Laraque décrit par ses adversaires
Hockey mercredi, 18 févr. 2009. 16:29 dimanche, 15 déc. 2024. 02:41
À sa 11e saison dans la Ligue nationale, Georges Laraque peut se vanter d'une chose. L'ailier droit de six pieds trois pouces et 253 livres est l'un des joueurs, sinon le joueur plus craint du circuit Bettman.
«Il est définitivement l'un des bagarreurs les plus dominants des dernières années ce qui lui permet d'acquérir beaucoup de respect à travers la LNH», déclare George Parros des Ducks d'Anaheim. «Il est capable de jouer au hockey également donc il effectue bien son travail.»
«C'est vraiment l'un des meilleurs dans ce rôle et il peut jeter les gants contre n'importe qui», ajoute Chris Neil des Sénateurs d'Ottawa. «De plus, il est un joueur honnête et il travaille très fort.»
Maintenant que Laraque est à Montréal, les adversaires du Tricolore doivent y penser deux fois avant de s'en prendre aux meilleurs joueurs de la Sainte-Flanelle.
«C'est simple, il est le poids lourd de la LNH. Je crois que les Canadiens ont pris une bonne décision en le mettant sous contrat», lance Wade Belak des Predators de Nashville. «Il crée plus d'espace à ses coéquipiers.»
«Nous les avons dominés physiquement lors des dernières séries éliminatoires. Son acquisition rend les adversaires plus prudents», note Riley Cote des Flyers de Philadelphie. «Quand une équipe mise sur les des joueurs les plus forts de la LNH, c'est évident que tu y songeras deux fois avant d'agir.»
Souvent au cours de sa carrière, Laraque a fait mal paraître ses rivaux. Sa force physique est son principal atout.
«La chose importante quand tu l'affrontes c'est de demeurer loin de son poing gauche, voilà la clé», lance Belak en riant.
Mais ce ne sont pas tous les durs à cuire qui veulent en venir aux coups avec LARAQUE et ils ont leur raison.
«Je ne pense pas qu'il est utilisé assez souvent pour que je jette les gants contre lui», pense Daniel Carcillo des Coyotes de Phoenix.
Les talents de pugilistes de Laraque ont fait en sorte qu'il est devenu l'un des joueurs les plus populaires du Canadien. Son rôle de protecteur est non seulement apprécié par les amateurs, mais aussi par ses coéquipiers.
*D'après un reportage de Félix Séguin
«Il est définitivement l'un des bagarreurs les plus dominants des dernières années ce qui lui permet d'acquérir beaucoup de respect à travers la LNH», déclare George Parros des Ducks d'Anaheim. «Il est capable de jouer au hockey également donc il effectue bien son travail.»
«C'est vraiment l'un des meilleurs dans ce rôle et il peut jeter les gants contre n'importe qui», ajoute Chris Neil des Sénateurs d'Ottawa. «De plus, il est un joueur honnête et il travaille très fort.»
Maintenant que Laraque est à Montréal, les adversaires du Tricolore doivent y penser deux fois avant de s'en prendre aux meilleurs joueurs de la Sainte-Flanelle.
«C'est simple, il est le poids lourd de la LNH. Je crois que les Canadiens ont pris une bonne décision en le mettant sous contrat», lance Wade Belak des Predators de Nashville. «Il crée plus d'espace à ses coéquipiers.»
«Nous les avons dominés physiquement lors des dernières séries éliminatoires. Son acquisition rend les adversaires plus prudents», note Riley Cote des Flyers de Philadelphie. «Quand une équipe mise sur les des joueurs les plus forts de la LNH, c'est évident que tu y songeras deux fois avant d'agir.»
Souvent au cours de sa carrière, Laraque a fait mal paraître ses rivaux. Sa force physique est son principal atout.
«La chose importante quand tu l'affrontes c'est de demeurer loin de son poing gauche, voilà la clé», lance Belak en riant.
Mais ce ne sont pas tous les durs à cuire qui veulent en venir aux coups avec LARAQUE et ils ont leur raison.
«Je ne pense pas qu'il est utilisé assez souvent pour que je jette les gants contre lui», pense Daniel Carcillo des Coyotes de Phoenix.
Les talents de pugilistes de Laraque ont fait en sorte qu'il est devenu l'un des joueurs les plus populaires du Canadien. Son rôle de protecteur est non seulement apprécié par les amateurs, mais aussi par ses coéquipiers.
*D'après un reportage de Félix Séguin