Le dossier Lecavalier fait jaser
Hockey mardi, 13 janv. 2009. 18:36 jeudi, 12 déc. 2024. 05:47
BOSTON - Le statut de Vincent Lecavalier ainsi que les rumeurs d'échange impliquant le Canadien font évidemment grandement jaser dans l'entourage de l'équipe.
"Il faudrait vivre dans une bulle pour ne pas en avoir entendu parler", a lancé le gardien Marc Denis, mardi matin.
Ancien membre du Lightning de Tampa Bay jusqu'à la saison dernière, Denis s'est montré prudent dans ses propos.
"C'est difficile pour moi de commenter parce que je ne connais pas la situation, a-t-il mentionné. Je ne connais également pas les nouveaux propriétaires. Je n'ai jamais eu à faire avec eux."
L'entraîneur Guy Carbonneau a admis que les rumeurs sont une source de distractions, particulièrement pour les joueurs dont les noms ont été avancés (Tomas Plekanec, Chris Higgins et Josh Georges).
Carbonneau a précisé qu'il ne tente pas de rassurer les joueurs quand des rumeurs semblables font surface.
"Je ne peux rien leur dire de toute façon parce que je ne sais rien. J'aurais l'air fou si je leur disais de ne pas s'en faire, qu'il ne se produira rien, et qu'ils soient échangés deux jours plus tard."
Il a dit prendre les rumeurs impliquant Lecavalier avec un grain de sel.
"Ça fait trois ans que je suis ici et ça fait trois ans qu'on en parle. Il n'y a pas une nuit que j'ai été incapable de dormir parce que je vivais d'espoir de l'avoir dans notre formation", a-t-il résumé.
Quant à Plekanec et Gorges, ils ont essentiellement commenté la situation à l'aide des phrases d'usage.
"Je ne m'en fais pas avec ça, ce n'est pas entre mes mains, a dit Gorges. Je le croirai quand ça arrivera. En attendant, je me concentre sur ce que j'ai à faire."
Gorges a souligné que les échanges se produisent au moment où on s'y attend le moins, comme ç'a été le cas pour lui quand il est passé au Canadien, en février 2007, dans la transaction du vétéran Craig Rivet.
"J'étais allé voir mon coéquipier Joe Thornton pour lui demander s'il pensait que les Sharks (de San Jose) bougeraient. Il m'avait répondu de ne pas m'en faire, que l'équipe ne céderait que des choix de repêchage. Quelques jours plus tard, on m'échangeait."
"Il faudrait vivre dans une bulle pour ne pas en avoir entendu parler", a lancé le gardien Marc Denis, mardi matin.
Ancien membre du Lightning de Tampa Bay jusqu'à la saison dernière, Denis s'est montré prudent dans ses propos.
"C'est difficile pour moi de commenter parce que je ne connais pas la situation, a-t-il mentionné. Je ne connais également pas les nouveaux propriétaires. Je n'ai jamais eu à faire avec eux."
L'entraîneur Guy Carbonneau a admis que les rumeurs sont une source de distractions, particulièrement pour les joueurs dont les noms ont été avancés (Tomas Plekanec, Chris Higgins et Josh Georges).
Carbonneau a précisé qu'il ne tente pas de rassurer les joueurs quand des rumeurs semblables font surface.
"Je ne peux rien leur dire de toute façon parce que je ne sais rien. J'aurais l'air fou si je leur disais de ne pas s'en faire, qu'il ne se produira rien, et qu'ils soient échangés deux jours plus tard."
Il a dit prendre les rumeurs impliquant Lecavalier avec un grain de sel.
"Ça fait trois ans que je suis ici et ça fait trois ans qu'on en parle. Il n'y a pas une nuit que j'ai été incapable de dormir parce que je vivais d'espoir de l'avoir dans notre formation", a-t-il résumé.
Quant à Plekanec et Gorges, ils ont essentiellement commenté la situation à l'aide des phrases d'usage.
"Je ne m'en fais pas avec ça, ce n'est pas entre mes mains, a dit Gorges. Je le croirai quand ça arrivera. En attendant, je me concentre sur ce que j'ai à faire."
Gorges a souligné que les échanges se produisent au moment où on s'y attend le moins, comme ç'a été le cas pour lui quand il est passé au Canadien, en février 2007, dans la transaction du vétéran Craig Rivet.
"J'étais allé voir mon coéquipier Joe Thornton pour lui demander s'il pensait que les Sharks (de San Jose) bougeraient. Il m'avait répondu de ne pas m'en faire, que l'équipe ne céderait que des choix de repêchage. Quelques jours plus tard, on m'échangeait."