Hull sont le duo père-fils le plus productif de l'histoire de la Ligue nationale. Ils ont combiné une fiche de 2561 points dont 1351 buts. Ces statistiques auraient pu encore plus impressionnantes si le paternel n'avait pas joué dans l'Association mondiale durant les années 1970.
Maintenant, dans les années 2000, ce sont les fils de ces joueurs qui assurent la relève dans la LNH.
«Je crois que c'est plutôt excitant pour mon père. Je ne pense pas qu'il avait imaginé que l'un ses enfants allait atteindre la LNH. C'est bien de suivre ses traces, il a connu toute une carrière et je vais essayer d'en faire autant» se réjouit Eric Nystrom des Flames de Calgary.
Pour le fils du coloré Mike Foligno, les souvenirs de la carrière de son père sont excellents. «J'étais toujours à l'aréna autour de lui. Je garde beaucoup de bons souvenirs de la carrière de mon père à Buffalo et à Toronto. C'est un bel environnement pour grandir et je me considère chanceux d'avoir vécu ces moments», raconte Nick Foligno qui appartient aux Sénateurs d'Ottawa.
L'ombre de leur père
Ces joueurs ont évolué dans l'ombre de leur père. Tout au long de leur développement, ils ont dû progresser tout en sachant que leur père avait réussi en atteignant la Ligue nationale.
«Il ne m'a jamais forcé à jouer au hockey. Il voulait simplement que je m'amuse et grâce à cela j'ai pu apprécier mes années au hockey mineur», raconte Sam Gagner qui excelle à son saison recrue avec les Oilers d'Edmonton.
De son côté, Paul Stastny, qui évolue avec l'Avalanche du Colorado, adore profiter des conseils de son père.
«Je me considère chanceux d'être le fils d'un ancien joueur de la LNH. Mon père est toujours là pour m'appuyer», raconte-t-il.
«Je ne m'impose pas beaucoup de pression puisque je suis loin d'être le même joueur que lui. Je suis avant tout fier de ce que mon père a accompli dans la LNH. Il est vraiment excité pour moi et il ne m'impose pas de pression, ni ma famille», ajoute Foligno.
Sam Gagner et Nick Foligno ont grandi en allant régulièrement dans le vestiaire des équipes de la Ligue nationale avec leur père et ils sont persuadés que ce fut un avantage.
«Je crois que c'est un avantage. J'ai beaucoup appris en regardant évoluer tous ces joueurs professionnels», explique Foligno.
«Je rêvais de jouer dans la Ligue nationale. Je respecte énormément mon père et c'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai toujours voulu devenir un joueur de hockey», avoue Gagner.
Bobby et Brett Hull sont le duo père-fils le plus productif de l'histoire de la Ligue nationale. Ils ont combiné une fiche de 2561 points dont 1351 buts. Ces statistiques auraient pu encore plus impressionnantes si le paternel n'avait pas joué dans l'Association mondiale durant les années 1970.