Le CH retient sa force de caractère
Hockey lundi, 24 mai 2010. 23:40 samedi, 14 déc. 2024. 23:58
Éric Leblanc
La déception était palpable sur tous les visages dans le vestiaire du Canadien après cette élimination crève-cœur, mais les joueurs partageaient aussi un point en commun plus positif alors qu'ils tenaient à souligner le caractère de leur formation.
Plusieurs membres du Canadien ont dû hausser leur jeu de plusieurs crans pour permettre ce parcours surprenant. Le défenseur Josh Gorges figure parmi ceux-ci et il a insisté pour vanter ses partenaires.
«Je dois lever mon chapeau à tous mes coéquipiers pour leur travail», a-t-il lancé. « Je pense immédiatement à Michael Cammalleri et tous ses buts, à Jaro (Halak) qui est devenu un héros et même des joueurs comme Tom Pyatt qui ne reçoivent pas beaucoup de crédit.»
«Je suis fier de faire partie de cette équipe. C'était un parcours amusant sauf que c'est difficile présentement. Notre équipe n'a jamais abandonné et nous devons apprendre de ce sentiment de défaite et s'améliorer», a enchaîné Gorges qui refusait d'accepter les compliments sur son rendement personnel.
Le Canadien a trouvé le moyen de se rendre aussi loin malgré plusieurs épreuves dont la perte de son quart-arrière Andrei Markov contre les Penguins de Pittsburgh.
«Nous avons montré du caractère et nous avons continué même en perdant un gros morceau comme Markov», a rappelé Halak.
Après avoir éliminé les Capitals de Washington et les Penguins de Pittsburgh, le Canadien semblait en position intéressante pour vaincre les Flyers.
«On arrivait avec du momentum dans cette série, on trouvait des moyens de gagner et on avait développé une identité et une certaine confiance pour nous permettre de se rendre aussi loin. Malgré les embûches, nous avons toujours trouvé des façons de gagner», s'est souvenu Marc-André Bergeron.
Outre le manque d'opportunisme et les ennuis en avantage numérique, l'élément fatigue a été soulevé pour expliquer ce revers du Tricolore, mais les joueurs ont refusé d'utiliser cette excuse.
«Je ne pense pas que la fatigue est une explication. Au maximum, il restait 10 parties à disputer pour gagner la coupe Stanley donc on avait encore assez d'énergie pour cela», a dévoilé Bergeron avec franchise.
Jacques Martin n'est pas reconnu pour lancer des fleurs inutilement à ses joueurs, mais il n'a pas manqué l'occasion de le faire à la conclusion du dernier match de la saison.
«Je suis déçu du pointage final, mais je suis fier de notre niveau de compétition. Nous avons démontré beaucoup de caractère et nous avons montré que nous pouvions faire face à l'adversité. J'ai remercié les joueurs pour leur travail et parce qu'ils sont vraiment devenus une équipe. J'ai surtout été impressionné par la façon dont nous avons répondu aux obstacles», a-t-il conclu.
Plusieurs membres du Canadien ont dû hausser leur jeu de plusieurs crans pour permettre ce parcours surprenant. Le défenseur Josh Gorges figure parmi ceux-ci et il a insisté pour vanter ses partenaires.
«Je dois lever mon chapeau à tous mes coéquipiers pour leur travail», a-t-il lancé. « Je pense immédiatement à Michael Cammalleri et tous ses buts, à Jaro (Halak) qui est devenu un héros et même des joueurs comme Tom Pyatt qui ne reçoivent pas beaucoup de crédit.»
«Je suis fier de faire partie de cette équipe. C'était un parcours amusant sauf que c'est difficile présentement. Notre équipe n'a jamais abandonné et nous devons apprendre de ce sentiment de défaite et s'améliorer», a enchaîné Gorges qui refusait d'accepter les compliments sur son rendement personnel.
Le Canadien a trouvé le moyen de se rendre aussi loin malgré plusieurs épreuves dont la perte de son quart-arrière Andrei Markov contre les Penguins de Pittsburgh.
«Nous avons montré du caractère et nous avons continué même en perdant un gros morceau comme Markov», a rappelé Halak.
Après avoir éliminé les Capitals de Washington et les Penguins de Pittsburgh, le Canadien semblait en position intéressante pour vaincre les Flyers.
«On arrivait avec du momentum dans cette série, on trouvait des moyens de gagner et on avait développé une identité et une certaine confiance pour nous permettre de se rendre aussi loin. Malgré les embûches, nous avons toujours trouvé des façons de gagner», s'est souvenu Marc-André Bergeron.
Outre le manque d'opportunisme et les ennuis en avantage numérique, l'élément fatigue a été soulevé pour expliquer ce revers du Tricolore, mais les joueurs ont refusé d'utiliser cette excuse.
«Je ne pense pas que la fatigue est une explication. Au maximum, il restait 10 parties à disputer pour gagner la coupe Stanley donc on avait encore assez d'énergie pour cela», a dévoilé Bergeron avec franchise.
Jacques Martin n'est pas reconnu pour lancer des fleurs inutilement à ses joueurs, mais il n'a pas manqué l'occasion de le faire à la conclusion du dernier match de la saison.
«Je suis déçu du pointage final, mais je suis fier de notre niveau de compétition. Nous avons démontré beaucoup de caractère et nous avons montré que nous pouvions faire face à l'adversité. J'ai remercié les joueurs pour leur travail et parce qu'ils sont vraiment devenus une équipe. J'ai surtout été impressionné par la façon dont nous avons répondu aux obstacles», a-t-il conclu.
