Le Canada presque sans faille
Hockey jeudi, 9 sept. 2004. 18:58 samedi, 14 déc. 2024. 20:44
TORONTO (PC) - Pat Quinn a dit de la poussée de quatre buts du Canada à la deuxième période du match contre la Slovaquie que c'était "quelque chose de beau à voir".
Ces mots pourraient résumer la performance générale du Canada depuis le début de la Coupe du monde: quatre victoires et une domination de 15-3.
Ça risque d'être plus difficile samedi contre la République tchèque, mais de la façon dont le Canada a joué jusqu'ici, il doit être établi favori.
L'autre demi-finale opposera les États-Unis et la Finlande vendredi.
Une rare crainte était la jeunesse et le peu d'expérience de la moitié de l'équipe mais tous les jeunes ont livré la marchandise, notamment Vioncent Lecavalier, le meilleur compteur de l'équipe (1-4-5).
C'est aussi vrai pour les défenseurs, en dépit de l'absence des Rob Blake, Chris Pronger, Ed Jovanovski et Wade Redden, tous blessés. Les jeunes Scott Hannan et Jay Bouwmeester ont su prendre la relève.
Et devant le filet, Martin Brodeur a été impeccable en plus d'inspirer la plus grande confiance à ses coéquipiers.
Lecavalier a peut-être été le plus régulier à l'attaque. Son coéquipier de Tampa Martin St-Louis a totalisé quatre points à ses deux premiers matchs mais a été moins visible depuis.
Le trio de Mario Lemieux, Joe Sakic et Jarome Iginla a pris la relève contre la Slovaquie.
Le jeu de puissance n'a pas été exceptionnel, avec trois buts en 17 occasions, mais celui de Lecavalier en quarts-de-finale était le premier du match et a donné le ton à la suite: un massacre des Slovaques.
Aussi, le Canada n'a pas accordé un seul but en 14 désavantages numériques.
Et contrairement à certains rivaux, pas l'ombre d'une controverse n'est venu assombrir l'esprit d'équipe, les réservistes ayant bien accepté leur sort, du moins publiquement.
Le Canada n'a jamais tiré de l'arrière dans un match et, à vrai dire, un excès de confiance ou une zone de confort trop confortable justement semblent les seuls dangers susceptibles de se dresser sur la route d'une équipe qui s'est donnée comme mission de ramener la médaille d'or au pays.
Et encore là, on se dit prévenu du danger et bien décidé à ne pas tomber dans le panneau.
Ces mots pourraient résumer la performance générale du Canada depuis le début de la Coupe du monde: quatre victoires et une domination de 15-3.
Ça risque d'être plus difficile samedi contre la République tchèque, mais de la façon dont le Canada a joué jusqu'ici, il doit être établi favori.
L'autre demi-finale opposera les États-Unis et la Finlande vendredi.
Une rare crainte était la jeunesse et le peu d'expérience de la moitié de l'équipe mais tous les jeunes ont livré la marchandise, notamment Vioncent Lecavalier, le meilleur compteur de l'équipe (1-4-5).
C'est aussi vrai pour les défenseurs, en dépit de l'absence des Rob Blake, Chris Pronger, Ed Jovanovski et Wade Redden, tous blessés. Les jeunes Scott Hannan et Jay Bouwmeester ont su prendre la relève.
Et devant le filet, Martin Brodeur a été impeccable en plus d'inspirer la plus grande confiance à ses coéquipiers.
Lecavalier a peut-être été le plus régulier à l'attaque. Son coéquipier de Tampa Martin St-Louis a totalisé quatre points à ses deux premiers matchs mais a été moins visible depuis.
Le trio de Mario Lemieux, Joe Sakic et Jarome Iginla a pris la relève contre la Slovaquie.
Le jeu de puissance n'a pas été exceptionnel, avec trois buts en 17 occasions, mais celui de Lecavalier en quarts-de-finale était le premier du match et a donné le ton à la suite: un massacre des Slovaques.
Aussi, le Canada n'a pas accordé un seul but en 14 désavantages numériques.
Et contrairement à certains rivaux, pas l'ombre d'une controverse n'est venu assombrir l'esprit d'équipe, les réservistes ayant bien accepté leur sort, du moins publiquement.
Le Canada n'a jamais tiré de l'arrière dans un match et, à vrai dire, un excès de confiance ou une zone de confort trop confortable justement semblent les seuls dangers susceptibles de se dresser sur la route d'une équipe qui s'est donnée comme mission de ramener la médaille d'or au pays.
Et encore là, on se dit prévenu du danger et bien décidé à ne pas tomber dans le panneau.