Le CH confirme la commotion de Price
Hockey mercredi, 4 avr. 2012. 12:55 dimanche, 15 déc. 2024. 04:57
MONTRÉAL - Le Canadien de Montréal a confirmé mercredi la nouvelle qui circulait depuis quelques jours déjà, à savoir que le gardien de but Carey Price souffre d'une commotion cérébrale.
Dans un laconique communiqué, le Tricolore a fait savoir que le gardien de 24 ans a rencontré le médecin en chef de l'équipe, David Mulder, en matinée. Ce dernier a diagnostiqué une commotion cérébrale « légère ».
Le Tricolore a indiqué que la saison de Price est terminée.
Price a disputé 65 matchs cette saison, compilant une fiche de 26-28-11, avec une moyenne de 2,43 et un taux d'efficacité de ,916. Il a réussi quatre jeux blancs.
Mardi, le Tricolore avait indiqué qu'une collision entre David Desharnais et le gardien, survenue le 29 mars dernier, était à l'origine des maux de tête dont souffre Price. L'équipe s'est rectifiée mercredi, soulignant que la collision dont il était question avait bel et bien eu lieu le 20 mars dernier, comme l'ont souligné plusieurs médias.
Peter Budaj et Robert Mayer, rappelé mardi des Bulldogs de Hamilton, se partageront le travail d'ici la fin du calendrier.
Mardi, l'entraîneur-chef du Canadien, Randy Cunneyworth, avait indiqué que le Canadien se limitait à parler de maux de tête en évoquant les symptômes ressentis par Price afin de ne pas courir le risque d'imposer pour rien un protocole de traitement très lourd et très long au gardien.
Le protocole de la Ligue nationale de hockey en matière de commotion cérébrale impose notamment un repos minimum de sept jours aux joueurs en souffrant. Ceux-ci doivent également passer avec succès une batterie de tests avant d'obtenir le feu vert pour revenir au jeu.
Cunneyworth avait également reconnu que les clubs de la LNH ont tendance à éviter de prononcer les mots « commotion cérébrale », de peur de se voir obligés de suivre ce protocole.
« C'est un protocole qui est long, a-t-il souligné. Tu veux que le joueur suive le protocole s'il a vraiment (une commotion cérébrale), mais ça demeure un processus de longue haleine. »
Cunneyworth avait par ailleurs expliqué qu'il est important de ne pas précipiter un diagnostic parce qu'il reste possible qu'une maladie soit confondue avec une autre. Il notait que dernièrement, quelques joueurs du Canadien ont eu des symptômes qui permettaient de conclure à une commotion cérébrale, mais aussi à une grippe ou à une autre maladie. Il faisait ainsi allusion à Ryan White, qui est présentement aux prises avec les mêmes interrogations que Price, mais aussi à Mathieu Darche et Scott Gomez, voire Tomas Kaberle et même Travis Moen, qui ont récemment recommencé à s'entraîner.
Dans un laconique communiqué, le Tricolore a fait savoir que le gardien de 24 ans a rencontré le médecin en chef de l'équipe, David Mulder, en matinée. Ce dernier a diagnostiqué une commotion cérébrale « légère ».
Le Tricolore a indiqué que la saison de Price est terminée.
Price a disputé 65 matchs cette saison, compilant une fiche de 26-28-11, avec une moyenne de 2,43 et un taux d'efficacité de ,916. Il a réussi quatre jeux blancs.
Mardi, le Tricolore avait indiqué qu'une collision entre David Desharnais et le gardien, survenue le 29 mars dernier, était à l'origine des maux de tête dont souffre Price. L'équipe s'est rectifiée mercredi, soulignant que la collision dont il était question avait bel et bien eu lieu le 20 mars dernier, comme l'ont souligné plusieurs médias.
Peter Budaj et Robert Mayer, rappelé mardi des Bulldogs de Hamilton, se partageront le travail d'ici la fin du calendrier.
Mardi, l'entraîneur-chef du Canadien, Randy Cunneyworth, avait indiqué que le Canadien se limitait à parler de maux de tête en évoquant les symptômes ressentis par Price afin de ne pas courir le risque d'imposer pour rien un protocole de traitement très lourd et très long au gardien.
Le protocole de la Ligue nationale de hockey en matière de commotion cérébrale impose notamment un repos minimum de sept jours aux joueurs en souffrant. Ceux-ci doivent également passer avec succès une batterie de tests avant d'obtenir le feu vert pour revenir au jeu.
Cunneyworth avait également reconnu que les clubs de la LNH ont tendance à éviter de prononcer les mots « commotion cérébrale », de peur de se voir obligés de suivre ce protocole.
« C'est un protocole qui est long, a-t-il souligné. Tu veux que le joueur suive le protocole s'il a vraiment (une commotion cérébrale), mais ça demeure un processus de longue haleine. »
Cunneyworth avait par ailleurs expliqué qu'il est important de ne pas précipiter un diagnostic parce qu'il reste possible qu'une maladie soit confondue avec une autre. Il notait que dernièrement, quelques joueurs du Canadien ont eu des symptômes qui permettaient de conclure à une commotion cérébrale, mais aussi à une grippe ou à une autre maladie. Il faisait ainsi allusion à Ryan White, qui est présentement aux prises avec les mêmes interrogations que Price, mais aussi à Mathieu Darche et Scott Gomez, voire Tomas Kaberle et même Travis Moen, qui ont récemment recommencé à s'entraîner.