Le Canadien ne peut arrêter les Bruins
Hockey dimanche, 20 nov. 2011. 21:26 dimanche, 15 déc. 2024. 00:50
Le Canadien n'a pas été déclassé face aux Bruins, loin de là, mais concernant l'opportunisme, on repassera. Les hommes de Jacques Martin n'ont pas été en mesure de percer la muraille Tim Thomas et les Bruins ont volé une victoire de 1-0 pour prolonger à neuf leur séquence de succès.
Le Canadien continue d'éprouver des ennuis à la maison. Montréal n'a gagné que quatre de ses 12 matchs au Centre Bell cette saison (4-6-2).
Auteur de deux jeux blancs consécutifs, Carey Price n'avait pas accordé de but lors des 148 dernières minutes et 11 secondes de jeu jusqu'à ce qu'Andrew Ference ne trompe sa vigilance dans la partie supérieure à 15:41 de la première période. Un but qui a finalement fait toute la différence.
« Nous avons commis une erreur et elle nous a coûté cher. Je trouve que nous avons bien joué ce soir. Nous n'avons simplement pas été capables de trouver le fond du filet », résume le capitaine du Canadien, Brian Gionta.
« Il (Thomas) nous a réellement volé la victoire ce soir. Les Bruins préconisent un style de jeu basé autour de leur gardien depuis quelque temps et il fait le travail », constate Carey Price.
Le Tricolore aurait pu profiter de l'indiscipline de leur ancien coéquipier Benoit Pouliot, qui a passé six minutes au banc de pénalité. Thomas a toutefois tenu le fort, en route vers sa sixième victoire de suite.
Les Bruins ont également disputé les dernières secondes du match en infériorité numérique, mais le Canadien n'a pu soulever la foule du Centre Bell.
« Nous avons obtenu plusieurs bonnes chances en avantage numérique, mais nous sommes demeurés incapables de marquer, a dit Jacques Martin. Ça été néanmoins un excellent match de hockey. Les deux équipes ont travaillé fort physiquement tout au long de la soirée. »
« J'ai trouvé que nous avons joué beaucoup sur les talons, admet l'entraîneur-chef des Bruins, Claude Julien. Défensivement, nous sommes bien structurés et nous avons été en mesure de bien s'en sortir. J'aurais cependant aimé voir mon équipe patiner un peu mieux et gagner plus de batailles de long des rampes. »
Le gardien des Bruins a stoppé 33 tirs pour récolter son troisième jeu blanc de la campagne, le 28e de sa carrière. Sans surprise, il a été nommé la première étoile du match.
« Je lis bien le jeu et les options de passes de l'adversaire, explique Thomas, sur ses récents succès. Parfois, on est tellement concentré sur la rondelle qu'on se retrouve mal placé, mais présentement, j'ai de bonnes sensations devant le filet. »
Erik Cole n'a pas connu un mauvais match offensivement, mais il est l'un des rares. Ce dernier a effectué six tirs au but, en plus de générer plusieurs occasions de marquer.
Tomas Plekanec et Travis Moen ont aussi raté une descente à deux contre un en première période, tout comme Aaron Palushaj et Petteri Nokelainen au deuxième engagement.
De son côté, Price n'a pas été testé à outrance. Il a notamment gardé son équipe dans le match lors d'une échappée de Milan Lucic au troisième vingt. Price a conclu la rencontre avec 17 arrêts.
Ce duel marquait le début d'une autre semaine éreintante pour le Canadien, qui voyagera à Raleigh et à Philadelphie, avant de terminer une série de trois matchs en quatre soirs samedi contre Sidney Crosby et les Penguins de Pittsburgh, à Montréal.
Le Canadien continue d'éprouver des ennuis à la maison. Montréal n'a gagné que quatre de ses 12 matchs au Centre Bell cette saison (4-6-2).
Auteur de deux jeux blancs consécutifs, Carey Price n'avait pas accordé de but lors des 148 dernières minutes et 11 secondes de jeu jusqu'à ce qu'Andrew Ference ne trompe sa vigilance dans la partie supérieure à 15:41 de la première période. Un but qui a finalement fait toute la différence.
« Nous avons commis une erreur et elle nous a coûté cher. Je trouve que nous avons bien joué ce soir. Nous n'avons simplement pas été capables de trouver le fond du filet », résume le capitaine du Canadien, Brian Gionta.
« Il (Thomas) nous a réellement volé la victoire ce soir. Les Bruins préconisent un style de jeu basé autour de leur gardien depuis quelque temps et il fait le travail », constate Carey Price.
Le Tricolore aurait pu profiter de l'indiscipline de leur ancien coéquipier Benoit Pouliot, qui a passé six minutes au banc de pénalité. Thomas a toutefois tenu le fort, en route vers sa sixième victoire de suite.
Les Bruins ont également disputé les dernières secondes du match en infériorité numérique, mais le Canadien n'a pu soulever la foule du Centre Bell.
« Nous avons obtenu plusieurs bonnes chances en avantage numérique, mais nous sommes demeurés incapables de marquer, a dit Jacques Martin. Ça été néanmoins un excellent match de hockey. Les deux équipes ont travaillé fort physiquement tout au long de la soirée. »
« J'ai trouvé que nous avons joué beaucoup sur les talons, admet l'entraîneur-chef des Bruins, Claude Julien. Défensivement, nous sommes bien structurés et nous avons été en mesure de bien s'en sortir. J'aurais cependant aimé voir mon équipe patiner un peu mieux et gagner plus de batailles de long des rampes. »
Le gardien des Bruins a stoppé 33 tirs pour récolter son troisième jeu blanc de la campagne, le 28e de sa carrière. Sans surprise, il a été nommé la première étoile du match.
« Je lis bien le jeu et les options de passes de l'adversaire, explique Thomas, sur ses récents succès. Parfois, on est tellement concentré sur la rondelle qu'on se retrouve mal placé, mais présentement, j'ai de bonnes sensations devant le filet. »
Erik Cole n'a pas connu un mauvais match offensivement, mais il est l'un des rares. Ce dernier a effectué six tirs au but, en plus de générer plusieurs occasions de marquer.
Tomas Plekanec et Travis Moen ont aussi raté une descente à deux contre un en première période, tout comme Aaron Palushaj et Petteri Nokelainen au deuxième engagement.
De son côté, Price n'a pas été testé à outrance. Il a notamment gardé son équipe dans le match lors d'une échappée de Milan Lucic au troisième vingt. Price a conclu la rencontre avec 17 arrêts.
Ce duel marquait le début d'une autre semaine éreintante pour le Canadien, qui voyagera à Raleigh et à Philadelphie, avant de terminer une série de trois matchs en quatre soirs samedi contre Sidney Crosby et les Penguins de Pittsburgh, à Montréal.