Lafleur réclamera plus d'argent
Hockey mercredi, 16 mars 2005. 12:08 vendredi, 13 déc. 2024. 16:26
MONTREAL (PC) - Guy Lafleur a refusé la demande du Canadien de laisser tomber son emploi d'ambassadeur durant le lock-out, mais ne veut pas quitter l'organisation.
Son agent Jean Roy a fait savoir mercredi que Lafleur préférait laisser expirer son contrat de trois ans en acceptant que le paiement de son salaire soit différé jusqu'à la reprise des activités dans la Ligue nationale.
L'ancien numéro 10 aimerait ensuite renégocier une nouvelle entente.
Même si un article du Journal de Montréal pouvait laisser entendre qu'il est en mauvais termes avec l'organisation du Canadien, Roy a insisté pour dire que Lafleur n'est pas du tout en guerre contre l'équipe qu'il a si bien servie.
Cela dit, Roy a reconnu que Lafleur a été surpris d'apprendre que Darryl Sittler gagnait 200 000 $ par année, soit plus du double de son salaire, pour à peu près le même travail au sein de l'organisation des Maple Leafs de Toronto et qu'il allait réclamer plus d'argent.
Le Canadien a demandé à ses cinq ambassadeurs de cesser leur travail durant le lock-out, en échange de quoi une année sera ajoutée à leur contrat quand le jeu va reprendre et qu'ils recommenceront à travailler et être payés.
Jean Béliveau, Henri Richard, Yvan Cournoyer et Réjean Houle ont tous accepté.
Le salaire de Lafleur a aussi été retenu mais il a récemment été payé pour cinq mois de travail.
Houle, l'ancien joueur et directeur général qui gère le programme des ambassadeurs, a déclaré qu'il s'attend de voir Lafleur et le Canadien renouveler leur entente une fois le lock-out terminé.
Son agent Jean Roy a fait savoir mercredi que Lafleur préférait laisser expirer son contrat de trois ans en acceptant que le paiement de son salaire soit différé jusqu'à la reprise des activités dans la Ligue nationale.
L'ancien numéro 10 aimerait ensuite renégocier une nouvelle entente.
Même si un article du Journal de Montréal pouvait laisser entendre qu'il est en mauvais termes avec l'organisation du Canadien, Roy a insisté pour dire que Lafleur n'est pas du tout en guerre contre l'équipe qu'il a si bien servie.
Cela dit, Roy a reconnu que Lafleur a été surpris d'apprendre que Darryl Sittler gagnait 200 000 $ par année, soit plus du double de son salaire, pour à peu près le même travail au sein de l'organisation des Maple Leafs de Toronto et qu'il allait réclamer plus d'argent.
Le Canadien a demandé à ses cinq ambassadeurs de cesser leur travail durant le lock-out, en échange de quoi une année sera ajoutée à leur contrat quand le jeu va reprendre et qu'ils recommenceront à travailler et être payés.
Jean Béliveau, Henri Richard, Yvan Cournoyer et Réjean Houle ont tous accepté.
Le salaire de Lafleur a aussi été retenu mais il a récemment été payé pour cinq mois de travail.
Houle, l'ancien joueur et directeur général qui gère le programme des ambassadeurs, a déclaré qu'il s'attend de voir Lafleur et le Canadien renouveler leur entente une fois le lock-out terminé.