Le CH aime confondre les sceptiques
Hockey mercredi, 12 mai 2010. 23:50 vendredi, 13 déc. 2024. 23:49
"La danse ne fait que commencer. C'est ici que le plaisir commence."
Scott Gomez en a vu d'autres et il sait que le Canadien n'a rien gagné encore, même s'il vient d'éliminer les deux équipes les plus dangereuses de l'Association Est. Ça ne l'empêchait pas d'arborer son plus beau sourire, comme le reste de ses coéquipiers, après l'éclatante victoire des siens à Pittsburgh.
"Tout le monde dit que nous sommes l'équipe Cendrillon, mais nous savions que nous étions meilleurs que notre fiche l'indiquait en saison régulière, a commenté Gomez dans le vestiaire des visiteurs du Mellon Arena. Nous formons un groupe spécial. Depuis le tout premier jour du camp d'entraînement, il s'est développé une belle chimie entre nous. Même si nous avons rarement été tout le monde ensemble en raison des blessures, nous avons toujours formé un tout unique. On a beaucoup de plaisir présentement et nous formons une équipe difficile à battre."
"Nous le disons à qui veut bien l'entendre depuis que nous sommes qualifiés. Vous ne voulez pas nous affronter", prévient Gomez, qui a récolté onze points depuis le début des séries.
Dans un autre coin de la pièce, Michael Cammalleri puisait sa satisfaction dans le fait que chaque victoire du Canadien prouve à ceux qui doutaient de cette équipe qu'ils avaient tort.
"Cette équipe a été assemblée l'été dernier par Bob et nous avons tous entendu les critiques. Nous étions supposés être trop petits pour endurer les rigueurs d'une saison complète et trop petits pour faire les séries. Nous n'avons rien accompli encore, nous ne sommes qu'à mi-chemin, mais nous connaissons du succès et c'est très plaisant."
"En commençant par Jaroslav, ça a été une victoire d'équipe encore une fois. Tout le monde s'est présenté, tout le monde a fait les petits détails, tout le monde s'est sacrifié. C'est pour ça qu'on est là aujourd'hui", a expliqué Maxim Lapierre, le coin des lèvres rejoignant ses oreilles.
"Tout le monde a fait quelque chose de spécial dans chaque match. Ce soir, je peux donner l'exemple de Travis Moen, a poursuivi Lapierre. Il a frappé solide et il a réussi un gros but en désavantage numérique. À chaque match, un gars est ressorti du lot."
Cammalleri n'avait même pas encore enlevé son équipe qu'il s'imaginait déjà la scène à son retour au Québec.
"Je ne veux même pas imaginer de quoi ça a l'air dans les rues de Montréal présentement. C'est d'ailleurs l'une des choses les plus cool de jouer pour le Canadien. C'est fou le nombre de gens qu'on peut rendre heureux avec des matchs comme ce soir!"
Scott Gomez en a vu d'autres et il sait que le Canadien n'a rien gagné encore, même s'il vient d'éliminer les deux équipes les plus dangereuses de l'Association Est. Ça ne l'empêchait pas d'arborer son plus beau sourire, comme le reste de ses coéquipiers, après l'éclatante victoire des siens à Pittsburgh.
"Tout le monde dit que nous sommes l'équipe Cendrillon, mais nous savions que nous étions meilleurs que notre fiche l'indiquait en saison régulière, a commenté Gomez dans le vestiaire des visiteurs du Mellon Arena. Nous formons un groupe spécial. Depuis le tout premier jour du camp d'entraînement, il s'est développé une belle chimie entre nous. Même si nous avons rarement été tout le monde ensemble en raison des blessures, nous avons toujours formé un tout unique. On a beaucoup de plaisir présentement et nous formons une équipe difficile à battre."
"Nous le disons à qui veut bien l'entendre depuis que nous sommes qualifiés. Vous ne voulez pas nous affronter", prévient Gomez, qui a récolté onze points depuis le début des séries.
Dans un autre coin de la pièce, Michael Cammalleri puisait sa satisfaction dans le fait que chaque victoire du Canadien prouve à ceux qui doutaient de cette équipe qu'ils avaient tort.
"Cette équipe a été assemblée l'été dernier par Bob et nous avons tous entendu les critiques. Nous étions supposés être trop petits pour endurer les rigueurs d'une saison complète et trop petits pour faire les séries. Nous n'avons rien accompli encore, nous ne sommes qu'à mi-chemin, mais nous connaissons du succès et c'est très plaisant."
"En commençant par Jaroslav, ça a été une victoire d'équipe encore une fois. Tout le monde s'est présenté, tout le monde a fait les petits détails, tout le monde s'est sacrifié. C'est pour ça qu'on est là aujourd'hui", a expliqué Maxim Lapierre, le coin des lèvres rejoignant ses oreilles.
"Tout le monde a fait quelque chose de spécial dans chaque match. Ce soir, je peux donner l'exemple de Travis Moen, a poursuivi Lapierre. Il a frappé solide et il a réussi un gros but en désavantage numérique. À chaque match, un gars est ressorti du lot."
Cammalleri n'avait même pas encore enlevé son équipe qu'il s'imaginait déjà la scène à son retour au Québec.
"Je ne veux même pas imaginer de quoi ça a l'air dans les rues de Montréal présentement. C'est d'ailleurs l'une des choses les plus cool de jouer pour le Canadien. C'est fou le nombre de gens qu'on peut rendre heureux avec des matchs comme ce soir!"